aglaé a écrit:

On avait été si laids au point de ne pas oser se regarder dans le miroir, et pourtant. Pourtant quand on se regarde nous, ce n'était plus si moche comme tableau. Est-ce que tu t'en souviens ? Est-ce que tu l'as ressenti, toi aussi, cette impression de ne pas être au ras du sol quand c'était nous ? Est-ce que c'était pareil pour toi ? Tu sais, on s'est senti bête. C'était si idiot qu'on en a ri. Cette révélation face à laquelle on comprend que le meilleur avait toujours été là, qu'on avait cultivé nos plus belles fleurs pour l'autre, à chaque fois. Des années à se chercher, à se détester en silence, à se meurtrir le corps et le cœur quand on donnait tout ce qu'il y a de plus beau sans s'en rendre compte.

felix a écrit:

bleus
jaunes
roses et verts
(les camaïeux de ce soir)
la couleur des vertiges
dans la foule il sait que ça ne durera jamais bien longtemps
ton absence.

felix qui ne vit qu'en faisant la misère
ne t'en fait plus à toi aglaé car tu offres le plus beau des cadeaux
une autre façon d'exister sans l'urgence de démolir
de la patience de construire - c'est lancinant
d'être felix de son coté quelques temps, le temps de quelques chaos au coté de ceux qu'on aime dans la turbulences comme robin et colline
de croiser des rappels cuisants qu'on peut se faire si mauvais parfois (il a aperçu au loin leonard et eulalie)
dis-lui
aglaé
qui émerge des étourdissements bleus jaunes roses et verts au détour du monde qui se pressent à l'annonce
dis-lui vite
où il réduira les traditions en charpie.

aglaé a écrit:

Parodie de savoir vivre et de galanterie qu’on exécute en riant. Jolie révérence qu’elle te fait, en prenant soigneusement les bords de sa robe bleutée pour te saluer. On se souvient d’une époque où on regardait les grands faire, on avait tout pareil imité les aînés pour se moquer. À se glisser des beurk en voyant les corps se toucher et les lèvres se joindre. À dix ans on préférait se battre pour camper dans la chambre de l’autre en prétextant qu’il n’y avait jamais rien. Aujourd’hui on fait comme les grands de l’époque.

Faith a écrit:

Mon tel est vraiment entrain de draguer le tiens j’en peux plus.

Judas (i'm so sorry sweetie) a écrit:

C’est ton sourire qui fait tout vriller. On l’a vu des centaines de fois ce sourire-là.
On se rend enfin compte que c’est bien toi.
Dans le pire du pire.
Au summum de ton art lubrique et malsain.

je quote mn propre rp pcq g aucune race mais la rep de Judas bby m'a ex-ter-mi-née wtf
why am i crying in the club rn
>>> à mort l'amour ღ (judisis)

le fuego a écrit:

Le même discours pathétique, je suis une orpheline en manque d'amour chronique - si seulement on m'avait aimée à la naissance, je n'agirai pas comme un lierre à ton essence, j'irai vivre la vie des bonnes gens, faire l'amour aux choses simples qui rendent heureux tant de ménages en vacances. La famille, la paix salariale - un chien en laisse. Je peux donner la patte, je peux être le tien.

Citation :

La voix le ranime – la brisure qu'il entend,
la fêlure,
qui résonne jusqu'au creux de la sienne.

Citation :

Il franchit les quelques pas qui le séparent de la gamine – Cosmos, Cosmos ; il réalise comme il est terrifiant son nom, c'est si grand l'univers, et ça ressemble un peu au néant qui s'étale à leurs pieds,
mystérieux,
vide,
et terrifiant.

« Je sais. »

Citation :

Mauvais pirate, mauvais ami – il faut partir retrouver ceux,
ceux qui, dehors, ne les attendent pas.

Elyas S. Crawley a écrit:

Il tourna la tête vers le tunnel.
Avait-il seulement un jour désiré sortir ?
Il avait pensé à Harper (Monsieur Severin), et quelque chose en lui l'empêcha d'avancer plus loin.
Une forme de loyauté envers une figure paternelle qu'il avait idéalisée.

jspr que vous allez bien pcq moi non

@Anaël Quinn a écrit:

on name la guit’ alvin comme ça c’sur le manche d’alvin qu’on gratte d’vant l’bureau d’melchior.

Je passe souvent relire les quotes il est tellement wholesome ce sujet
j'ai pas beaucoup le temps de rp en ce moment mais je suis blessed par des trop belles rep du coup here I am.
Toujours j'adore quand Caprice parle de meurtre quand Colline reboot des timelines

caprice a écrit:

le Caprice de l'autre univers - celui que tu as annihilé sans lui demander son avis - je ne suis pas sûr de vouloir le connaître, Colline. si il savait que tu étais prêt à avoir du sang sur les mains pour me revoir là maintenant il s'en voudrait mortellement. je me réjouis presque qu'il soit mort - ne le ressuscite pas. je voudrais
t'aider, si seulement je pouvais t'aider
à enterrer tous les souvenirs qu'on a pu se faire
les plus horribles, que tu es le seul à garder.
rien que de songer à tous les cadavres de nous qui dorment six pieds sous terre
inhumé dans ton esprit, rien que dans ton esprit
j'y passerai un coup de bulldozer pour qu'enfin
tu oublies tout ce que j'ai pu dire.

Amaryllis a écrit:

« Alors... c'est comme ça... je suis désolée.... je suis désolée. »
d'être née.
d'avoir détruit.
d'avoir tué.
d'avoir existé.
d'avoir respiré.
d'avoir eu l'audace de croire que je pouvais aussi vivre. comme n'importe qui.

fiona a écrit:

Pendant ce temps Fiona tente d'assassiner un homme en le frappant à répétition avec un balais à chiottes.

Miel a écrit:

«  Tiens, moi non plus j'ai pas d'amis. Mais j'ai du pudding. T'as vraiment une bête tête tu me fais pitié. »