❝ le monde ou rien du tout. (ava-marsaidh)

Ava-Marsaidh

higgins

» ia (vocaloid) + ashley benson (irl)

âge
dix-neuf ans.
origine
irlandaise.
classe
université spé com. & marketing.

âge d'entrée à l'académie
dix ans.
opinion sur l'académie
elle y a vécu près de la moitié de sa vie, et cette vie lui plaît. elle comprend le système bien qu'il soit parfois abrupt. elle croit en le pouvoir de chacun à donner le meilleur de lui-même pour améliorer ses conditions de vie.
bon à savoir
fille du président, membre de la section nova, princesse fleur amaryllis, cheerleader.

illusions sensorielles altère la perception de la réalité et les sensations liées. phy ; diffuse

neutral good — estj — joviale — avenante — studieuse — ambitieuse — ses bons résultats elle ne les doit presque qu'à son travail acharné — persuadée que tout le monde peut réussir s'il s'en donne les moyens — pédagogue — obstinée — polie — poupée de cire — rêveuse — passionnée — désespérément romantique — autoritaire — leader née — égoïste — connaît les limites par coeur — les frôle sans jamais les dépasser — embobine et manipule si ça l'arrange — ses desseins sont généralement bienveillants — n'a pas toujours conscience que le ressenti des autres prime sur ses intentions — extravertie — besoin des autres pour exister — sûrement moins indépendante qu'elle ne le prétend — rancunière — tenace — loyale — un rien vénale sur les bords

sportive et enjouée, le club de cheerleading s'est imposé sans hésitation lorsqu'elle a décidé de s'impliquer dans des activités extra-scolaires — elle profite de chaque seconde où elle peut ne pas porter son uniforme pour se faire plus coquette, avec ses vêtements personnels qu'elle demande régulièrement à son père de lui rapporter de chez eux — elle porte le béret à la française comme peu savent le faire — sa couleur préférée est définitivement le rose — mais pas n'importe quel rose ; le fuchsia est par exemple peu élégant à ses yeux tandis que le pastel lui sied bien au teint — peu frileuse, on s'étonne souvent de la voir se passer de veste lorsque les autres frissonnent — elle croit encore au prince charmant (ou à la princesse indépendante) même si elle affirmera le contraire — ses romans préférés parlent d'amours interdites, passionnelles à la fin tragique — oui, elle a pleuré en lisant romeo et juliette — elle a un faible pour les comédies musicales — elle joue du piano et du violon — elle a l'oreille absolue, alors apprendre à jouer n'a pas été difficile, mais elle est incapable de lire une partition, parfois elle fait semblant — on lui invente souvent des histoires, certainement par jalousie puisqu'elle est très régulièrement visitée par ses parents — on raconte qu'elle maltraite les plus jeunes avec son don (c'est faux) — et qu'elle est un peu fille facile (le vocabulaire employé à son égard elle le méprise) — féministe convaincue (mais encore en déconstruction), ses étagères débordent de lectures sur les sorcières des temps modernes — elle est née brune, mais elle se préfère en blonde, et c'est un luxe qu'elle peut largement se permettre — elle ne sait pas encore ce qu'elle voudrait faire de sa vie, mais ses études la passionnent — plutôt chat que chien — café ou thé son cœur balance — fraises au sucre et son cœur est vôtre

« oh they tryna shoot down angels,
they tryna pull their wings off »

HOPELESS ROMANTIC la première histoire qui fait vriller, celle qui dure un peu, celle qui laisse le temps de s'apprendre et de se projeter, rien qu'un peu, les soirées tendres, les messages qui arrachent des sourires, les baisers hésitants, et puis plus rien d'autre que des souvenirs doux-amers. Bons termes, mauvais termes, tout reste à voir ; rien ne se grave dans le marbre. (mec ou meuf peu importe, ex-petit.e ami.e, rupture en bons ou mauvais termes mais ça pique un peu quand même krrkrr)

QUINTE FLUSH la jolie cour, mais pas celle des reines, pas de celles qui sonnent un peu faux ; la cour où la reine n'a plus sa couronne, celle où elle n'est plus enfermée dans sa tour. Ses amis, ses amours, les précieuses rencontres qui font les amitiés les plus sincères, celles qui vous permettent d'être vous-mêmes sans faire semblant.

LES PETITS PAPIERS elle les a cernés, ceux-là, pour la plupart ; ce sont ceux qui ne l'ont approchée que par intérêt ou par profit, parce qu'elle est fille de présidente, qu'elle a trois étoiles, qu'elle a de bons résultats, peu importe : n'importe quoi qui puisse leur servir à un moment ou à un autre. Elle les laisse faire, joue le jeu si elle trouve en eux quelque chose qui puisse aussi lui être utile quitte à user de simulacres de chantage ; elle attend de voir qui cédera en premier à ces petits jeux de pouvoir.

GASOLINE à grands renforts d'essence, elle y mettrait bien le feu. Si bien souvent les regards de travers elle les ignore, ceux-là ont écorché son armure d'ignorance et de mépris sans qu'elle ne se l'explique. Peut-être qu'elle l'admirait, peut-être qu'elle tenait en estime cet ennemi.e désormais, peut-être que ses mots étaient différents des autres et qu'ils ne visaient pas toutes ces cordes insensibles depuis longtemps ; peu importe, aujourd'hui elle brûle de haine, et c'est plus fort qu'elle.

RANDOMLY RANDOM du positif, du négatif, un peu des deux, du polyvalent, de l'ambigu, du drama, du doux, du salty, tell me everything my body is ready.

« but she's so brave though just like a tornado, she's taking us by storm »

OCTOBRE 2000 —

— Fille du président Irlandais actuel, Higgins, Ava-Marsaidh est l'aînée de son petit frère, Arcturus, dont elle tombe folle amoureuse au premier regard. Gamine privilégiée, son enfance avait tout pour être heureuse et sans accrocs ; pleine de rires d'enfants et d'une insouciance paisible.

2008 ET 2009 —

— Elle a huit ans lorsque sa vie vole en éclats. Son frère et maman profitent du soleil tiède de l'après-midi tandis qu'Ava joue dans sa chambre. C'est le hurlement glacial de maman qui la fait se précipiter à l'extérieur ; Arcturus n'est plus là, et maman pleure au téléphone, blême et la beauté ravagée.
— Le silence est pesant, lorsque les kidnappeurs sont condamnés, mais qu'on ne retrouve plus l'enfant disparu. La justice clôture l'enquête, et demande à demi-mots aux Higgins de faire leur deuil dans l'ignorance la plus totale et sous le feu des projecteurs des médias rapaces.
— C'est à cette période que l'Alice d'Ava se manifeste ; sans même réaliser tout à fait que le factice est de son fait, elle dessine à l'encre de sa douleur des illusions dans lesquelles son frère est toujours là, elle invente les bruits de son rire et de ses pas dans la pièce d'à-côté, sa chambre dans laquelle elle n'ose plus rentrer.
— Ses parents la dissimulent aux yeux du monde pour ne pas avoir à la perdre. Leur fils, c'était déjà tant ; mais leur fille, leur fille, faut-il donc vraiment que la vie leur arrache la chair de leur chair encore une fois ?

2010 ET 2011 —

— L'entourloupe s'ébruite, et elle ne peut plus rester. L'Académie la réclame, et le gouvernement n'entend pas d'une oreille bienveillante que la gamine échappe à l'éducation qui lui est due quand son père fait traquer les enfants Alice dans tout le pays et au delà. Elle a dix ans lorsque ses parents, à contre-cœur mais sous le poids des responsabilités, la déposent en personne à l'Académie, valises bouclées à ses talons.
— Contre toute attente, elle se plaît à l'école plus qu'elle ne l'aurait cru. Bien qu'on ne la traite pas toujours comme il le faudrait, et qu'on lui envie très vite ses privilèges et la visite régulière de ses parents, comme les nombreux colis qui lui sont livrés lorsque l'absence se fait trop longue, elle s'intègre de son mieux et, studieuse et attentive, se fond rapidement dans le moule des élèves exemplaires.

2014 —

— Arcturus ; Arcturus, son petit frère, son essentiel, son tout ; elle réalise qu'il est bien là, vivant, plus vraiment l'enfant soleil qu'elle a connu, mais bel et bien son frère qu'elle aime tant. Il faut tout réparer, rattraper le temps perdu, ramasser les morceaux et surmonter la culpabilité. Elle jure qu'ils s'en sortiront, tous les deux ; elle promet fais-moi confiance, elle promet de ne plus jamais le perdre, de plus jamais le laisser disparaître, de lui prouver comme jamais, elle n'a su l'oublier. Elle reprend vie.

JANVIER 2020 —

— Dix-neuf ans et la vie bascule de nouveau ; une nuit d'hiver fait sombrer l'Académie dans l'horreur, comme un semblant d'apocalypse, un aperçu de l'extérieur qui la glace au dedans quand elle réalise qu'elle ne connaît plus rien du monde réel que les mensonges qu'on lui sert dans une enveloppe timbrée ou au téléphone toutes les deux semaines.
— À l'aube d'une nouvelle journée au goût amer, après que son père les a gavés d'un discours auquel il ne croyait sûrement même pas lui-même, Ava se voit proposer (imposer) une place au sein de la Section NOVA, lubie militaire qu'elle ne saisit pas tout à fait. Elle accepte, sans broncher, persuadée qu'il ne lui reste plus que l'obéissance pour faire pardonner les erreurs de son père qui les a tous mis en danger.

FLASHBACKS —

00.00 — (end) les maux qui chavirent. ❞ (saada)

JANVIER —

20.01 — (end) tout ce qu'on ne s'est pas dit. ❞ (arcturus)
22.01 — princesses sans (l)armes. ❞ (alexandra)

AVRIL —

15.04 — ava a été nommée princesse fleur amaryllis par agatha.

18.04 — (end) course de relais. ❞ (groupe deux)

19.04 — ava a gagné son rang major pour sa loyauté envers l'académie lors des événements du festival sportif avorté.

20.04 — les heures indociles. ❞ (stelian)
21.04 — les grands jeux des vainqueurs. ❞ (noah)
22.04 — the way the game is played. ❞ (asmodée)

MAI —

01.05 — tu me manques un jour sur deux. ❞ (william)
14.05 — les entre-lignes. ❞ (saada)

JUILLET —

04.07 — au bout des sous-sols. ❞ (groupe deux)

codage by chandresh

reines

saada h. radjah ★★★☆☆

la meilleure amie, la complice de si longue date, et l'âge, entre elles, n'a jamais été une barrière — sauf quand saada a grandi en biais d'ava, et qu'elle n'a pas compris. elle n'a pas compris la déchirure, les mots durs, et toutes les déraisons qu'elle a trouvées injustes. parce qu'ava n'a pas vu, ava n'a su voir comme sa précieuse saada elle l'étouffait, comme ses attitudes la forçaient à se faire toute petite et sa personnalité à la noyer. ava n'a pas compris, comme elle prenait toute la place et même celle de sa meilleure amie — ou peut-être qu'elle n'a pas voulu comprendre, pas voulu croire, que la fleur la plus précieuse à ses yeux, elle ait pu en abîmer le moindre des pétales.

alexandra carter ★★★★☆

elle est explosive, alexandra, et ava n'a jamais su sur quel pied danser — alexandra ne l'a jamais traitée différemment d'une autre à cause de son nom, elle ne l'a méprisée que pour qui elle était, une gamine aveuglée par le pouvoir et qui désirait tout contrôler, et ava n'a vu en l'étoile solitaire qu'une gosse revêche qui ne méritait plus son intérêt. elle ne la détestait pas — alexandra n'existait simplement pas, dans son petit royaume bien ordonné qu'elle ne pouvait pas se permettre de déranger.

+ 2★ et la nuit elles ont tremblé. et quand il a fallu jouer son rôle et rassurer, s'excuser des erreurs de son père qui les ont mis en danger, tous les travers d'alexandra n'étaient plus rien — elle était comme les autres et surtout comme elle. une gamine qui, brisée, venait de comprendre que personne là-haut n'était capable de les protéger. elles étaient seules — mais elles étaient seules ensemble. devenues sœurs au cœur — promesse d'enfants sacrée.

galène weber ★★★☆☆

elles sont les gamines qu'on n'a pas oubliées ; des mômes qu'on attend encore, dehors, des enfants auxquels les parents rendent visite, des mioches qu'on jalouse et qu'on envie. aux premiers instants comme une évidence — briller aux côtés de galène c'est facile et ava-marsaidh chérit ces instants qui ne demandent pas de mots. qu'importe que la fleur ait fané l'étoile brille (brûle) toujours plus fort et c'est la trajectoire qu'on admire — c'est croiser le regard et comprendre qu'on n'est plus seule pour porter le poids du monde sur les épaules ni toutes les vies qu'on voudrait sauver. c'est traîner les couloirs ensemble, étoiles filantes aux cols, semer la terreur (ou simplement l'une auprès de l'autre simplement graviter pour le temps d'un instant respirer).

pandora o. hastings ★★☆☆☆

elle n'a jamais compris pandora, jamais compris ses excès ; elle n'a jamais su déchiffrer la flamme dans les prunelles de la dangereuse, jamais su prédire aucun de ses gestes, aucun de ses mots, et ça l'a terrifiée. tétanisée dans les débris de ce reflet inversé — et leurs haines coulent à même leurs veines ; elles sont des noms et des trajectoires qu'elles n'interrogent jamais, des regards en croix qui ne se veulent plus de bien depuis que les idéaux et les révoltes se sont écorchées sur les rebords des humanités qu'on exècre. il faudrait savoir, comme ava s'en veut ; il faudrait être capable de déchiffrer les entrelacs de ses remords — toutes les déraisons qui l'ont bousculée. il faudrait savoir demander pardon, il faudrait savoir l'entendre — dans une autre vie l'empire porte leurs deux noms ; dans celle-ci elles ne sont que les cendres d'étoiles contraires qui se sont consumées au premier frôler.

rois

arcturus b. higgins ★★★★☆

si de l'olympe on l'a déchu, au cœur d'ava il est toujours roi — le frère retrouvé qu'elle n'a jamais pu se résoudre à oublier, celui dont on a tenté d'enterrer les souvenirs dans un cercueil à vide quand elle n'avait que huit ans ; et pour sa mémoire, persuadé qu'il était en vie, elle s'est acharnée. son monde a repris de ses couleurs quand les astres lui ont donné raison — son frère, sa moitié, de retour auprès d'elle. mais plus le même — et elle s'érafle sur les rebords tranchants d'une enfance brisée, et sur tous les secrets qu'il ne dit jamais. elle essaie — c'est bancal et maladroit, mais elle essaie — d'atteindre le petit garçon qui se cache dans le cœur de l'homme cynique qu'il est devenu.

+ 1★ et quand la vie donne des coups c'est toujours auprès d'arcturus qu'ava se réfugie ; qu'importe toutes les failles, qu'importe quand ils déraillent et se blessent — toujours, son frère est son sanctuaire. et enfin, enfin, peut-être qu'elle y arrive, un peu — rien qu'un peu. peut-être qu'elle parvient à dénouer les silences et faire murmurer les aveux ; peut-être qu'elle parvient à faire entendre, je t'aime, et de moi ne doute plus jamais.

william mellett ★★★☆☆

l'amour le vrai le grand pendant quatre ans, ils sont enfant quand ils s'apprennent et adolescents quand ils s'aiment, le lycée main dans la main et les sourires sont différents de ceux qu'ils adressent au monde entier. les dernières danses toujours ensemble et les promesses pour plus tard le chemin tout tracé. ils sont heureux mais elle ne l'est plus tellement, quand elle doute et qu'elle ne marche plus droit william comme toute sa vie calculée cristallise au bord de son âme le mal-être auquel elle tente d'échapper – c'est l'été dernier quand elle lui dit c'est terminé et qu'il déchiffre en sous-titres dans ses pensées tu vas me manquer.

+/- 1★ après le rp tu me manques un jour sur deux

swan beretta ★★★☆☆

la même trempe ; voilà ce qu'ils transpirent — les codes des hautes sphères, la bienséance, les projets d'absolu, et ils portent sur eux tout le poids qu'un nom et que des projets de parents peuvent peser sur des enfants. il a cru qu'elle était comme les autres gamines des réceptions — elle lui a prouvé qu'il se trompait. et, entre eux, tout s'est délié — un beau jour il a suffit d'être soi-même pour se comprendre, et même les différends de leurs idéaux n'ont plus été sujets de discorde. swan est au cœur d'ava ce qu'est le ciel bleu à la grisaille — un second souffle, un havre de paix auprès de qui même respirer paraît plus simple, et où l'on n'a plus si peur des responsabilités qui nous étouffent.

noah di scipio ★★★☆☆

et comme les reines s'entichent des rois, les égaux, entre eux, se reconnaissent. ava, elle, ne respire que l'imposture — c'est ce qu'elle ressent au fond d'elle, lorsqu'elle croise le regard de noah, et acquiesce à ses projets pour plus tard. il ne sait pas qu'ava n'a pas la politique au cœur comme lui — mais il l'a lui a soufflée comme une évidence, et elle ne l'a jamais contredit. elle s'est laissée prendre au jeu des grandes idées, parce qu'au bout des doigts de noah, plus rien d'autre ne fait sens que le monde des puissants.

stelian c. o'cesair ★★★☆☆

stelian / ava, étoiles neutres bc idk, à rédiger après le rp les heures indociles

asmodée yi ★★★☆☆

asmodée / ava, étoiles neutres bc idk, à rédiger après le rp the way the game is played

notes

+ fiona
+ eulalie

à discuter

+ stelian
+ bonnie
+ laestiel

#8E6DFC PSY
#EBB644 PHY
#4C99EB TECH
#1CC48B SPE
#FA5C5C DANGER
#EB74BA PERSONNEL

c'est à vous

Oui bonjour, je viens pour du drama.

Eh hop, c'est (presque) à jour hihi.

Liens écrits : @Saada H. Radjah @Alexandra Carter @Arcturus B. Higgins @Swan Beretta @Noah Di Scipio

Et du coup je dépoussière un peu ça pour dire que je cherche toujours des liens hihi. Du positif mais aussi du négatif (en vrai je manque de négatif j'veux bousculer Ava alors gogogo svp) (mais le positif aussi hein n'ayez pas peur/out)

UNE ÉTOILE Messages : 27

Je peux te donner Amy en lien négatif si tu veux ! Je la vois bien haïr Ava parce qu'elle a l'attention de ses parents alors que la mère d'Amy l'ignore complètement depuis son entrée à l'Académie

Du coup Amy serait grave jalouse et tenterait de l'embêter à chaque fois mdr

voilà c'est une ébauche de lien pardon, hésite pas à me contacter sur discord au pire ! ouin

» amen à tout n'amène à rien (ange)
» [U.C.] « La mort est un vêtement que tout le monde portera. » Clémentine Gaudriault
» L'art de faire chier, n'est pas donné à tout le monde feat Morgiana
» On oublie tout, on oublie rien •• Liusmos
» rien, moins que rien - ariel a. adler