jasmin.
issu de sa chair, au-delà d'être un très bon ami, jasmin est un enfant qui vient tout droit de sa folie de gourou - et qui se plie gracieusement aux ordres de la petite. il faut croire qu'elle sait bien prendre soin de lui, qu'elle est apte à mordre si certains viennent troubler l'ordre et la tranquillité de son petit protégé, et surtout elle veut lui apprendre à s'aiguiser les dents lui-même. jasmin est d'une grande préciosité car complètement malléable - complètement ouvert à l'idée de se replonger dans le monde cruel des balades nocturnes dans les bois entre enfants.
léonor.
mon tendre amour, oona est possessive. oona se confronte à léonor avec beaucoup d'aplomb, la provoque pour la pousser dans les jeux enfantins - la déloger de ses aspects de statue modelée par les adultes. peut-être y-a-t-il davantage qu'un besoin de l'avoir à ses côtés, peut-être rougit-elle un peu quand on évoque son prénom et la défend-elle quand des garçons veulent l'embêter - et peut-être refuserait-elle de la voir main dans la main avec un-e autre qu'elle.
chandra.
poings serrés, viens te battre enfant sauvage, viens te confronter à la vraie reine de ces lieux - oona refuse d'être délogée de son illusion de tyrannie par un tel impotent qui courbe gentiment le dos en roucoulant face aux adultes. c'est trop facile tout cela, et elle ne s'efforce jamais d'amener les vagabonds dans son petit clan - elle ne veut pas faire mine de forcer la main - mais au fond elle aimerait bien l'avoir plutôt à ses côtés. que ses regards se détournent du joug des adultes pour revenir à l'importance d'être un enfant.
queen.
douceur, qui es-tu, fille de miel ? qui es-tu avec tes allures d'illuminée à venir apporter une nouvelle lumière dérangeante et qu'elle ne connaît pas encore sur jasmin ? elle a besoin d'identifier l'intégralité de tes recoins, savoir tes intentions et la teneur de tes propos - l'influence que tu peux exercer sur ses terres. oona est prête à mordre pour défendre ses intérêts, prête à dévorer queen pour lui faire passer l'envie de se mêler de ce qui ne la regarde pas.
laëstiel.
je t'aime encore et toujours, s'il y a bien une grande personne qu'oona aime de tout son coeur, c'est laëstiel. durant son enfance, elle relevait du mythe et de l'idéalisation qu'on peut se faire des enfants plus grands et qu'on ne connaît pas - si bien qu'elle avait hâte de venir à l'académie pour la rencontrer.
son amour est envahissant et son respect immense, si bien qu'elle place laëstiel sur un piédestal, la transformant en véritable idole à laquelle se raccrocher quand elle ne sait plus à qui songer. elle lui voue des sentiments et cette petite faiblesse que les petiots ont pour leurs aînés : l'illusion d'un jour pouvoir se marier avec eux, sans se sentir à la hauteur.
anaël.
sale rat, salissante ombre qui s'étale aux côtés de laëstiel, oona l'a bien vu : elle méprise ce grand garçon qui vient en plus de cela jouer un rôle de grand frère non-désiré auprès de certains plus jeunes.
oona entretient une colère particulière envers lui, une ire qui résulte d'une accumulation de petites choses qui dressent un portrait d'un exécrable personnage.
rune.
source de problèmes, fdp [ec en rp]
prénom.
quelque chose, ils espèrent les dieux et cependant ne voient pas les yeux des bêtes tournés vers eux. Ils n'entendent pas notre silence qui les écoute. enfermés dans leur raison, la plupart ne franchiront jamais le pas de la déraison, sinon au prix d'une illumination qui les laissera fous et exsangues. ils sont absorbés par ce qu'ils ont sous la main, et quand leurs mains sont vides, ils les posent sur leur visage et pleurent. ils sont comme ça.