[EVENT #3] La course de relais — Affrontement 3

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'FESTIVAL SPORTIF #3' :
[EVENT #3] La course de relais — Affrontement 3 - Page 2 Ps3rKnQ

DEUX ÉTOILES Messages : 132 Age : 28 Classe : D.

Fiona était arrivée telle une déesse devant tes yeux, avec son relais. Si tu l'avais admiré de loin se dépatouiller des tentacules un peu glauques, tu l'avais applaudis en la voyant arriver. Tu lui fais un petit clin d'oeil charmeur en faisant rouler le relai entre tes doigts. Tu faisais un peu trop le malin pour quelqu'un qui avait la tête pleine de joint et lavabo.

— « Evidemment que je vais les défoncer, tu m'as pris pour qui ? »

Le problème quand son talent du jour c'est de la plomberie, bah... c'est que ça sert pas à grand chose en fait. Tu prends ton élan et te jette dans le marais, avant de finalement ressortir pour prendre une perche. Les autre se sont élancés, tu dois donc ruser.

Tu souffles un coup.

— « Je peux le faire. Pour l'amour du beau-jeu et pour les beaux yeux de Fiona et Diane. »

Tu cours et plantes la perche au milieu du marais, ton corps se soulève en même temps. Tu te bouffes toutes les lianes dans la gueule, faisant tomber un de tes camarades au passage. Une fois la perche en hauteur, tu glisses tout du long pour couler au fond du marais.

— « MAIS PUTAIN NIQUE TA MERE »

Tu ressors vitesse grand V en sprintant tout dégueulasse vers Diane et lui tend le relais.

— « Jui mort, donne tout meuf je t'en SUPPLIE. »

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'FESTIVAL SPORTIF #3' :
[EVENT #3] La course de relais — Affrontement 3 - Page 2 WzofpV7

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Event#3 — La course de relais affrontement #3

Intervention

C'est l'hilarité générale face à ce qu'il se passe au niveau des marais. Les cris finissent par diminuer en volume, des élèves et des professeurs interloqués par la présence de militaires dans la foule. Il y a des interpellations dans le public mais pourtant on vous fait comprendre de rester concentrés. Il faut que la course se termine, et après on verra.
Et après, on verra.

Contexte

Première épreuve : Le tunnel à déguisement (classement)
@Elyas S. Crawley (4 points) arrive en premier
@Mercure M. Redberry @Elior Demaury @Orion Lindberg (3 points) arrive en deuxième
@Nora Smith (2 points) arrive en dernière

Deuxième épreuve : Les plantes tentaculaires (classement)
@Agnès C. Lacroix @Aries C. Amaro (4 points) arrivent en premier
@Léo Woods (3 points) arrive en troisième
@Eulalie A. Murphy @Fiona Maher (2 points) arrivent en dernières

Troisième épreuve : Le marais sauvage (classement)
@Alexandra Carter (4 points) arrive en premier
@Robin S. Evans (3 points) arrive en deuxième
@Kalev Randmaa (3 points) arrive en troisième
@Kagerou Nagase @Ulysse Vermeil arrivent en derniers

Quatrième épreuve en cours : La course des animaux
Vous voilà à la dernière épreuve. Un animal au hasard vous a été attribué... vous devez le ramener EN PLUS DE VOTRE RELAI au professeur qui vous attend au bout de la piste. C'est la dernière étape, la plus délicate car chaque animal réagit différemment en fonction de son caractère... votre vitesse dépendra de lui et non l'inverse.
@Saada H. Radjah @Sasha Amouretti @June Amber @Crush V. MacNeil @Diane W.-Vermeil

Instructions

— Privilégiez des réponses courtes et dynamiques.
— Vous pouvez tirer le dé ET ensuite éditer votre post afin d’adapter votre réponse au résultat du dé. Si vous n’avez pas édité votre post au bout de 24h, nous supprimerons votre message et vous aurez automatiquement la pire note sur votre relais.
— Pour ce premier tour, veuillez prévisualiser votre post et lancez le dé "FESTIVAL SPORTIF #4"
— Afin de ne pas faire traîner en longueur, nous nous réservons le droit de sauter votre tour après 24h sans réponse de votre part. Vous pénaliserez les points finaux de votre équipe.
— Le staff interviendra entre chaque tour sauf indication contraire.
— Merci de mettre une de ces trois étoiles à chaque poste de votre part pour nous indiquer le nombre de fois où vous utiliserez votre alice.
Jamais utilisé :

Code:: <center><img src="https://i.imgur.com/j0BiYF3.png" /></center>

Utilisé une fois :

Code:: <center><img src="https://i.imgur.com/GEUfuHu.png" /></center>

Utilisé deux fois :

Code:: <center><img src="https://i.imgur.com/f5IjCXG.png" /></center>

Utilisé trois fois :

Code:: <center><img src="https://i.imgur.com/pl4ddfO.png" /></center>

Prochains posteurs : @Saada H. Radjah @Sasha Amouretti @June Amber @Crush V. MacNeil @Diane W.-Vermeil

TROIS ÉTOILES Messages : 151 Classe : E.

festival sportif
event

Diane avait attrapé le relais en adressant un sourire timide à Ulysse. Elle balbutia quelques mots qui n'avaient pas faits sens les uns après les autres et se retourna, un peu honteuse d'avoir encore échoué à la tâche "être un humain".

Elle se présenta fièrement, et pleine de confiance avec son talent de démarcheuse téléphonique, à son épreuve qui, à priori, lui paraissait facile. C'était que Diane avait beaucoup passé de temps à la ferme depuis très jeune et les animaux ça la connais-

UN ÉLÉPHANT ?!
Mais où avaient-ils trouvé
UN ÉLÉPHANT ?!

« Mais c'est une BLAGUE ?! »

Elle avait essayé de toutes ses forces, poussé de tout son corps contre la patte immense de l'éléphant, essayé de lui parler, mais l'éléphant semblait la regarder avec un sourire naïf en balançant sa trompe.

« Allez... S'il te plaît........ »

Evidemment ils avaient tous fini la course au moment où l'éléphant daigna rejoindre (toujours à son rythme) la ligne d'arrivée. Dépitée, elle avait déposé sans conviction le relais dans la main du professeur à la ligne d'arrivée.

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'FESTIVAL SPORTIF #4' :
[EVENT #3] La course de relais — Affrontement 3 - Page 2 2CvreIO

boy with luv Messages : 206 Age : 27 Classe : F.

festival sportif ★
course de relais — affrontement 3

Tu étais refais par ta team.
Pas possible de rêver mieux.
Entre Eulalie, Elior et Robin… c’était le feu.
Ce dernier était justement entrain de franchir sa partie du parcours, jusqu’ici ça allait et le fait d’être dernier te foutait une pression de ouf. T’étais même pas rassuré à l’idée d’être le seul mec du quatrième tour…
Robin arrive juste après une fille.
Tu te redresses Sasha, récupérant le relais.

▬ YEEES !!

Tu t’élances avec le sourire, pour récupérer… un singe ?? Sur le coup, t’es pas trop serein, mais bon, il t’as suffit de voir la chèvre de Crush lui foutre un coup, pour te convaincre que le singe, c’était top.

▬ Allez Donkey, on y va !

Trop optimiste, trop déter…
Tu te voyais déjà taper ton meilleur run avec le bestiaux dans les bras, mais non, ton petit Donkey en a décidé autrement Sasha.
Il est clairement surexcité le truc et t’es bien obligé de l’attendre, essayant de ne pas perdre patience, toi qui voulais gagner, c’était un peu râper non ? Enfin… t’arrivera pas dernier, c’est ce que tu te dis en voyant Diane avec un éléphant.

▬ Pitié, dites-moi que j’suis pas aussi chiant que ce singe.

L’hyperactif en toi compatis.
Enfin, tu réussi quand même a faire avancer le singe, le sourire s’étant éteint sur tes lèvres, plus anxieux que jamais de ne pas avoir été à la hauteur.
Tu rends le relais au prof et Donkey avec, juste avant de rejoindre ton équipe pour les résultats, vraiment pas satisfait.

▬ Désolé, j’suis tombé sur une plaie.

(c) noctae

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Le membre 'Sasha Amouretti' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'FESTIVAL SPORTIF #4' :
[EVENT #3] La course de relais — Affrontement 3 - Page 2 8RZXLZa

I'm going out of my mind Messages : 101 Classe : C

Tu te concentres, bientôt c'est ton tour. Tu vas faire de ton mieux. Tu as l'habitude de courir, tu es du club d'athlétisme après tout. Alors courir ne sera pas un problème. En revanche l'animal qui te sera confié risque de l'être. Tu espère ne pas tomber sur le pire. Ton coéquipier arrive enfin, il t'encourage. Tu le remercies d'un bref hochement de tête avant de détaler. Très vite tu reçois l'animal. Une chèvre. Zut, tu sais que ce genre d'animal est têtu. Tu soupires, de toute façon tu n'as pas le choix il faut faire avec.

Sans tergiverser, tu t'avances vers l'animal qui te mets aussitôt un coup de tête dans l'abdomen. Tu grimaces puis tu l'as chopes rapidement par les cornes. Tu risques d'avoir un sacré bleu...

Tu soupires, tu n'avances pas énormément vite. Alors tu décides de te donner un coup de pouce. Tu te concentres, tout en avançant, tenant d'une main une corne de la chèvre. De l'autre tu laisses passer ton brouillard si opaque. Tu vas essayer de rendre les autres temporairement aveugle, ils ne pourront pas avancer dans ces ténèbres que créeront ce brouillard.

Tu parviens enfin à l'arrivée, ton don t'as permis de rattraper un peu de retard, tu l'espères. Tu souffles après avoir rendu l'animal à son propriétaire ainsi que le relais. Tu as bien galéré mais tu es fière de toi, c'est le principal. Tu as su réfléchir et utiliser convenablement ton alice, sans accident.

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'FESTIVAL SPORTIF #4' :
[EVENT #3] La course de relais — Affrontement 3 - Page 2 1h0jwf2

event #3LA COURSE DE RELAIS !!

« Compte sur moi ! »

Saada avait récupéré le témoin tendu par Kagerou en le remerciant d’un sourire et s’était empressée de se présenter là où l’animal lui serait attribué. Elle était un peu mitigée d’être tombée sur cette épreuve là du relai puisqu’elle ne pouvait compter sur ses propres compétences uniquement ; elle avait beau courir régulièrement et être plutôt sportive malgré les apparences, ça ne servirait pas à grand chose si on lui donnait un paresseux ou une grosse tortue comme compagnon de route.
Elle fut donc assez soulagée de découvrir le chat qu’on lui avait attribué ; certes, il semblait très peu motivé à se remuer, mais au moins ce n’était pas un animal immobile impossible à bouger.

« Coucouuu, fit-elle avec le ton de voix le plus calme dont elle pouvait faire preuve malgré l’ardeur de la course, pspspss, allez viens sois gentil, s’il te plaît… »

Manifestement, il n’en n’avait pas la moindre envie ; comme le temps lui manquait, Saada se risqua à le prendre dans ses bras pour le porter tout en courant jusqu’à la ligne d’arrivée.
Le drame arriva quelques mètres plus loin.
Visiblement agacé d’être ainsi secoué comme un prunier au beau milieu de sa sieste, le félin commença à lui grogner dessus et ne se priva pas de lui faire part de son mécontentement à recours de coups de pattes d’avertissement. Elle continua malgré tout de courir en le tenant aussi fermement que possible contre elle et priant pour ne pas se faire arracher un œil, mais arrivé aux limites de sa patience, l’animal se montra plus…virulent.

Une interruption momentanée de sa course fut nécessaire pour essuyer l'assaut vicieux des griffes acérées. Et c’est une Saada aux joues bien égratignées qui franchit la ligne d’arrivée, aussi enchantée que la teigne qu'elle tenait toujours dans les bras.

made by miss amazing.

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Le membre 'Saada H. Radjah' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'FESTIVAL SPORTIF #4' :
[EVENT #3] La course de relais — Affrontement 3 - Page 2 WMmFpCf

Invité

Course de relais

Elle les voit Crush, réussir tour à tour. Passer à travers les épreuves sans rien manquer de chaque étape, il y a le rire des tenues et les étoiles dans les yeux pour Elyas, on les ouvre grand devant l’adresse d’Agnés, mais c’est bien sur Alexandra que l’on s’attarde le plus, fixe le relai c’est le souffle que l’on retient quand elle traverse le marai.

Les palpitations qui s’accélèrent à mesure qu’Alexandra se rapproche d’elle. La dernière. Le sourire est immense mais la pression grandi, tant que l’on oublie de crier pour soutenir. Trop concentré. Parce que si elle se rate Crush, plus personne ne sera là pour rattraper et c’est tout l’avance qu’ils ont reussi a gagné qui se verrait envolé.

« Vous avez gérez ! Merci ! Je fonce ! »

Elle a le coeur qui s’enflamme et elle retient l’alice de reprendre tout l’amour qui ne demande qu'à déborder. Relai en main. C’est elle qui ouvre les hostilités. Ou plutôt c’est la chèvre. Ca part dans tous les sens, et elle le coup dans le ventre laissera un jolie souvenir bleuté. Mais pas question de perdre l’avance que les autres ont réussi a obtenir.
Attrape une corne à la volé, réussi à saisir la deuxième. Elle la traîne Crush, et elle la traînera jusqu’au bout du terrain, qu’elle le veuille ou non.

« JTE JURE LA CHÈVRE TU VAS PAS COMMENCER A SAOULER. SI J'SUIS LA SEULE QUI ME PLANTE J’VAIS PAS AVOIR L’AIR CON. »

Et c’est l’arrivé qu’elle voit enfin, n’ose pas encore regarder aux alentour tant que la ligne n’est pas franchi. De toutes ses forces, elle ne lâche rien jusqu'à pouvoir enfin donner le relai en signe de réussite.

Event groupe 3
elle te parle en #9c236c

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'FESTIVAL SPORTIF #4' :
[EVENT #3] La course de relais — Affrontement 3 - Page 2 1h0jwf2

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Event#3 — La course de relais affrontement #3

Résultat des courses

La team numéro 13 remporte la course avec 15 points. C'est la plus rapide.
La team numéro 10 arrive deuxième avec 12 points.
La team numéro 12 arrive troisième avec 11 points.
La team numéro 11 arrive quatrième avec 10 points.
La team numéro 14 arrive dernière avec 6 points...

Intervention PNJ

Au moment où le coup de sifflet retentit, pour signaler la fin de la course, tout le monde avait déjà un peu compris que quelque chose d’anormal se passait. Le directeur du lycée disparu des radars, les militaires inspectant arme en main les gradins, des anciens participants absents du terrain, ... Une sorte de tension se profilait dans un silence académique, uniquement bercé par les fanfares du club de musique.

Comme sur Titanic, tant qu’on leur ordonnait de continuer de jouer, les élèves musiciens poursuivaient la mélodie du bonheur. La directrice du collège était toujours assise sur son siège, la tête oscillant de gauche à droite en rythme avec la symphonie, comme profondément ennuyée par tout ce qui l’entourait. Les yeux mi-clos, elle semblait même somnoler. Alvin Winchester se leva à son tour, une main sur le front afin de pouvoir mieux discerner ce qu’il se passait à l’horizon.

— « Oh Oh. Nous ne serons donc jamais en paix dans cette école. Si l’armée décide de s’en mêler, je crois bien que c’est encore du sérieux. »
— « Je crois surtout que c’est justement eux, qui en font trop. » articula la voix fatiguée d’Agatha.

***

Une détonation retentit alors depuis les gradins et une étrange fumée blanche se répandit progressivement, sous la forme d’une épais nuage recouvrant une bonne partie des bancs. Les militaires aboyaient pour se retrouver, n’osant pas tirer à l’aveugle de peur de heurter des innocents. Un groupe composé de plusieurs silhouettes s’extirpèrent alors méthodiquement de la cohue pour se rapprocher du centre du stade, là où se trouvaient encore les équipes du troisième affrontement.

— « ALEXANDRA ! »

Liam Carter avait automatiquement reconnu sa fille, et alors qu’il courait vers elle, un bras lui saisit le bras avant qu’il ne puisse l’atteindre. C’était une femme aux cheveux bruns, ondulés, un sourire rêveur au bout des lèvres. Elle avait murmuré avec douceur. « Doucement Liam, je sais que tu es pressé de la revoir, mais nous devons être prudents. »
Elle était suivie d’un homme, qui cherchait le contact de sa main. Ses yeux se posèrent sur Orion qu’il détailla avec attention.

— « Mon fils. » George Lindberg, suivi de la jolie brune - Anabel - se dirigèrent en direction du président du conseil. S’ils étaient persuadés que c’était leur fils malgré les années qui les avaient séparés, c’était bien parce qu’Orion ressemblait trait pour trait à son père. « Je suis si ému de te revoir. Dis quelque chose… » Anabel remarqua la petite étoile de major cousue sur le t-shirt de son fils et s’empressa d’ajouter comme s’il fallait combler un silence. « Nous sommes très fiers de toi. »

Au même instant, le père d’Alexandra s’était jeté dans ses bras, la serrant fort contre lui, comme si elle n’avait pas changé. Elle était restée sa fille fragile, celle qu’il devait protéger quoi qu’il arrive. C’était une aubaine. « Je te sors d’ici. On a trouvé un moyen, on a trouvé un moyen. »

Le reste du petit groupe d’adultes arrivait en trottinant, essoufflés. L’un d’eux tenait dans ses mains ce qui ressemblait à une goupille de grenade, mais blanche. Le premier duo qui les rejoignit était hystérique.

— « ULYYYYYYSE MON AMOUR MA VIE MON FILS ! »

La mère avait presque soulevé l’adolescent une fois à sa hauteur, puis elle s’était mise à pleurer. L’instant d’après, elle lui asséna une gifle, sans arrêter de sangloter. « Comment as-tu osé nous abandonner ???? J’étais si INQUIÈTE ! » Le père attrapa les poignets de sa femme sans savoir comment s’y prendre pour la calmer. « Arrête chérie, tu vas lui faire mal ! » Il se figea en remarquant la fille à côté de lui. Elle ressemblait trait pour trait à sa femme. Et à son fils, son fils unique. « Charline.. Charline regarde… »

Une autre femme s’était faite remarquer pour son attitude névrosée. Elle avait trépigné sur place, à moitié haletante pour enfin jeter son dévolu sur Sasha, caché dans un coin. Elle avait poussé tous ceux à côté de lui pour le saisir par les épaules. Ses bras tremblaient. « Tu es si maigre… Je peux sentir tes os… Qu’est-ce qu’ils t’ont fait mon petit Sasha d’amour ? Maman est là, n’aie plus peur de rien maintenant. Maman les anéantira tous un par un s’il le faut. » elle murmurait à son oreille mais sa voix déraillait, elle perdait les pédales. « Tu m’as tellement manqué, j’ai cru mourir sans toi à la maison. Où est Magnolia ? Héloise vous attend, elle vous attend. Oh la la… »

Celui qui tenait la goupille, c’était Jeremy Amber. L’air assuré, il souriait d’une mine détendue. Il portait une arme accroché à sa ceinture, dissimulée par sa veste en cuir.

— « On a très peu de temps. Est-ce que quelqu’un aurait vu ma fille June ? J’ai cru l’apercevoir courir sur le terrain. June, c’est Papa ! Montre-toi ! Papa a fait diversion mais nous n’avons pas beaucoup de temps. »

Le temps ne se comptait désormais plus en secondes sur la grande horloge de l’académie alice, mais bien aux battements de leurs coeurs avant qu’ils ne s’arrêtent de stupeur.

Instructions

— Privilégiez des réponses courtes et dynamiques.
— Le groupe composé d'élèves (+ Nora) se trouvent au centre du stade.
— Le staff interviendra entre chaque tour sauf indication contraire.
— Merci de mettre une de ces trois étoiles à chaque poste de votre part pour nous indiquer le nombre de fois où vous utiliserez votre alice.
Jamais utilisé :

Code:: <center><img src="https://i.imgur.com/j0BiYF3.png" /></center>

Utilisé une fois :

Code:: <center><img src="https://i.imgur.com/GEUfuHu.png" /></center>

Utilisé deux fois :

Code:: <center><img src="https://i.imgur.com/f5IjCXG.png" /></center>

Utilisé trois fois :

Code:: <center><img src="https://i.imgur.com/pl4ddfO.png" /></center>

(musique) c'est fini. c'est fini, il a retiré le costume, s'est approché de la fin de la course pour aller féliciter son équipe, remercier les professeurs investis dans la récupération des relais - on lui demandera même de faire un discours à l'annonce des résultats. alors il se lèvera et prendra la parole, très fort et tout haut, sans jamais hésiter car sa vie est quadrillée. car tout fait sens, et rien ne le surprend.
il n'a pas à se rassurer car il ne se doute de rien quand il rejoint le petit attroupement, il fronce un peu les sourcils à la fumée, regardant autour de lui. des voix commencent à s'élever et tout l'univers adolescent semble s'écrouler.
des visages d'adultes inconnus qu'il n'arrive pas à remettre dans son monde, des bras qui attrapent, des lèvres qui embrassent. il n'éprouve rien, se dissocie de la situation comme il a l'habitude de le faire ; réfléchit d'abord à comment tout remettre en ordre, empêcher le reste des élèves de paniquer.

ses yeux s'apposent sur le couple qui s'approche, main dans la main. il est la chair de leur chair et pourtant il ne tremble pas, ses lèvres ne se cisaillent pas d'un sourire désarmé, de la volonté de se fondre dans leurs bras. les yeux qu'il appose sont pleins d'incompréhension et surtout, ils sont ceux d'un étranger. car s'il reconnaît ses propres traits dans celui de george qui l'apostrophe d'ailleurs, s'il se souvient adolescent avoir utilisé son alice sur un objet de son enfance pour avoir un visage à mettre sur le mot "parents", il n'éprouve aucune affection matérielle pour eux. à l'époque trop jeune, et maintenant trop vieux ; il n'a jamais donné suite aux relations épistolaires, jugeant inutile de graver des émotions inutiles et qui nuiront peut-être à ses ambitions.
cela lui fait étrange tout de même et il se sent profondément vieilli, d'une sagesse et d'une maturité bien plus développée que celle des deux adultes. il en est devenu un aussi et il s'en rend surtout compte du danger que cela représente de se glisser dans l'académie pour l'extirper d'un système où il ne lui reste que deux ans. tout ça, ce n'est pas prévu. sinon il aurait été mis au courant, il n'y aurait pas tout ce grabuge. qu'est-ce que vous faites ici ? vous ne devriez pas être là. il ne les prend pas dans ses bras, raide ; sa mère lui semble minuscule et il n'a pas de souvenirs des rides qui ornent maintenant son minois. il ne l'a jamais revue pour de vrai depuis ses trois ans malgré son rang de major. vous devez rentrer, vous ne pouvez pas rester là. il détourne le regard avec froideur, cherchant des membres du personnel pour voir qu'elles sont les mesures choisies quant aux différents parents visiblement présents.

orion s'est bâti sans s'attacher à ces figures qui hantent souvent la jeunesse, laissant de côté la puissance et l'attachement des origines.

TROIS ÉTOILES Messages : 151 Classe : E.

festival sportif
event

A peine avait-elle remis le relais que la fumée blanche se mit à envahir le stade. Diane avait plissé les yeux, rejointe par Ulysse à la ligne d'arrivée, à qui elle adressa un sourire, un peu bancal. Le regard interrogatif, elle recula d'un pas lorsque des adultes s'approchèrent.

« Qu'est-ce qu- »

Une voix de femme se fit claquante dans ses oreilles, et Diane recula rapidement lorsque la mère de Ulysse se jeta sur son fils. Elle ne comprenait pas bien la situation, et ce rassemblement de retrouvailles la mettait mal à l'aise. Elle s'était mise en retrait, les épaules relevées et le visage bas.

Lorsque l'attention de l'homme, suivi de sa femme, se dirigea contre eux, elle ne sut plus où se mettre. Que lui voulaient-ils ? Elle balbutia.

« Non- euh- C'est pas ce que vous croyez, ne vous en faites pas, on est pas ensemble... Ulysse et moi.. haha. »

Pourquoi la regardaient-ils de cette manière ? Elle s'était mise à rougir. Elle ne leur avait pas volé leur fils. Et même si elle représentait l'académie, ce n'était pas de sa faute. Pas vrai ? Elle recula d'un pas à nouveau.

« Par contre vous... »

ne devriez pas être là ; Diane tourna la tête vers Orion, hocha la tête pour approuver la phrase qu'il prononça à sa place.

pour toi, Alexandra,
ce sont les larmes qui te sont venues instantanément.
ce ne sont pas celles de la victoire non,
ce sont celles du "crac" de ton coeur qui se déchire une nouvelle une fois.

et c'est pire lorsqu'il se jette dans les bras,
ça ouvre les valves d'un coup,
tu lâches toutes tes larmes;

― Papa ! tu ne devrais pas être là Papa je...
Père, père,
j'ai perdu la foi,
père père,
je ne suis plus comme toi.

― papa je suis désolée mais... je peux pas te suivre tu comprends ? je suis plus comme... comme avant...
père père,
regarde-moi,
sensible mais pas fragile,
tu sais tu peux me laisser là.
père, père,
quel est le plus dur,
te rejeter ou savoir que
si tu savais qui je suis devenue
tu serais déçu ?

tu desserres son étreinte, et tu recules d'un pas;
et tu pleures et tu pleures,
et tu le sens dans tout ton corps,
ce coeur qui hurle et qui brûle
et qui se déchire qui se piétine,
cette fois, il faudra plus que de la pommade et des pansements pour réparer ça.

― Papa faut que tu t'en ailles j't'en prie ils ont déjà tiré sur des élèves ici faut que tu partes ils pourraient te faire du mal Papa par pitié il faut que tu t'en ailles

et tu lui prends la main et tu fixes tes pupilles dans les siennes parce que tu comprends Papa c'est très important c'est très grave ceci est un appel à l'aide je ne rigole pas ils pourraient vraiment te faire du mal.

― il faut que tu me fasses confiance, je suis plus comme avant, je suis plus aussi fragile, Papa je te promets de vivre et de vivre encore mais par pitié faut pas que tu restes ici..

s'il te plaît, ne me force pas à t'abandonner
je ne veux plus revivre ça plus jamais;
ne me force pas à t'abandonner comme tu l'as fait
il y'a neuf ans passés.

et tu pleures Alexandra, qu'importe les regards
tu pleures vos coeurs
que vous êtes en train de briser encore une fois.

— gitano;

boy with luv Messages : 206 Age : 27 Classe : F.

festival sportif ★
la famille fait souffrir, la famille nous consume, mais non, nous ne sommes pas obligé de l'aimer.

Rejoignant ton équipe pour les résultats… avant dernier, c’était vraiment pas ouf, t’étais ultra déçu et surtout de toi-même, mais tu n’as pas eu le temps de leur en faire part.
Frisson dans la nuque.
Ton alice.
Instinctivement, tu relèves la tête.
C’est à ce moment précis que la détonation retentit dans les gradins.
C’est quoi encore cette merde ?
Ton regard cherche ceux de ton équipe.
Qu’est-ce qu’il faut faire ?
Les militaires hurlent des trucs que tu ne comprends pas et puis tu entends quelqu’un hurler un prénom, Alexandra. Plissant les yeux, tu constates que c’est un adulte…
Au fond, tu as compris.
Pourtant, tu ne réalises pas.
Où est-ce parce que tu es trop choqué Sasha ?
Le regard qui glisse trop vite sur tout les autres, tu ne la vois pas arriver vers toi… puis bon, faut dire que la mère d’Ulysse a su capter l’attention.
Mais elle est bien là.
Et tu ne la vois vraiment qu’une fois ses mains sur tes épaules.
Ses longs cheveux blonds tirent un peu plus sur le blanc, pile à la limite entre le blond des blés et le blanc lunaire. Elle a quelques rides, mais son regard n’a pas changé : bleu profond, avec cet éclat étrange qui brille au-dedans. Susan Amouretti est toujours aussi belle, peut-être même plus que dans ton souvenir.
Tu ne l’écoutes pas vraiment, l’oreille distraite, trop surpris de la voir… de sentir son caractéristique parfum quand elle t’enlace.
Maman les anéantira tous un par un s’il le faut.
Tes yeux s’écarquillent et ton corps se tend.

▬ Ma-man, qu’est-ce que tu…

Où est Magnolia ? Héloïse vous attend.
Tout les poils de ton corps se sont soudainement dressés, les sueurs froides ont coulées le long de ton dos et malgré que tu ais l’impression d’être crispé de la tête aux pieds, ton corps c’est dégagé avec une violence notable de son emprise.
C’était ton alice.
Plus fort que jamais.
Ainsi que la vérité qui t’éclatais à la face.

▬ NE ME TOUCHE PAS !!!

Tu t’es mis à lui hurler dessus tel un orage qui explose en plein ciel. Tremblant au point d’en claquer des dents et obligé de serrer les poings pour garder un minimum de contenance.
Bien sûr, tu vois l’incompréhension dans son regard et Susan fait un pas un avant, vers toi Sasha.

▬ PUTAIN MAIS RESTE LOIN !! NE ME TOUCHE PAS !!!

Un étrange mélange de colère, de peur, de frustration et… d’amour. Parce que c’était bien ça son don à elle, t’obliger à l’aimer à en crever, mais pas question qu’elle recommence. Pas moyen que son alice t’atteigne une fois de plus.
Tout ce qui n’allait pas chez toi.
Tout ce qui déraillait dans ton existence.
C’était de sa faute à elle.
A ta mère.

(c) noctae

xoxo gossip boy Messages : 119 Classe : E

FESTIVAL SPORTIF

[EVENT #3] La course de relais — Affrontement 3 - Page 2 67842131_1319143091592561_2241527563819932682_n.jpg?_nc_ht=scontent-yyz1-1.cdninstagram

[Je me suis foiré et j'ai perdu la précédente Réponse... Fail en utilisant l'Editing... my bad, du coup, je vais réécrire ce que Kalev a fait, en résumé:

-Il a utilisé son alice pour envoyer un signal aux militaires pour demander de l'assistance au niveau du Stade

- Il s'est interposé devant Sasha et sa mère,

-Il a demandé à Sasha de s'enfuir.]

awful

I'm going out of my mind Messages : 101 Classe : C

Tu es encore essoufflée lorsque tu entends une voix familière arriver jusqu'à tes oreilles. Tu te retournes doucement vers la source jusqu'à apercevoir une personne qui t'es chère. Ton père.

- Pa... Papa ?

Tu n'en reviens pas, tu te frottes les yeux, cela ne peux pas être possible. Il ne peut pas être là. Tu bafouilles, n'arrivant pas à faire sortir tes phrases avec un minimum de sens. Comment est-ce possible ? Les larmes montent jusqu'à tes yeux tandis que tes pieds se mettent à marcher tout seul vers ton père.

Tu débloques, ça ne peut pas être en train d'arriver.

- Tu ne devrez pas être ici n'est-ce pas ? Ils vont sans doute vous chasser... Je ne veux pas qu'ils vous fasses du mal à toi ou à maman.

Tu baisses tristement la tête, les larmes coulant sur tes joues et ta main sur ta pierre autour de ton cou. Tu restes à présent figée.
Soudain tu aperçois la grenade à ses mains. Tu sais déjà qu'il sera en mauvaise posture et que ce cas est grave. Tu en es que plus affligée. Tu ne désirais pas cela.

PROFESSEURE PRINCIPALE DES PSY Messages : 66 Age : 27

festival sportif
course à relais

Tu avais rejoint le reste de ton équipe dans l’attente des résultats, fière de votre performance même si elle ne vous aura valu, finalement, que la troisième place. C’étaient ces petits moments d’effervescence qui te rappelaient les raisons qui t’avaient poussée à devenir professeure, à profiter de chaque instant avec ces adolescents et jeunes adultes aux talents exceptionnels. Tu allais te tourner vers tes coéquipiers pour les féliciter lorsque la détonation se fait entendre depuis les gradins.
Bien entendu, il fallait que quelque chose arrive.

Surprise, tu ne peux qu’être spectatrice de l’arrivée des adultes, fendant la fumée blanche en scandant le nom d’élèves près de toi. Ah. Des parents.
Et il fallait que tu sois la seule enseignante présente au centre du stade, au milieu d’élèves réquisitionnés par leurs géniteurs. Bonheur total.
Malgré la peur qui te tord les tripes – tu n’avais jamais été entraînée à faire face à une telle situation, et jouer au héros ne te plaisait guère – tu n’as pas le choix de penser à l’essentiel : la sécurité des élèves.

Tu t’élances Nora, tu t’élances plus près des élèves, t’assurant que tout le monde allait bien, et t’approches de ceux qui se sont fait aborder par leurs parents, repoussant d’un battement de cil l’instinct de survie qui te souffle de prendre tes jambes à ton coup.
Incertaine de ce qu’il faut dire, incertaine de ce qu’il faut faire, tu te dirigeais vers Orion lorsqu’un hurlement attire davantage ton attention. Déstabilisée, tu tournes la tête et aperçois Sasha Amouretti accaparé de sa mère.

Ce cri du cœur te convainc d’intervenir et tu cours, Nora, tu cours comme si ta vie en dépendait parce que celle d’un élève semblait menacée, et ça tu n’aurais jamais pu le supporter.
Sans savoir si tu faisais la bonne chose – ce qui était attendu de toi, de part et d’autre – tu rejoins enfin le jeune homme, déjà secouru par Kalev. Heureusement, l’entraide étudiante était toujours présente. « Sasha. » Tu le fixes de ce regard bienveillant, ta voix se faisant plus douce pour éviter de lui montrer la panique qui secoue ton cœur. « Va avec Kalev rejoindre les autres. » Tu pointes au loin un groupe d’élèves isolés des autres, point visés par l’hystérie des parents nouvellement arrivés.

Puis, sans attendre de voir s’ils suivent tes recommandations ou non, tu te tournes vers la mère munie d’une assurance factice, bâtie rapidement pour te donner une certaine crédibilité alors qu’à l’intérieur tu trembles comme une feuille. « Madame, je vais devoir vous demander de quitter, vous n’avez rien à faire ici. » Tu te déplaces face à elle, faible tentative de paraître plus imposante tout en lui cachant son garçon.

+ noteshow to deal with angry parents 101

BY MITZI

chaotic dumb bitch Messages : 312 Age : 26 Classe : E

event #3LA COURSE DE RELAIS !!

Robin avait l’ouïe fine ; dès que l’adrénaline retomba après avoir terminé sa part du relai, il avait entendu les drôles de cris qui sonnaient faux au milieu des encouragements et mû par un corps et un esprit encore marqué des évènements de ces derniers mois, tous ses muscles s’étaient tendus et une sensation désagréable lui était tombée dans l’estomac comme un poids.
Tu te fais des idées mec, ressaisis-toi. Sasha avait encore besoin d’être encouragé alors il s’attela à la tâche mais le cœur n’était plus aussi présent et investi que lorsqu’il avait crié pour Elior et Eulalie.
Le mauvais pressentiment se révéla exact quand le coup de sifflet final annonçant la fin de la course fut donné, et que tout le monde semblait avoir comme lui la tête ailleurs que sur les résultats ; plus encore quand une détonation se fit entendre et qu’une fumée blanche recouvrit les gradins.

Robin se tourna aussitôt pour retrouver ses amis dans l’agitation, angoissé par les cris des militaires armés qui n’avaient pour effet que de rendre plus vivaces encore les souvenirs terrifiants de décembre et janvier. Il repéra Elyas dont la tête dépassait souvent celle des autres et le rejoignit tout en jetant des regards perplexes autour de lui dans l’espoir de comprendre ce qu’il se passait.
Il était persuadé d’avoir entendu Papa et Maman ; et le nœud dans le ventre se tordit davantage.

« Elyas, ça va ?! fit-il en arrivant à hauteur de son ami, le souffle court –il était encore épuise de sa course. Tu sais ce qu’il se passe ? »

S'il se sentait un peu plus rassuré à ses côtés, il n'en restait pas moins à regarder frénétiquement autour de lui dans le but d'apercevoir ses autres amis –impossible pour lui d'être un tant soi peu tranquille tant qu'ils ne s'étaient pas tous retrouvés.

« Est-ce que... c'est des parents ? »

made by miss amazing.

Des étirements, des souffles, quelques boutades faites de costumes et d'éléphants, un moment plat et habituel, qui revenait comme un carrousel chaque année, toujours différent et authentiquement identique à la fois.

Fiona sursauta comme ses pairs au bruit de la détonation, qui vint détruire le carrousel si bien huilé de leurs existence, alors que des silhouettes émergent. Il y eu des appels, des accolades et l'incompréhension, au début. Cela aurait dû être évident et pourtant son inconscient refuse d'y croire et lui bloque le sens. Elle emboîte d'abord le pas de sa professeure vers Orion qui face à deux adultes qu'elle ne voit qu'à demi, et quand Mme Smith se laisse dévier vers les cris, elle laisse les troubles à son bon soin et continue son pas vers le président.

▬ Que se passe-t-il Orion, qui sont ces gens? Tu as besoin d'ai-.

Ah.
Les oreilles peuvent faire semblant de ne pas entendre et la logique de ne pas comprendre mais les yeux ne pouvaient pas se mentir quand confrontés aux évidentes ressemblances entre Orion et son père.
Elle ne cherche même pas les alentours pour voir si sa propre famille est venue. Elle ne veut pas les voir. Elle n'a jamais voulu les revoir, ni les entendre, ni les pardonner, alors elle préfère ne pas savoir. Elle entend des bribes de sanglots et de retrouvailles douloureuses autour d'elle, et pour la première fois, pendant un instant, elle n'est pas sûre, quelle serait la chose la plus juste à faire, et elle tend un regard interrogatif à Orion, dont le stoïcisme la ramène immédiatement à la réalité.

Leur intervention ne faisait que les mettre en danger, et rendre leurs séparations encore plus douloureuses. Que pouvaient une poignée d'adultes qui avaient impuissants pour protéger leurs enfants par le passé face à l'armée et l'élite de l'humanité. Alors elle durcit son regard, mais ne dit rien, car elle sait que ce n'est pas sa place de parler, et qu'elle sait déjà que tout ce qui devait être dit à déjà été dit.

Droite et immobile et prête à obéir aux ordres, comme l'obéissante fade petite poupée de papier qu'elle est devenue, elle reste là, sans un mot, mais les yeux pleins de durs discours.

IIf my velocity starts
to make you sweat,
Then just don't let go
And if the Heaven
ain't got a vacancy
Then we just,
then we just,
then we just
Then we just get up and go!

FT. EQUIPE BLANCHE
AVRIL & GRAND STADE

festival
sportif

DEUX ÉTOILES Messages : 132 Age : 28 Classe : D.

Diane était tombée sur un éléphant. Alors que tu sortais encore du marais, tout boueux, tu avais constaté avec dépit que votre équipe était donc arrivé la dernière. Tu fais la moue, mauvais perdant mais rejoint Diane quelques minutes plus tard après être parti te changer.

La défaite avait un gout amer, surtout que tu avais pourtant été sur de toi durant tout le parcours. Fiona t'avait confié ses espoirs, et tu avais confié les tiens à Diane, qui avait confié les siens à un putain de pachyderme.

Une explosion retentit et un nuage de fumée se répand dans les gradins. Instinct protecteur, tu te places devant Diane pour la protéger. Tu cherches si tu aperçois des copains dans la cohue mais il avait suffit de quelques minutes pour être rejoint par des adutes inconnus au bataillon.
Enfin, pas tous.
C'est tremblant de tout tes membres que tu aperçois ta mère se précipiter vers toi.

Elle crie et ça t'impressionne un peu Ulysse. T'étais plus habitué à la sentir contre toi. Une gifle plus tard que tu encaisses en te frottant la main et tu éclates de rire.

— « Eh faut se détendre hein. »

Tu avais souris nerveusement, un peu sous le choc. Ici, tu vivais ta meilleure vie, alors pourquoi est-ce qu'elle t'imaginait en danger ?

— « Mais pourquoi tu me frappes ???? MOI JE T'AIME MAM'S MAIS LA TU FAIS PEUR ! »

Ton père fixe Diane et tu t'empourpres. Celle-ci s'empresse de se justifier, et tu fais une grimace.

— « Aie, un soldat à terre. »

Tu attrapes Diane par le poignet et enroules ton bras autour d'elle.

— « ALORS. Pas encore mais bientôt ? Je comptais te le dire Diane mais du coup je te présente à mes darons. »

L'adrénaline te faisait vraiment dire n'importe quoi, c'était affligeant.

la french girl d'elyas Messages : 646 Classe : E

festival

avril

À la langue on avait répondu par les majeurs et on avait pris plaisir à rejoindre Elyas pour hurler ses encouragements à Eulalie - en retirant le costume parce que tout de même. La course avait défilé et malgré le classement et les taquineries envoyé par ton meilleur ami, tu ne te sentais pas réellement déçu par le résultat - tu étais avec Eulalie, Robin, Sasha et partager ça avec eux aujourd'hui valait toute les victoires ; et en ce sens on essaie d'oublier le tiraillement qui entaillait actuellement tes jambes - chose qui arrivait de plus en plus souvent après avoir couru ; pas le temps d'y penser aujourd'hui on est heureux et jusqu'à la fin on s'époumone pour Sasha.

Imperméable à l'agitation des tribunes, pourtant la réalité vint très vite à te rattraper quand une violente détonation vint percuter tes oreilles, te faisant sursauter et créant une agitation encore traumatisée par les événements du début d'année. L'angoisse monte d'un coup et pour rien au monde tu ne te sépares d'Elyas, obsédé par cette protection quasi maladive que tu lui vouais, tu calcules à peine Robin qui vint vous rejoindre ni ce qui t'entoure, avançant même d'un pas pour observer ce qui se déroulait devant vous ; analysant ce qui se dévoilait à vous, déjà prêt à t'élancer sous toute source de danger.

Est-ce que c'est... des parents ?

Abasourdi tu observes, contemples des retrouvailles aussi violentes qu'émouvantes - tu ne ressens rien de particulier face à ce spectacle dont tu ne connaîtra jamais la saveur, sauf l'irrépressible envie de t'élancer aux côtés de Sasha alors qu'il hurlait. Le rejet total dont il faisait preuve venait de t'ébranler - mais tu ne bougeais pas, statufié auprès d'Elyas alors que l'adrénaline parcourait tout ton être.

— ... On fait quoi ?

On devrait partir.

Les militaires, la détonation, l'agitation, les parents et les enfants et puis vous au milieu de tout ça.

Robin, Elyas, Elior
quelle place auriez vous pu avoir dans tout ceci

festival sportif
team swag

Plutôt satisfait de leur course à tous, il avait ri avec Agnès, Alexandra et Crush, ravi d'être si bien entouré. Mais l'heure n'était pas au rire et Elyas n'avait pas manqué de ressentir - et constater - la tension ambiante. Lorsque la détonation retentit pour laisser place à la fumée blanche, son premier réflexe avait été de chercher le contact de Elior, s'assurer d'une main sur l'épaule qu'il était là ; que tout allait bien.

Il était resté muet, pendant plusieurs secondes, malgré les questions de Robin puis de Elior. Leurs voix n'avaient pas suffi à l'extirper de la tristesse qui avait noyé ses yeux, quelques instants à peine.

Des parents.
Elyas s'était senti fragile pendant une seconde.
Puis il releva la tête, et le dos.
Sa voix ricana, un peu teintée d'ironie.

« On n'a rien à faire là, c'est vrai. »

Elyas, Robin, Elior.
Ils étaient devenus leur propre famille.
Il recula d'un pas, emmena Elior avec lui.

« Et je ne veux pas être mêlé à ça. »

Chercha à partir, si c'était possible.
Hors de question d'être encore mêlé à des histoires. La dernière fois, ça s'était mal terminé pour Elior - et pour tout le monde d'ailleurs.

LEGENDARY TRAINER + ROCK TYPE Messages : 116 Classe : e

LA COURSE DE RELAIS — épreuve 2

Mauvaise joueuse par moment, même si tu n’avais pas voulu te l’avouer. Même si tu avais merveilleusement bien feinté, qu’en vérité, la course ne détenait aucune once de ton intérêt. Le sourcil élevé lorsque tu remarques que l’avance que tu avais apporté à ton équipe avait simplement été balayé par Kagerou. Si honteux. Bien heureusement l’équipe que tu aides ne comptais pas que des incapable en son sein, de quoi vous apporter la seconde place. Seconde place ?

Un soupir de lassitude avec toutefois la vraie passion qui renaît. Si votre course était enfin terminée, tu pourrais retrouver ta quiétude, retourner auprès de ta vraie équipe. Celle qui avait besoin de toi, celle pour qui tu existais. Du moins, ce ne fut que l’espoir de quelques instants. Une épaisse fumée blanche, alors les yeux qui se plissent et le regard qui tente de balayer l’horizon. Tente de percevoir ce qu’il peut bien se produire, une fois encore, dans cette académie. Et des voix qui viennent s’élever, des adultes cherchant des étudiants. Plus précisément, l’intime conviction qu’il puisse s’agir de parent à la recherche, de leur enfant. Les bras croisés contre le torse, observant ces altercations qui n’avaient pas l’air d’être si féerique comme certains jeune alice auraient pu le croire.

« Jamais en paix dans cette école. »

Et c’est le regard qui s’élève vers le ciel, l’agacement quasi-présent. Au fond, n’étais-tu simplement pas jalouse Aries ? Bien consciente que jamais tes parents se mettraient dans une telle situation pour ta petite personne, bien qu’au fond de toi, tout au fond de ton cœur, tu aimerais qu’ils remuent ciel et terre pour venir te retrouver. Bien consciente que jamais tes parents se mettraient dans une telle situation pour ta petite personne, bien qu’au fond de toi, tout au fond de ton cœur, tu aimerais qu’ils remuent ciel et terre pour venir te retrouver.

Ton bras droit qui vient prendre appui sur la gauche, toujours collé contre ton ventre. Pour que cette main vienne parcourir ta chevelure bicolore d’un coup de vent. Un acte qui te permet de remarquer un petit groupe, Elyas et Robin camarade de ta rta, qui semblait partir de cette situation. D’un haussement de sourcil, tes pas te guidèrent vers eux comme un vulgaire Boustiflor retrouvant son James.

Bien que les problèmes étaient ton quotidien, ces derniers n’étaient aucunement liés à ta sublime personne. Alors tu n’avais pas envie d’y être concernée d’une quelconque manière.

LETO

DEUX ÉTOILES Messages : 182 Age : 20 Classe : E

EVENT#3

festival sportif

j'ai dansé avec les lianes et maintenant j'embrasse la victoire. après une chaude accolade à toute mon équipe je décide de sortir du terrain mais quelque chose sonne faux. la tension devenue palpable m'étouffe et j'ai ressenti que l'heure n'était plus aux bravos. je rejoins discrètement elyas elior et robin (eux aussi ne sont rejoints de personnes) et je décide de rester avec eux, qu'importe où ils vont. je ne risque rien de toute façon presque rien ne m'est létal.
répondant à elyas je guette la scène d'un œil distant mais attentif
« moi non plus je ne veux pas être mêlée à ça. qu'est-ce qu'on fait du coup ? je ne crois pas que s'éloigner soit la meilleure solution mais ... » c'est bien ce que je veux faire.
souvenir de l’événement précédent cette fois j'ai appris ma leçon et encore me faire frapper c'est hors de question

BY CΔLΙGULΔ ☾

DEUX ÉTOILES Messages : 186 Classe : D

eventfestival sportifS'il avait été d'abord trop concentré sur la course pour faire attention à ce qu'il se passait autour de lui, Léo y voyait maintenant plus clair -les militaires armés inspectant les gradins.

Et puis un grand bruit sourd, de la fumée, des cris et des pleurs, la foule immense parcourue d'une vague de surprise -c'est l'incompréhension totale. Que des parents aient réussi à s'infiltrer dans l'académie est une première, qu'ils veulent sauver leurs enfants est du suicide. Léo est encore abasourdi par leur détermination
-ou leur simple présence ici.

Des désespérés qui remuent ciel et terre pour retrouver leurs gamins, c'est compréhensif. Mais la présence des militaires n'annonçait rien de bon. Il n'était qu'une question de temps avant que ces derniers ne les repèrent -et à ce moment-là, tout pourrait partir en vrille.

Il jette un regard autour de lui, cherchant des visages connus ; il en aperçoit certains, du club de volley surtout, mais il ne les connaît pas assez pour aller s'y accrocher et c'est dans son coin que Léo observe sans savoir quoi faire. Voir des adultes, des parents remuant ciel et terre pour retrouver leurs enfants le plonge dans un étrange et profond mal-être, sans qu'il ne sache vraiment pourquoi.

À quoi s'attendait-il? À ce que ses parents sortent de nulle part pour lui dire que "C'est fini maintenant, on rentre à la maison"? Ils le prendraient dans ses bras, lui diraient qu'ils ne lui en veulent plus, il serait enfin pardonné et la culpabilité de sa faute s'envolerait.

Mais Léo ne fait pas partie de cette poignée d'élèves confrontant leurs géniteurs. Et peut-être était-ce mieux ainsi.

Il s'approche d'un des adultes, un homme se trouvant près du président du conseil des élèves, Orion.

"Vous devriez partir. Vous n'êtes pas en sécurité, et emmener vos enfants avec vous serait plus risqué qu'autre chose."

Des paroles sincères mais froides, ponctuées par l'amertume du jeune qui a vu son faible espoir voler en éclats. 2981 12289 0

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