J’ai jamais eu de bonnes raisons de les aimer

C’est tous les ans la même chose. Pourtant elle ne s’y fait pas Cosmos. C’est pas vraiment la tradition le problème. Ou peut être bien que si, il y a  vraiment des choses qui passe pas. L’étalage des rois des reines. Elle aimait pas trop ça. Elle avait déjà élu les siens de toute façon. Et bien qu’elle ne put retenir un sourire assez satisfait quand elle vu Valéry monter sur scène, Cosmos bouillonnait malgré tout à l'intérieur. Ca devenait urgent qu’elle parle à Anaël. Il leur fallait un plan d’attaque. Elle n'était pas sur que la radio pirate soit prête à temps, et c'était bien dommage. ( Faire rougir Elliot avec une chanson de gros loveur aurait été son petit plaisir de la soirée). Elle se débrouillera autrement pour que cette soirée soit plus palpitante que l’an passé. En attendant, elle avait un autre problème à régler.

C'était hors de question qu’elle porte ça. Et pars ça, elle entendait les ailes ridicules dont on affuble les filles. Il y avait pas plus ironique que des ailes d’ange. Surtout porté par Cosmos. Elle entendait déjà les commentaires de Neumann.

Nianiania, Ca te va pas, t’es moche tu pues. Sors de sa tête toute suite Neumann.

Non vraiment, ça allait pas être possible. Chaque année, ça lui coûtait plus que la précédente et elle sentait bien que devoir revêtir cette accoutrement la une année de plus allez lui faire péter un cable. Elle savait même pas avec qui elle allait y aller cette année. Ce qui était sur en tout cas, c’est qu’elle se prenait drôlement la tête pour une bal ou elle disait  ne pas vouloir aller. Elle avait envie d’hurler Cosmos. Sans savoir quoi crier. Et de ne pas savoir ce qui la foutait autant en rogne lui donner envie de crier plus encore. Cercle vicieux. Elle irait retrouver Anaël ce soir, là, elle avait besoin de voir Aglaé. Si il y avait bien une personne capable de lui faire voir plus clair en cette instant, il y avait pas de doute, c'était elle.

Cosmos regarda sa montre et se mit en route, fouillant dans sa mémoire pour retrouver l’emploi du temps d’Aglaé. Fallait qu’elle arrête de faire ça, Hestia lui avait déjà dit que c'était flippant qu’elle trace comme ça les habitudes des gens. C'était pratique pourtant. Elle marche vite, un peu énervée, jusqu'à arrivée sur le terrain ou s'entraîne les cheerleader. C’est seulement quand elle l’a voit que Cosmos affiche son premier sourire de la journée.

Elle attend Cosmos, elle sait qu’il reste du temps avant la fin de l'entraînement, elle restera sage sur le banc, promis. Pour Aglaé elle veut bien faire des efforts. Pour Aglaé elle veut bien faire ce qu’on lui dit. On aurait pu mettre ça sur le dos de l’Alice de la cheerleader, mais c'était bien par choix que Cosmos suivait à la lettres toutes les consignes d’Aglaé.

Il fait froid sur le banc, et Cosmos se fait chier. Y’a toutes ces questions qui brûlent sa langue, alors elle a attrapé les pompoms pour s’occuper, pour pas penser. Ca se secoue, doucement, et c’est presque agréable. Tellement qu’elle finit par en faire des grands des mouvements. Elle énonce des grands slogans à faire pâlir l’administration, se prend au jeux. Si bien qu’elle a pas vu qu’elle la vrai Cheerleader était arrivée.

“ C’pas moi.”

Elle lâche tout. Prise sur le fait.

Aglaé •• Cosmos

J’ai jamais eu de bonnes raisons de les aimer

Aglaé, tu sais, tu lui fait penser à Scylla. A Scylla quand elle ne travaillait pas tant. A Scylla quand elle souriait encore. T’es la chaleur Aglaé. Tu brilles, toute entière. Elle pourrait jurer que tu rends le ciel moins gris juste avec ton sourire. Y’a le sien qui s’étire quand elle entend ta voix. Quand tu lui parles comme ça elle se sent plus petite, y’a qu’avec toi que ça ne la dérange pas. Elle veut pas être petite, et elle veut pas être grande. Avec toi, elle arrive a être simplement elle. Sans armure. Elle joue les durs Cosmos, elle porte tout à bout de bras. Victime d’une pression infligé par elle seule. Devant toi Aglaé, elle fait pas semblant. Elle se veut aussi petite que possible, emmitouflé dans ton affection. Porté par une gentillesse qu’elle ne mérite surement pas. Avec toi le temps se coupe. Avec toi elle ose reprendre sa respiration. Aglaé est là, et la fatigue retombe, le menton se baisse. Aglaé est là, et on arrête de faire semblant. C’est comme être à la maison. La maison fantasmé de toutes ces visions futurs dont elle parle tant.

Elle aimerait te rendre fière, sentir tes doigts la féliciter en agitant ses cheveux. Mais elle n’a pas de quoi se vanter présentement. Il n’y a personne à qui en vouloir à part elle. Elle s’est battue Cosmos, encore. Et alors qu’elle aborde fièrement ses blessures dans les couloires comme un trophée de guerre, elle rabats ses cheveux sur son visage pour que tu ne la grondes pas. C’est pas pareil avec toi Aglaé. T’as les allures de cette soeur qu’elle a perdu dans les couloirs. Elle connaît le grondement de ta voix quand tu t'inquiètes, elle le connaît bien, elle en a été responsable plus d’une fois.

Si elle avait gagné la bataille, peut être qu’elle aurait relevé la tête. C'était pas le cas. Elle avait prit cher Cosmos, joue, nez, arcade. Et son égo aussi en avait prit un coup cette fois. Elle l’avait montré à personne ça. Elle a pas dit aux autres non plus, qu’elle avait les angoisses d’une gamine à l’idée d’aller au bal seule. Qu’elle avait pas reussi a invité Jasmin cette année, sans même comprendre pourquoi juste demandé avait semblait impossible. Elle avait rien montré quand son coeur s'était tordu en voyant tout le monde s’activer, sans elle. Non. Quand on s'appelle Cosmos est qu’on est aussi têtu qu’elle, ça préfère râler sur les ailes d’ange comme principal raison de sa colère. Le reste,c’est trop dur a avouer.

T’es déjà prête à en découdre au moindre nom qu’elle pourrait prononcer. Et ca vrille dans la tête de Cosmos. Parce qu’il a pas de coupable. Y’a juste de la colère qu’on sait pas diriger. Alors elle se lève Cosmos, et elle se jette dans tes bras. Elle pleure pas, elle pleure jamais Cosmos, et il est hors de question qu’elle pleure pour ça, elle a juste un peu froid. Réchauffe là Aglaé, laisse la rester avec toi. Elle est fatiguée.

“ Pas besoin…”

Elle se serre un plus contre toi Aglaé. Elle aime bien être comme ça. Elle se laisse un peu aller. Elle parle un peu plus de ce qui va pas.

“ Agla...Comment tu fais ? ...Comment tu fais pour tout gérer, en même temps, comme tu fais pour être aussi forte, comment tu fais pour briller autant ? “

Elle se détache un peu et elle se montre Cosmos, sa gueule abîmé, ses yeux qui questionne. Sa faiblesse qu’elle prend pourtant tant de soin à dissimuler.

“ La radio pirate elle est pas prête, on a rien fait prévu pour le bal de cette année. RIEN. Je sais même pas avec qui j’y vais. J’ai pas envie d’y aller seule. ET CA ME GAVE. Ca me gave de VOULOIR Y ALLER, ca me gave d’y accorder de l’importance alors que j’ai LARGEMENT autre chose a penser. Et je suis là entrain de me dire nianiania le bal, nianiania je vais être seule. ET CES PUTAINS D’AILES D’ANGE BORDEL. J'VEUX PAS LES PORTER BORDEL. C’EST DE LA MERDE. “

Ca sors d’un coup, comme une vanne qu’on ouvre. Le débit est si rapide, la respiration est saccadé. Ca a envie de taper dans les murs, mais ça se prêterait le poignet. Ca se trouve ridicule a chaque nouveau mot prononcé.

Elle oublie Cosmos, elle oublie qu’elle a besoin de ça parfois. Juste vider son coeur. Elle oublis comme s’est vitale pour ne pas exploser. A quel point ça fait du bien de parler. Elle respire toujours un peu rapidement Cosmos, comme victime du flux de parole qu’elle vient de lâcher. Mais c’est déjà un peu moins lourd sur son coeur.

Aglaé •• Cosmos

J’ai jamais eu de bonnes raisons de les aimer

Ca lui creve le coeur, la transperce d’amour quand tu l’appelles comme ça Aglaé. Parce que Cosmos au fond, c’est tout ce qu’elle a toujours voulu, sans même le savoir. Une famille. Elle n’a vraiment compris ce que c'était, qu'à vos cotés. On lui a donné les bases, dans ses moments avec Scylla. Et on a appris qu’il n’y avait pas besoin du sang avec Anael. Dans ses disputes qui n’ont aucun sens, dans ses surnoms ridicules, dans cette bienveillance parfois mal assumé. Dans ses projets auquel on veut trop croire. Impliquant tout le monde dans son sillage, même Chandra qui tire la gueule. On sait ce que c’est la famille quand on se tue un petit feu, pour vivre,  pour ne pas perdre les étoiles qu’on a dans les yeux, faute d’en avoir sur l’uniforme. Elle a comprit ce que c'était l’affection pure quand elle voit qu’elle n’a plus besoin de finir ses phrases avec Hestia. Quand on ne peut plus s'arrêter de rire avec Rory malgrés la teinte grisâtre que l’on donne au décor. On sait que ce que c’est la famille quand on veut aimer une personne pour ce qu’elle est vraiment, qu’elle arrête de mentir pour être vraiment Ivy. On sait ce que c’est la famille quand on a peur pour quelqu’un. Peur de le perdre. Par le temps ou autre chose. Peur de voir la fissure se prolonger jusqu'à devenir un gouffre. Peur. Peur pour vous. Peur pour cette ensemble que l’on voudrait intouchable. Mais qu’elle voit trembler. De jour en jour.

Aglaé. Elle sait ce que c’est la famille, quand elle te voit t’impliquer pour elle. Alors que c’est rien qu’une sale gamine.  Quand elle voit la chance que c’est d’avoir une personne comme toi, auprès d’elle. Tu te fais maman dans ces discours que toi seul peut lui donner. Parce qu’elle n’a jamais écouté quelqu’un autant que toi. Elle n’entend pas les adultes, elle n’entend pas ces paroles d’avenir. Elle n’en a rien a foutre Cosmos. Elle a toujours fait comme elle a voulu. Tu sais Aglaé, même Anael n’a pas ce pouvoir la. Celui de la laisser muette. Disciplinée.

Elle est resté sans un mot Cosmos, a seulement hoché la tête sans comprendre lorsque tu lui as demandé d’attendre.

Tu balayes tout d’un revers de main Aglaé. Tu bouscules les doutes à grands coups de pied, judicieusement placé.Toujours, avec cette grâce qu’elle n’a jamais su décrire. Elle est si petite Cosmos entre tes bras. Du haut de son mètre soixante douze. Elle te regarde sans comprendre la tempête que tu viens de créer. Tu balayes tout, si vite. Elle s’incline devant le calme que tu viens t’immiscer, dans son crâne. Aglaé parle, et tout devient simple. Aglaé parle, et les soucis s’envole. Aglaé parle. Et l’on se sentirait presque idiote d’avoir paniqué. Vous avez cette même puissance tout les deux. Toi et Anael. A ses yeux, vous avez des air de maître du monde. Des airs de maître de son monde.

Lorsqu’elle comprend que c’est lui que t’as appelé y’a eut comme un souffle enfin dans ses poumons. Une respiration qu’on avait retenu, trop longtemps. Maître du monde.

Si petite Cosmos, tu es si petite. Avec tes problemes que tu fais bien plus grand que toi.
“ Je..”

Elle en perds tous ses mots alors que tu enchaines.
Elle a jamais voulu t’impliquer dans ces histoires Aglaé. Pourtant, pourtant c’est toujours toi qu’elle vient voir.

“ On avait plein de plans tu sais…. On en a toujours plein. J’voulais qu’on la termine avant le bal moi. On aurait put choisir la musique. On aurait put faire quelque chose de nous même. Sans suivre ce qu’on nous dicte. Pour une fois Aglaé. Ca aurait été bien, j’en suis sur. Faire quelque chose, faire quelque chose ensemble. Avoir l’impression d’avancer. Mais y’a rien qui va comme il faut en ce moment Aglaé. J’ai… J’ai l’impression qu’il y a un truc qui va pas. On est en train de s’éloigner. Jasmin, Jasmin, il a plus la même leurre dans les yeux. Jasmin, il veut plus de moi. Il a plus besoin. Tous les plans, tous. Ils ont jamais été aussi loin. J’suis pas un ange moi. J’veux pas porté ce code qu’il impose. C’est pire que dire qu’ils ont raison. En plus c’est moche. Et Moran va se moquer. J’le sais. “

Jasmin. Jasmin. C’est peut être le vrai noeud du problème. Jasmin, Jasmin, et tout ce que ça implique. Jasmin, Jasmin et la vérité qui frappe a l’estomac, sans prévenir. Lui fait cracher ses tripes, debales les mots. Jasmin, projecteur braqué sur ces ambitions immatures, sur ces chemins qu’elle a toujours refusé d’emprunter.

Elle met la pagaille dans ses cheveux Cosmos, comme si ça allait l’aider a remettre de l’ordre. Sans succès. Elle piétine, fait du sur place alors que son corps commence a s’agiter. C’est en ébullition dans son corps. Trop de solutions à trouver. Aucune a porté. A part cette fuite, qu’elle voit pourtant s'éloigner.

Elle fait pas exprès d’esquiver la dernière question tu sais. C’est juste que dans les paramètres de Cosmos. Ca se notifi comme un détail sa gueule abimé. Hors de tes bras, faisant les cents pas alors qu’elle te parle. Elle fini enfin par se stopper. Enfin par réaliser. Qu’elle parle trop. Et ca se fixe sur ton visage. Relève enfin les yeux.

“ Merci… Pour le bal. Merci tout court. J’sais pas ce qui m’arrive, j’suis désolé Agla’. “

T’as quatorze ans Cosmos. Bientôt quinze. Des fois, c’est dur de le réaliser. Ca coûte de dire qu’on s’en sort pas toute seule. Ca coûte de dire qu’on a des peurs, immatures. C’est peur de dire qu’on est une enfant, ca rend les reves bien plus dur a atteindre. Et pourtant, ça a peur, plus que tout, que grandir les fasses disparaître définitivement.

Aglaé •• Cosmos

J’ai jamais eu de bonnes raisons de les aimer

Tu sais Aglaé, Cosmos elle ne réalises pas toujours, les problèmes des autres. Elle va tellement vite, elle court tout le temps. A droite. A gauche. Comme pour aller toujours plus loin. Quelque part. Sans trop savoir vers ou. Mais à des millions de kilomètres d’ici. Elle court Cosmos, et ne se laisse le temps de rien. Pour accomplir un tout. Un tout de plus en plus flou. Elle sait pas tout ce que t’as vécu Agla, elle sait pas que tu lui souhaites pas, de marcher dans tes pas. Tout ce qu’elle voit elle, c’est que c’est toi la plus forte. Toi qui résout ses problèmes à elle, en un tour de main. Comme s’ils n’avaient pas lieu d'être. Toi qui entend les appelles muettes qu’elle lance quelquefois. Toi qui fait que le monde chimérique qu’elle se compose, ne s'écroule pas. Tu sais, souvent, l’admiration, ca a cette faille là. Celle de ne pas montrer les coulisses. Tes coulisses à toi Aglaé. Elle ne les voit pas. Ne les imagines pas. Quand on t’imagine traverser des épreuves, on te voit les broyeurs en deux, les exploser à coup de talons dans la gueule ou bien de répliques aiguisés. On te fait chevalier bravant les drames.

On ne sait pas Aglaé. Que tes rêves se sont envolés. Qu’ils sont mort, victime de l'âge. Grandir. Grandir. Si tu lui en avais parlé Aglaé ? Est ce que les choses seraient différentes. Si tu lui en avais parlé. Est ce qu’elle aurait prit peur ? Est ce qu’elle aurait accepté le sort qu’on réserve aux enfants ? Celui de mourir au creux d’un coeur ternis par le simple fait de vivre.

Tu sais, c’est une battante Aglaé. C’est une battante, parce qu’on fait comme toi. Comme Ana.
On choisit pas ses modèles Aglaé, on les suit, c’est tout. On s’y raccroche. Parce qu’ils sont une part de nous qu’on voudrait être. Une part de nous qui nous ressemble déjà, un petit peu. C’est pour ça qu’on se réfugie dans tes bras a toi. Parce que tu sais Aglaé. Elle a deja comprit trop de chose. Des choses que t’as compris avant elle. Et si on ne parle pas, contre toi, il y a un morceau de nous qui sait.

Aujourd’hui, c’est toi qui parle de demain. Tu le peints au pastelle. Rien de vif, rien de ternes. Quelque chose en entre deux.

Elle est pas sûr de vouloir simplement ça. Mais c’est mieux que rien il parait. Si il y a encore ça, alors ça va, pas vrai ?
Pas de belle maison jaune sur la falaise.
Pas de pissenlit a perte de vu.
Personne a disputé lorsqu’ils sont soufflés.

Rien de tout ça, mais on se retrouvera quand même.
C’est Aglaé qui l’a dit.
Alors ça ne peut être que vrai.
C’est Aglaé qui l’a dit.
Ca pince un peu le coeur pourtant.

Et toi Aglaé, ou tu seras plus tard. Est ce que tu seras loin d’elle, toi aussi.
Elle espère qu’elle recevra du courrier de ta part.
Des lettres avec seulement des bonnes nouvelles
Des pensées pour elle ou que t’ailles.
Des annonces d’arrivés prochaines.

C’est ce que t’essaies de lui dire Aglaé ? Elle aura au moins ça ?
Et Jasmin, il lui écrira ?

“ On s’est pas disputé “

C’est pire que ça. On a pas dit un mot plus hauts que l’autre. On a même dit d’accord. Alors tu vois, ça a rien d’une dispute.

Faut mieux changer de sujet. Sinon, on va finir par se rendre compte Aglaé, que vous y croyez sans y croire.

“ Je les donnerais a Elliot, ça lui ira mieux. Promis j’fais ça. ET JTREMBLE PAS PUTAIN. En plus Moran il est pas beau. JE DIRAIS MEME QUIL EST SUPER MOCHE. Alors pas d’risque. ZERO. NEVER. Ouais bah la boucherie c’est si il ouvre la bouche pour faire un commentaire. Jle dégomme direct. “

On se fait hargneuse, d’un coup. C’est plus facile a assumé que d'être triste. C’est plus facile que continuer à faire l’enfant.

“ Dis, tu m’accorderas une danse Agla ? Une pas longue. Juste une. Et aprés j’irais proposer a Ivy. Mais tu m’en réserveras une dis ?”

Une danse, un moment ou on est ensemble. Au cas ou. Au cas ou plus tard, on n’en aurait plus.

Aglaé •• Cosmos