Invité
| Sujet: Ambrosius Hartmann - Agneh... [TERMINÉE] Sam 14 Sep - 1:46 | |
| | Prénom Ambrosius Nom Hartmann Âge 34 ans Origine Franco-Germanique Poste occupé Concierge / Gardien de Nuit Depuis 4 ans Orientation sexuelle Indéterminée
Âge d'entrée à l'Académie 8 ans Opinion sur l'Académie Il détestait être y vivre. Il détestait les gens, l'ambiance... Mais aujourd'hui, il lui est éternellement reconnaissant d'avoir su lui apprendre à contrôler son Alice. Après 10 ans dans l'armée, il a voulu lui rendre la pareille. Alice Éveil Primitif Description Réveille un instinct animal et destructeur chez le porteur - Spoiler:
Ce pouvoir brute et instinctif prend ses racines à la base de la partie la plus primitive du cerveau, celle appelée "le cerveau reptilien". Il s'agit là du siège de nos comportements les plus primaires et instinctifs : la faim, la soif, le sommeil, l'hostilité envers les menaces et la violence comme défense. Il s'agit là de ce qu'il reste de notre passé animal, l'homme réduit à son état le plus primaire, dénué de toute personnalité et donc, instinctif. C'est l'état dans lequel se trouve Ambrosius lorsque son Alice s'active. Il redevient une sorte d'homme animal, qui ne réfléchit pas et se contente d'agir en suivant ses instincts. Il peut alors devenir extrêmement violent, se voit doté d'une force presque surhumaine grâce à l'adrénaline et ne ressent pratiquement plus la douleur, ou du moins parvient à l'ignorer au profit de ses instincts primitifs. Ce pouvoir se déclenche assez aléatoirement, mais toujours lorsqu'il se retrouve contrarié, provoqué, frustré ou en colère pour une quelconque raison, ou encore lorsqu'il ressent un trop plein d'émotion comme la joie, la tristesse, la rage ou l'excitation. Groupe Physique Forme de l'alice Indéterminée | | Bulletin scolaire | Implication dans la vie de l'Académie | 6/10 | |
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| Ambrosius est un jeune homme qu'on peut qualifier de... Particulier ? Vous savez c'est le genre de gars qu'on a toujours cru un peu attardé, mais qui ne l'est pas au final. Très silencieux, il n'est pas bavard pour un sous, il vous sera très difficile de lui faire décocher le moindre mot. Il ne vous répondra que par des "mh" ; "pff" ; "meh" ; des mouvements de lèvres, d'épaules ou de sourcils ou encore plusieurs de ces choses en même temps. Malgré tout il n'est pas dénué de parole, et s'il utilise sa voix rauque en enraillée c'est uniquement parce qu'il aura quelque chose à dire. Ce n'est pas nécessairement important, ça peut même être très stupide d'un certain point de vue, mais ça aura du sens pour lui. Tout comme ça peut être vraiment très méchant, une sale pique bien placée dont vous vous seriez bien passé. Il peut y prendre un malin plaisir d'ailleurs, à appuyer là où ça fait mal. Parce que tout le monde croit qu'il est à moitié sourd et que de toute façon il ne parlera pas, alors on ne se gêne presque pas pour raconter des choses à proximité de lui. La vérité c'est qu'il est au contraire très attentif à ce genre de chose, très attentif à tout ce qui l'entour en fin de compte.
Alors oui ce n'est absolument pas le genre à aller crier quoi que ce soit sur tout les toits, mais ne venez pas le chercher, vous n'êtes probablement pas prêt à recevoir les dossiers qu'il pourrait avoir sur vous, oh ça non. Parce que oui, monsieur est très mauvais en cours, toujours à l'ouest, dans la lune, dans son monde, et pourtant... Il a une mémoire d'éléphant, il n'oublie que très peu de chose, enfin... Il retient surtout ce qui l'intéresse. En vérité et pour reprendre ses mots, il n'aime pas "qu'on le fasse chier" alors il utilise toutes les armes à sa disposition pour vous faire comprendre de ne pas l'approcher sans devoir passer par la violence. C'est un comportement qu'il a adopté que depuis sa scolarité au sein de l'académie, c'est un moyen d'économiser son Alice. Ainsi il arpente les couloirs de l'établissement, comme un bambin perdu et curieux du monde mais silencieux.
Enfin bambin... Grand bambin d'un mètre quatre-vingt-quinze pour quatre-vingt-dix-huit kilos. Beaucoup de muscles, mais pas mal de gras quand même. Parce que c'est un glouton, il adore manger, tout le temps. Il est toujours en train de grignoter et ne se gênera pas pour faire du bruit en mâchant la bouche ouverte, autre technique pour vous tenir éloigner. Outre ses manières disgracieuses, il n'a pas vraiment grand chose pour lui non plus. Des traits un peu grossiers, francs et marqués, un gros nez, des grosses lèvres, des oreilles assez imposantes bien dévoilées par ses cheveux courts et mal coupés, souvent gras, des grandes mains de géant toutes abîmées et pleine de cicatrices, des grands pieds, une hygiène qui peut souvent laisser à désirer... Il est même allé jusqu'à limer ses dents pour faire comme une mâchoire de carnivore, comme ça, sur un coup de tête, parce que ça fait plus inquiétant et que "c'est rigolo".
D'ailleurs il se blesse souvent en se mordant les lèvres ou la langue, parce qu'il est stupide. Ouais stupide, c'est ce qu'on dirait de lui en le voyant, mais il n'est pas si stupide que ça, il est juste... Différent. Différent parce qu'il n'a pas de barrières, il se contente d'agir assez instinctivement, ou plutôt il ne se soucie absolument pas du quand dira-t-on et n'est pas influencé par le formatage sociétale par on ne sait quel miracle. Il n'a donc ni pudeur, ni timidité et encore moins de filtres. Il est juste là, au moment présent. C'est aussi le genre de gars blasé qui va se mettre dans le fond et dormir ou glander, mais il écoute quand même contrairement aux apparences. Outre tout ça, si malgré tout quelques téméraires se tentent à l'approcher, il n'hésitera pas à les dégager, verbalement ou physiquement. Répliques courtes, cinglantes, regards froids et dédaigneux seront au rendez-vous et si ça ne suffit pas, il vous poussera, tout simplement, et peut même jusqu'à aller à vous enfermer quelque part, dans un toilette, un placard ou un casier par exemple. Il rechigne un peu plus à le faire aux gentilles filles, parce qu'elles sont mignonnes soit disant, mais si elles passent le stade de mignonnes à lourdes c'est déjà trop tard.
C'est toutes ces choses qui forcent les gens à mettre Ambrosius dans la case des personnes à ne pas fréquenter ni à approcher, en plus de sa dégaine négligée et de sa démarche imposante (la seule chose qu'il a pour lui physiquement, c'est ses muscles prononcés et ses cheveux. Quand ils sont propres, ils sont doux. Puis ses yeux, si on s'approche d'assez près on peut voir un beau marron noisette, mais terni par son hygiène de vie discutable). Au final ça l'arrange bien, mais il n'est pas seulement ça. C'est aussi un jeune homme entier, qui n'aime pas à moitié. C'est un grand protecteur dans l'âme, un amateur d'art et un hypersensible introverti caché sous une immense carapace d'immondices...
Il peut être aussi touchant aux yeux de ceux qui arriveraient à ne pas détourner le regard de lui. Il serait par exemple capable d'offrir une fleur à une gamine qui pleure dans la rue... Même si avec la fleur il y aurait les racines pleines de terre qui vont avec. Et puis bon, qu'on se le dise, en voyant sa gueule, l'enfant ne peut que se mettre à pleurer encore plus avant de fuir de peur d'être manger, qui sait ? En résumé Ambrosius est un concentré brute avec un bon fond, comme un diamant encore emprisonné dans sa prison de pierre et de carbone, pour faire plus poétique.
Mais il reste néanmoins quelque chose qui participe à son évincement, encore plus que tout le reste : son pouvoir. Quand il se manifeste, un sourire trop cinglant se dessine sur ses lèvres, une lueur de folie se glisse dans ses yeux et s'y ancre férocement... Il ne devient qu'une machine à tuer, il y prend un malin plaisir presque sadique de par la satisfaction qu'il en soutire en évacuant sa frustration accumulée. Un trop grand besoin de violence qui ne prend jamais vraiment fin, que lorsque ses blessures l'immobilisent définitivement. Ambrosius n'est pas un redoublant pour rien. Encore incapable de contrôler son pouvoir, ses erreurs passés lors de ses examens pratiques ont fait beaucoup de bruits dans l'académie, beaucoup de rumeurs traînent sur lui et pas des plus reluisantes.
La plupart sont véridiques ou possèdent un fond de vérité, malheureusement. On le dit mangeur d'hommes, destructeur de villages, bête à abattre, arme secrète incontrôlable ou encore monstre de violence. Et il y a du vrai dans chacun de ces surnoms. Une fois son pouvoir libéré, il ne mange pas les hommes mais les croque assez fort pour leur arracher leur chair, ne détruit pas des villages mais saccage des salles de classe entières, n'est pas une bête à abattre mais à mettre en cage avec une muselière, n'est pas une arme secrète incontrôlable mais pourrait devenir un bel atout dans une armée... Et se trouve être bel et bien un monstre de violence.
| About1m95 - 98 kilos de muscles - il a beaucoup de cicatrices sur les mains, quelques unes sur le corps - il connaît beaucoup de techniques de combat - il sait se faire très discret - il a l'air calme et impassible, dans sa bulle - véritable glouton, il manche pour 4 - il aime les fleurs et l'art - il monte très bien à cheval - assez maladroit dans sa vie de tout les jours - il a toujours sa plaque militaire et celle de son père accrochées au cou - il collectionne les petites figurines de tout et n'importe quoi - il n'écrit vraiment pas bien, presque comme un enfant (d'ailleurs il est gaucher) - il ne dort jamais vraiment, réflexe militaire - les bruits d'explosion peuvent le rendre très nerveux - il a une posture très militaire, bien que souvent il prenne ses aises sans aucune classe - il a un tatouage sur le haut du dos - il porte des lunettes pour lire - il adore les chats et nourrit ceux qui sont dans la rue... |
La vie est un long fleuve tranquille Né dans un patelin reculé de la France, Ambrosius n'a pas vu le jour sous les meilleurs hospices. Un hôpital de campagne surpeuplé, une sage-femme novice et un temps de travail affreusement long et douloureux pour sa mère. Il est néanmoins venu sans complication au grand soulagement de tout le monde, de son père surtout qui était encore là. Les circonstances y obligent, Wilhelm Hartmann dû très vite repartir en mission militaire, mission au cours de laquelle il perrit en essayant de sauver des civils. Un héros de guerre, décoré à titre posthume pour acte de bravoure et de loyauté envers la nation et le monde. De lui, il ne reste à l'enfant qu'une photo à sa naissance, une lettre, deux médailles et sa plaque de soldat qu'il chérit tout particulièrement aujourd'hui. Il sait que son père était un grand homme, mais ne l'a jamais vraiment connu que par les fabuleux récits que sa mère lui contait avec une grande assiduité. Elle avait cette fierté nostalgique dans les yeux et dans la voix qu'il n'oubliera jamais. Son père était un homme fort, comme le signifie leur nom de famille, c'est ce que les Hartmann ont tous en commun, la force de l'homme. Et très vite, la jeune mère veuve le compris à ses dépends.
Son père n'était pas là et sa mère, si adorable soit-elle, était un petit bout de femme pas bien autoritaire ni trop imposante, facilement débordée par l'énergie de son fils et son désir de devenir un grand homme, tout comme son père. Ce n'est qu'à ses 8 ans qu'Ambrosius fut repéré, lorsque son Alice se déclencha. C'est ce qu'il lui avait manqué pendant ces deux ans, un événement déclencheur et celui-ci ne fut pas des moindres. Ces deux belles médailles qu'il chérissait tant, disparurent dans la nature. Il était très attristé de les avoir perdu, s'en voulait terriblement. Tant et si bien que sa mère, prise de remords à le voir si bouleversé, finit par lui avouer qu'elle avait dû vendre les décorations honorifiques pour subvenir à leurs besoins. Fou de rage, le petit garçon piqua une si terrible colère qu'elle produisit un dérèglement conséquent dans son organisme. Cette faculté qui aurait dû le rendre fort et vaillant le rendit incontrôlable. Tout le flux accumulé et retenu pendant ces deux dernières années se libéra, tant et si bien qu'il ne resta plus rien de leur salon. Le petit garçon de 8 ans tout juste, s'en prit même à sa mère, qui en ressortie avec de sacrés bleus et une côté fêlée. Ce fut le premier épisode d'une longue série de drames. Lorsque le gouvernement frappa à la porte, ce pauvre petit bout de femme ne pu qu'accepter en pleur la somme d'argent en échange de son fils. Cela partait d'un bon sentiment, elle se disait que son petit pourrait grandir et apprendre à se contrôler dans de bonnes dispositions, mais ce n'est pas ainsi qu'Ambrosius l'a vécu.
Ses débuts furent catastrophiques. La nécessité de le mettre dans la classe Danger fut une évidence pendant longtemps. Il était très seul, très isolé et sans l'aide du bracelet, fort à parier qu'il aurait pu faire des ravages. Mais il avait fait une promesse. Silencieuse, à lui-même, à son père. Une lettre laissée à sa naissance, qui lui ouvrit les yeux à une période où il aurait probablement baisser les bras sans elle. Un nouvel objectif, une nouvelle détermination qui lui permit de reprendre pieds. À force de persévérance, il put enfin attendre ce qu'il espérait tant : le contrôle. Il n'est pas parfait, pas infaillible, mais présent. Assez pour qu'il conclut ses années universitaires par une spécialisation militaire à laquelle il se tient, s'engageant dans l'armée. Ce fut un très bon élément bien qu'il n'ai jamais eu la prétention de monter en grade. Un bon soldat comme on en fait peu, obéissant, réfléchi et très efficace et ce pendant 10 ans.
Cette longue période ne fut pas sans conséquences. Des souvenirs parfois douloureux, des cicatrices tant morales que physiques et un pouvoir sur la fin. Beaucoup sollicité pour son Alice parfait en situation de crise, celui-ci s'est peu à peu épuisé. Se sachant sur ses dernières réserves, quelques dizaines d'utilisation tout au plus, peut-être moins, Ambrosius a pris sa retraite. De retour à l'académie définitivement changé, le voilà aujourd'hui concierge et gardien de nuit depuis 4 ans maintenant. Un rôle discret, mais essentiel pour la sécurité de l'établissement, un rôle qui lui convient à merveille. Depuis son arrivée, beaucoup de rumeurs circulent sur lui et son Alice au sein des étudiants et des enfants, comme le fait qu'il ne vaut mieux pas le croiser lorsque le couvre-feu est passé... Lui laisse planer le mystère, histoire de ne pas être embêter. | Derrière l'écran Yop, sur l'interpouet j'ai plein de nom différent mais actuellement c'est Apollo, j'ai bientôt 22 ans et pis je suis dans la vie active, je m'occupe d'enfants IRL, plus tard j'aimerais être animateur d'un atelier de théâtre dans un maison de la jeunesse ou quelque chose du genre, voir posséder mon propre local pour pouvoir faire un atelier de quartier avec différentes tranches d'âge. Voilà °° Pis j'aime le chocolat et les poneys. |
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