[EVENT #4] Au bout des sous-sols

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Event#4 — Au bout des sous-sols (Groupe 1)

Introduction

Samedi 04 juillet 2020.
Galène Weber a lancé un appel aux princesses fleurs qui leur permettraient de s’introduire dans le temple, mais c’était sans compter que cet appel allait aussi alerter celles qui s’opposeraient à elle. Vous vous retrouvez tous au rez-de-chaussée, arrêtés par les premiers opposants. Vous décidez de scinder le groupe en deux, de vous battre et d’occuper vos adversaires pour permettre au deuxième groupe de continuer d’avancer.

Participants : @Saada H. Radjah, @Carmen Beretta, @Agnès C. Lacroix, @Theodora de Monaco @Siobhan Boyle @Azrael L. Tremblay @Nahia A. Martinez @Heather A. Walsh

Instructions

— Privilégiez des réponses courtes et dynamiques.
— Afin de ne pas faire traîner en longueur, nous nous réservons le droit de sauter votre tour après 48h sans réponse de votre part.
— Nous avons créé une conversation discord pour chaque groupe. Les interventions PNJ ne seront pas automatique à chaque tour. Merci de tag l'admin présent dans votre groupe à chaque fin de tour, c'est impératif. Il vous dira s'il interviendra ou non.
— Lisez bien les réponses de vos partenaires ainsi que les interventions afin de ne pas faire de faux-sens.
— Votre personnage peut avoir son téléphone sur lui et envoyer des SMS (mais rien d’obligatoire évidemment).
— Vous avez le droit d'utiliser vos alices les uns sur les autres mais en ce qui concerne les morts et les blessures graves, merci d'en discutez au préalable avec la personne HRP afin d'avoir son accord.
— Amusez-vous bien !

I know it happened quiet

so quiet

L'été venait d'entamer ses premières journées, d'installer son ambiance si pesante pour tes nerfs si fragiles, tandis que les tensions au sein de l'académie sont venues l'alourdir davantage.

À la suite des événements survenus récemment, le cœur s'affole en constatant le chaos qui menace de bouleverser les temps si paisibles.

Le règlement a toujours formellement interdit l'accès aux sous-sols.

Pourquoi souhaitez-vous tant vous y rendre ?
Qu'espérez-vous y trouver en décelant ce mystère ?
Si l'on punit aussi sévèrement les infractions qui y sont liés
C'est certainement pour une bonne raison...

Les pieds accourent en direction du lieu sacré, on a entendu les rumeurs sur la rébellion ; le sens de la justice guide tes pas pour empêcher les dégâts par loyauté aveugle envers l'académie ; les yeux brillent d'une inquiétude discrète, et tu te tiens face aux trois opposantes en compagnie d'autres alliées.

La voix cherche à s'imprégner d'une fermeté rare.

— Oh, arrêtez-vous, vous trois !

Le visage peu expressif dégageant une espèce de sévérité assurée.

— Qu'espérez-vous exactement ? Vous savez pourtant très bien que les conséquences seront terribles si vous osez pénétrer le sous-sol.

Un soupir, avant de conclure.

— Allez-vous-en.

Il est hors de question
Qu'elles atteignent le sous-sol.

marv

— event #4AU BOUT DES SOUS-SOLS

Le sous-sol du temple des fleurs était un des secrets de l’école qui avait le plus obnubilé Saada depuis son entrée dans le cercle restreint des princesses fleurs choyées de Miss Windsor. Et parce qu’elle connaissait mieux les lieux que la plupart des autres élèves qui s’étaient engagés dans la révolte, il était évident qu’elle s’était proposée pour descendre là où il était formellement interdit de mettre les pieds.
Le moment était venu ; elle ne laisserait personne le lui voler.

Aux côtés de Carmen et d’Agnès, les bruits de pas affolés dans le couloirs leur indiquèrent qu’elles avaient été suivies, et la voix d’une autre préciosité du jardin de la directrice retentit dans leur dos.
Saada se tourna vers elle, et plissa les yeux ; son regard était empreint d’une colère froide qu’on ne lui connaissait pas en public. Un sourire mauvais se dessina doucement ses ses lippes quand elle déchiffra le cœur de son adversaire à l’aide de son alice.
Elle n'en pouvait plus de l’aveuglement de ses pairs et des bâtons qu’ils mettaient dans ses roues.

« Et qu’est-ce qui justifie selon toi de telles conséquences à ton avis Nahia ? –elle avait abandonné les sobriquet floraux qui n’avaient plus de sens même en ce lieu désormais– Tu te sentirais toujours aussi droite dans tes bottes si on découvrait que ce que vous cherchez à protéger est une horreur sans nom ? »

Depuis qu’Asmodée leur avait révélé les terribles secrets de la classe dangereuse, Saada ne s’attendait qu’au pire.

« Tu es aveugle, fit-elle d’un ton glacial et sans rougir de s’adresser de la sorte à son aînée. »

La justice de Dieu, elle, ne l’était pas ; et elle était de son côté.
Saada tourna le regard vers ses camarades et, à voix basse, s’adressa à Carmen.

« On risque d’avoir besoin de ton alice, tu te sens prête ? »

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// Event final — Au bout des sous sols

Un vent d'insurrection parcourait l'académie depuis tous ces événements. Et Théodora l'avait bel et bien senti, ce frisson sur la nuque quand les messes basses et les alliances se créaient dans l'ombre. Mais jamais on a changé de principes, jamais les pas n'ont changés de direction. L'Académie n'était pas parfaite, loin de là, mais Théodora ne sait que trop bien que rien en ce bas monde ne l'est jamais et toujours, la révolte ne mènera qu'à l'échec.

Pourquoi donc s'opposer ?

La révolution avait commencé dès le premier éclat de faiblesse et chaque jour passant, la fureur gonflait plus encore sans que la princesse ne puisse le comprendre une seule seconde. C'était un affront, un caprice d'idiots qui ne réussiraient pas. Alors Théodora s'était contentée d'observer, de serrer les mâchoires en espérant préserver l'havre de paix.

Sauf que la paix déjà est bien lointaine.

Alors quand Galène appela les chères princesses fleurs, aucune surprise pour l'héritière, un simple soupir, l'agacement qui tire les traits. Car Théodora, si droite, n'a jamais douté de son positionnement. Peut-être que l'ordre est cruel mais c'est ainsi qu'est le monde et il faudrait être un imbécile fini pour penser pouvoir renverser l'ordre établi.

Théodora, en ce jour, se lève et prend ses armes de pantin. Car jamais elle ne laissera des imbéciles détruire la liberté gagnée le temps d'un souffle ici-bas.
Vite, les pas se sont pressés pour rejoindre le temple, pour tenter d'arrêter cette mascarade méprisable. Et on s'élance face aux indisciplinées, prête à rugir, à faire claquer la langue et les mains.

Quand on voit Nahia, tout se calme, un instant, rien qu'un instant car Théodora ne serait pas seule à s'opposer à ses camarades égarées. Un simple signe de tête pour saluer, on écoute les mots, retient de planter ses crocs dans la nuque et faire claquer sa main sur la joue d'innocente. Les lèvres se pincent quand Saada s'élance dans un discours idéaliste, un discours de traître bien trop faible aux yeux de l'héritière.

- Saada, qu'en bien même l'Académie cache un abominable secret, ce sont eux qui t'ont nourris. Eux qui t'ont blanchie, éduquée, toute ta vie ne tient qu'à cette école. Et c'est d'une trahison que tu les remercies ?

On sent la colère qui bout, le mépris qui brille dans les pupilles quand on juge ces vermines devenues bien préoccupantes. C'est que Théodora, en plus d'un refuge bien que fragile, n'a que ce lieu pour univers, elle qui n'a aucun souvenir du monde extérieur. C'est ici qu'elle a marché, ici qu'elle a tout appris, tout connu aussi. Et jamais elle ne laisserait les faibles piétiner l'Académie.

- Et des horreurs Saada, y'en a dans le monde entier. L'Académie nous donne le prestige, qu'importe qui vous êtes. Et ceux qui en souffrent n'avaient qu'à être plus forts. Alors ne tentes pas de biaiser les avis d'autrui avec ton idiotie.

On fait une faible opposition, mais le corps se dresse tout de même, le regard dur dans celui de Saada. Car au fond, Théodora a aussi cette curiosité de voir ce que cache les tréfonds sans avoir le courage de désobéir. Non sûrement pas, jamais, Théodora serait droite et égale à elle-même, jusqu'au bout.

taste of

rebellion

ce serait mentir de dire que tu n'étais pas au courant — toujours l'oreille fourrée partout, tu as entendu la révolte qui se levait, lentement, sur toutes les lèvres et de plus en plus souvent ;
tu ne prends pas parti, au début, te contentes de rédiger sur papier ce qui se dit et se fait, entre ceux du grenier, parfois les étoilés, de ceux qui veulent voir l'académie brûler et ceux qui désirent simplement la quitter —
puis ça escalade, on donne un nom au leader, Asmodée ; inconnu à la clientèle, et à peine le temps de te renseigner qu'un autre problème surgit
elle s'appelle Galène et elle appelle les princesses fleurs à se rebeller.

dilemme alors, de savoir où te positionner : au vu du climat actuel, être neutre semble avoir été ajouté à la liste des interdits — un peu comme visiter le sous-sol du temple ou tenter de fuir l'académie ;

c'est perdue dans cette réflexion et arrivée à l'entrée du rez-de-chaussée que tu réalises avoir été suivie — tu fais volte-face, vite, en priant pour que les ennuis ne commencent pas déjà et surtout pas avec toi
puis, ton coeur s'arrête et tu chuchotes, scandalisée :
— Azrael, qu'est-ce que tu fous ici ?!
et alors qu'il s'apprête sûrement à répondre, sa voix est noyée par celle de Nahia, suivie de Saada
et enfin, Theodora —
un débat débile, si on te demande ton avis, bien sûr que tous ici ont envie de savoir ce que cache Windsor
mais
à quel prix ?
car malgré toi et ta tendance à l'indifférence, c'est meurtrie que depuis quelques semaines, tu regardes les flammes embraser chaque jour un peu plus l'académie ;
et c'est excédée que tu saisis la main du brun et avances jusqu'aux filles.
— Bien, nouveau titre pour le journal de l'académie :
« princesses fleurs à fleur de peau ». Plus sérieusement, vous espérez trouver quoi en bas ?

TL;DR : — Sio vient de trouver Azrael aux alentours du temple ;
— confronte Saada mais
— n'a pas vraiment de parti pris si ce n'est celui avec le moins d'emmerdes

ft. princesses fleurs + azrael

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toutes mes histoires inachevées

EVENT#4

aujourd'hui je suis venue pour me battre ; j'en ai assez de mourir à petit feu alors j'ai pris mes armes et aux sons des canons je me suis empressée de répondre à l'appel. je me fiche bien de ce qu'il peut m'arriver, je veux juste ressentir vivre et me battre pour la première et pourtant dernière fois
j'en voulais à tous. agatha pour m'avoir oublié quand j'avais besoin de sa protection, l'académie pour m'avoir noyée en me faisant croire que j'avais instauré en moi ces limites et au monde entier pour ne pas avoir écouté mes cris de détresse. mais aujourd'hui je m'en fiche car je vais tout remettre à zéro aujourd'hui je suis assassine

auprès de saada et de carmen je prend les armes alors que d'autres viennent se rajouter sur l'échiquier. à la voix de saada ma combativité se voit gonflée et je sers le poing alors que je pose ma main sur l'épaule de saada (un soutien muet car je ne trouve rien à dire)

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AU BOUT DES SOUS-SOLS

N’allons pas mentir, s’était un peu le hasard qui t’avait guidé ici. On aurait pu croire que tu avais fait la sourde oreille à cette idée de révolution, car oui, ta personne en avait entendu mainte et merveille sans pour autant y prendre partie ou bien même appuie. Bien qu’une idée de révolution aurait pu t’intéresser aux premiers abords, la raison ne t’en était pas suffisante en ton sens. Et alors tu t’étais simple assise contre le mur, attendant cette révolution comme si de rien était. Un regard vitreux quant aux passages d’un premier groupe, pour finalement comprendre que certains étaient restés devant vous. Une impression qu’elle tentait de vous raisonner, même si à tes oreilles cela sonnait comme un auto-acceptation de leur propre action. Quant aux paroles de la princesse, s’étaient sans doute ceux qui te faisait le plus de sens.

« Et puis au pire, quoi en vrai ? »

Ta voix s’était finalement éveillée entre deux silences. Toujours assise, ton corps s’était légèrement avancé en avant pour percevoir qui était ceux qui vous faisait face.

« Vous allez découvrir qu’en vérité Windsor doit sa jeunesse grâce au sacrifice de jeune vierge. Ou bien que l’académie nous cache de dangereuses expérimentations sur des Alices ? »

À non, c’est vrai. Cette histoire ce n’était pas dans les sous-sols. La voix très calme, comme si ton être n’était pas coordonné avec tes paroles. Un désintérêt total qui n’affirmait qu’une certaine froideur. Et c’est le sourcil qui se hausse, lorsque tu tentes de comprendre la signification de tout cela.

« Et donc, ça va vous apporter quoi en fait ? »

Après il est vrai que ça pouvait être intéressant aussi.

LETO

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c'est l'amour couleur révolution, ou la révolution couleur amour peu importe ; c'est rouge sanglant, rouge passion, rouge émois. carmen est prête.
c'est l'oeuvre de sa vie, l'aboutissement de toutes ses folies. névrosée peut-être, mais bientôt elle saura qu'elle a eu raison tout ce temps. elle regardera ses frères avec un peu de mépris et leur dira qu'elle a toujours eu raison. que toutes ses craintes étaient fondées et qu'ils ont eu tort de lui affliger telle condescendance quand elle se perdait dans sa traîtrise.

saada et agnès ont de la chance que carmen soit complètement folle, depuis qu'on lui a exposé les plans révolutionnaires elle s'est un peu entraînée à utiliser son alice. et puis elle s'en fiche bien de se faire tirer dessus, elle s'en fiche bien de crever-là s'il le faut. il n'y a pas d'autres explications que le fait que y a un truc qui tourne pas rond là-haut, une lumière qui grésille mais qui n'a jamais autant brillé qu'en ce jour.

elle opine un peu auprès de saada, je peux faire passer au moins une ou deux personnes derrière eux pour les distraire. on est loin des longues distances de swan et de siegmund. pendant que les autres filles discutent, défendent leurs intérêts. justement !! on nous ment depuis le début ! complètement dingue, elle hurle pour que ceux qui ont pu avancer continuent de prendre l'avance. vous êtes des tarés de les défendre comme ça ! REGARDEZ ils s'en fichent qu'on soit ligués les uns contre les autres, vous êtes leurs armes ! on est plus dangereux que des armées entières et vous les CROYEZ alors qu'ils nous utilisent ! elle pointe son coeur dans son discours, main sur la poitrine et sourcils froncés. elle regarde tout de même saada du coin de l'oeil pour qu'elle lui donne le feu vert pour activer des portails.

Faufilé entre les pattes, Azrael n'est pas certain que ce soit Siobhan qu'il cherche ; une tignasse rousse peut-être mais sa dernière escapade au temple des fleurs n'était pas pour elle. Pourtant c'est avec elle qu'il tombe nez à nez, et face à laquelle il s'arme d'un sourire trop large pour son faciès de gros con.

« Eh ben ? T'es pas contente de me voi- »

Sa voix se fait ensevelir par celle de Saada et déjà Azrael regrette de ne pas avoir fait taire tout le monde autour. Il serre les dents amèrement et se laisse emporter, déjà excédé par les discours des bien-pensants. Il ricane amèrement.

Il se fiche de connaître la vérité sur l'académie - quoiqu'il peut admettre être curieux - ce qui l'intéresse c'est l'étoile qu'il peut gagner si jamais on apprend qu'il l'a défendue et a arrêté les rebelles.
Vous savez ce qu'il y a au-dessus de trois étoiles ?
Voilà.

« Hm ? Qui a dit qu'on les croyait, Beretta ? »

Il pencha la tête.

« En fait on croit surtout à la chambre et à la bouffe qu'ils nous donnent. J'ai moyennement envie de me contenter du pain rassi et d'une chambre miteuse. Et toi ? »

Il se frotte l'arête du nez, toujours armé d'un sourire, il adresse un regard à Siobhan.

« Si ils t'importunent je les fais taire, princesse. »

Il donnerait la patte et ferait le beau que ce ne serait pas étonnant.
Mais Azrael semble chercher quelque chose du regard ; et une grimace déforme son visage en le trouvant pas.

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so quiet

Aveugle.
Il te faut quelques secondes de réflexion avant d’intégrer le sens figuré du terme, avant de saisir les accusations lancées ; malléable au gré de l’académie, faisant une croix docilement sur les réponses que recèlent le gouvernement – en écoutant Théodora, on ignore même si on agit par douce reconnaissance envers l’académie ou si l’on agit égoïstement pour nos privilèges. La réalité, c’est que l’on ne jure que par l’ordre imposé, la paix qu’ils menacent en ce jour.

Les paroles d’Aries et Carmen déstabilisent tes convictions durant un laps de temps, comme si elles prononçaient les vérités que l’on préfère taire. "Ils s’en fichent que l’on se ligue l’un contre les autres." C’est faux... C'est faux... vous êtes les seuls à souhaiter une rébellion et à troubler la paix. Tu ne penses pas l’académie parfaite, loin de là, toutefois ce que la révolte impliquera te glace le sang tant cela te paraît incertain – tu préfères encore défendre la stabilité.

Surtout, tu doutes que l'administration cache des secrets si terribles, cela te semble grotesque.

— Je doute que semer le chaos pour quelques réponses en vaille la chandelle. Rien de ce vous trouverez en bas ne justifiera un tel remue-ménage… Vous souhaitez réellement vous blesser pour cela ? Vraiment ?

On appuie sur le mot-clé.
L’idée te paraît absurde.
On n’est que des adolescents défendant trop à cœur des enjeux bien trop futiles… Après votre vingtième année, vous n’aurez même plus besoin d’avoir à faire avec l’académie.
Êtes-vous si sûr que c’est la bonne voie à suivre ?
Le mental d’acier n’a jamais figuré parmi tes plus grandes qualités, et rapidement tu estimes qu’il est nécessaire de régler la situation avant que vos adversaires ne ripostent.
Tu te retournes vers tes coéquipiers, murmurant :

— Faites attention... elles n’ont pas fait demi-tour : elles préparent certainement quelque chose.

marv

— event #4AU BOUT DES SOUS-SOLS

Les paroles de Théodora, quoiqu’exaspérantes, laissèrent Saada de marbre –elle avait trop côtoyé de gens aux idées similaires pour s’en offusquer ou s’en indigner maintenant.

« Navrée Théodora mais j’ai encore assez de respect pour moi-même pour ne pas aller lécher les pieds de ceux qui m’ont enlevée de force à mes parents. Je ne trahis pas l’Académie, c’est elle qui nous ment et trahit constamment ceux qu'elle est censée protéger. »

Elle fronça ensuite le nez mais ne répondit pas aux provocations de Siobhan et d’Azrael ; l’indifférence qu’elle lisait en eux l’agaçait –quand bien même l’honnêteté éhonté du garçon suscita en elle un rien d’admiration.
La rage de Carmen avait renforcé plus encore sa détermination.
Saada posa les yeux sur Aries.

« C’est drôle que tu dises ça maintenant Aries, en tant que membre de la classe dangereuse tu en connais un rayon à ce sujet maintenant, n’est-ce pas ? Elle se tourna vers Nahia de nouveau. Des blessés il y en a depuis longtemps, dans nos propres classes. Vous ne les entendez pas, c’est tout. »

Des morts aussi, peut-être –probablement. Elle ne s’attendait plus qu’au pire après tout.
Elle fit signe à Carmen de continuer à temporiser les choses pour le moment ; le plus important était de laisser les autres prendre de l’avance et les rejoindre à la moindre ouverture, et le moment lui semblait encore trop tôt.

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// Event final — Au bout des sous sols

L'insurrection leur brûle le bout des doigts, guidée par une volonté de liberté trop forte pour être muselé. Oh, Théodora ne voit là que des idiotes bercées d'illusions, comme si elles pourraient renverser le monde à elles seules, alors c'est avec mépris qu'elle regarde Carmen, la jolie Carmen, la folle Carmen. Elle rit à sa nez, rit de cet espoir si futile, cette pseudo gentillesse quand elles ne servent que leur propre intérêt.

- Oh, se faire traiter de tarées par la folle de service, quelle ironie. Utilise cinq secondes ta petite cervelle Carmen, ça vaut pour toi aussi d'ailleurs Saada. Vous plaidez la liberté, la paix quand vous êtes celles qui viennent marcher dessus au nom d'une justice que vous n'avez pas le pouvoir d'avoir. Qu'est ce qu'il va se passer à votre avis, si vous vous liguez contre l'Académie ?

Le doigt pointe rageusement désormais sur la poitrine de Carmen. Du coin de l'oeil, on voit Azraël arriver, donner des surnoms à l'aimée de l'héritière. Et ça enrage un peu plus le coeur haineux, même si le reste de ses propos est juste.

- T'es débile Carmen. Oui, on est leurs armes, mais qui te dis que ça nous convient pas, hein ? Tu n'as peut-être aucun pouvoir mais tu ne peux t'en prendre qu'à ton incapacité à te hisser dans les rangs, tu penses vraiment que ça sera différent dehors ?

Aux mots de Nahia, l'héritière hoche la tête, surveille du coin de l'oeil cette fuite suspecte alors qu'on méprise déjà le discours de Saada. L'envie de foutre sa main dans la jolie figure de la jeune fille est très forte mais on se retient, on jauge juste d'un regard plein de mépris quand on répond froidement.

- C'est drôle que tu dises ça parce que sans l'Académie tu aurais été misérable. On t'a formée à être l'élite et toi, tu pleurniches pour avoir tes parents ? Et des blessés, on s'en fiche. Qu'ils se battent s'ils servent, mieux vaut ça que laisser des dangers ambulants dans les rues du monde espèce d'idiote.

C'est avec froideur que Théodora a poursuivi. Que de mépris pour ces réclamations, pour ces absurdes idéologies qui ne changeront rien à ce monde. A la fin de la journée, à l'Académie ou à l'extérieur, leur rang définirait toujours leur vie et Théodora ne peut pas se défaire de cette pensée depuis bien des années, elle qui n'a jamais vu le monde que sur des pages.

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rebellion

Tout bien réfléchi, tu en es sûre à présent – tu n’as aucune putain d’envie de te mêler à une part ou l’autre du conflit
la proposition d’Azrael devient alors tentante, toutes les faire taire au lieu d’affronter leur idéologie ; oui l’académie nous cache des choses mais oui l’académie nous nourrit – tu regardes d’abord Azrael, qui semble chercher quelque chose et tu as peur d’avoir la réponse ; puis derrière Saada, Carmen et Agnès
car
— Elles essayent sûrement de gagner du temps pour Galène. Peut-être même la rejoindre.
ton regard se pose sur Carmen, pauvre Carmen – l’avantage d’avoir le nez fourré partout c’est que tu estimes connaître les Alices de beaucoup
par exemple,
celui de la brune qui s’égosille sur vous ;
puis tu reportes ton attention sur Azrael et murmure, circonspecte :
— Y a un souci ?

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EVENT#4

j'en ai assez d'entendre monaco hurler dans tous les sens comme le roquet de l'académie qu'elle est. de loin toujours je lève les yeux au ciel alors que les mots de carmen font sens dans ma tête. on l'a toujours cru folle mais je crois seulement que sa lucidité la rend instable aux yeux des autres. ma main toujours sur l'épaule de saada cette fois je brise mon silence : à la guerre des alices on ne gagnera pas, amaro est beaucoup trop létale pour s'y risquer et le jeu n'en vaudrait même pas la chandelle

« c'est vrai ; l'académie offre un lit et une maigre survie mais ... c'est vraiment ce à quoi vous aspirez ? un régime dictatorial et sans aucune solidarité ? nous méritons mieux ! nous méritons toutes mieux ! »

j'essaie de les convaincre mais elles sont toutes trop bornées et stupides pour en comprendre l'enjeu (peut-être que nous ne passerons jamais et pourtant) je m'avance doucement vers elle comme signe de paix mais il n'en est rien j'essaie juste de me rapprocher de là où je veux aller

« on veut tous aller voir ce qu'il y a de caché dans le sous-sol et ne prenez pas la peine de nous mentir on mérite mieux que ça »

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AU BOUT DES SOUS-SOLS

« Wah complètement ravagée celle-là. »

Un murmure qui s’était pourtant voulu plus fort à destination de Carmen, jamais tu ne t’étais imaginé que l’une d’entre elle aurait pu te prendre au sérieux, et pourtant… Et pourtant tu acquiesças avec toute la sincérité du monde aux propos de Saada, lui donnant bien plus de crédit sur les révélations qu’avaient pu leur offrir Asmodée.

« Oui j’aime plus trop les enfants maintenant. »

Parce qu’avant ils étaient amusant, parce qu’avant tu t’amusais bien avec les plus jeunes. Mais en souvenir de ta dernière mission, tu avais en quelques sortes une appréhension. Non pas un sentiment de peur, mais l’amusement qui s’était dégradé à l’image de ton état pourtant très vite soigné ce soir-là. Et d’un bâillement, toujours assise contre le mur tu les écoutais sans grande attention.

« dicta- quoi ? »

D’un bon, tu finis par te relever. Rejoignant de quelques pas ceux qui tenter de stopper cette rébellion.

« Bon le blabla ça commence à me saouler, je casse les jambes de qui ? »

Le regard qui s’appuie très longuement sur la princesse De Monaco pour finalement naviguer entre les trois rebelles. Autant ton alice aurait suffi à toutes les arrêter en quelques minutes, autant tu n’en voyais pas vraiment le mérite. Alors, si elles tentaient de gagner du temps pour ceux que tu avais vue passer la première fois, peut-être vous fallait-il les rejoindre au plus vite. Mais, tu avais une vision assez abstraite de voir les choses, autant tu éprouvais cette envie de te défouler un peu, autant tu étais aussi désireuse de retourner à tes jeux pokémon, car il te manquait encore un shiny pour compléter la collection...

« Après elle a pas tort, j’veux bien allez en bas moi. »

LETO

révolution
azrael, siobhan, theodora, carmen, nahia, saada, agnès, aries

Les mains dans les poches, le menton relevé, Azrael écoute en silence mais avec dédain, un sifflement au bord des lèvres. Il ricane. Cette révolte n'a aucun intérêt pour lui. Il pencha la tête légèrement et claque sa langue sur son palais.

« Hm. »

Un sourire creuse ses joues à la voix de Aries. Il s'y retrouvait bien plus dans ce genre de mentalités que dans toutes les prises de tête des autres.

« Si vous voulez vous battre j'adorerais voir ça. »

Un rictus adressé à Siobhan, et il secoua la tête, murmura seulement pour elle.

« Combien sont-ils à être passés... Deux ? »

Sous-entendant que c'était eux qu'il cherchait du regard.

« Des princesses manquent à l'appel. »

Il la regarde, lui sourit, avant de replacer son attention sur le groupe entier.

« Ça te ferait un titre accrocheur pour ton article. »

I know it happened quiet

so quiet

La situation ne bouge pas tandis que les tensions ne cessent de monter ; vous défendez des idéaux à coeur et tu le sais à présent : aucun de vous ne changera de position, aussi bornés d'un côté que de l'autre, il est inutile de poursuivre. Du moins, tu le croyais. Tu approuvais les paroles de Theodora au début, toutefois plus son discours s'écoule et plus tu sens ta sensibilité frissonner sous le poids des cruautés qu'elle déverse. Non, tu ne t'en fiches pas, des blessés. Tu penses juste que cela serait pire autrement. Comme si tu demeurais la seule naïve à innocemment croire en la bonté de l'académie tandis que ses défenseurs n'aspirent qu'aux privilèges — comme si ta loyauté ne tenait plus qu'à un fil, et que le secret du sous-sol pouvait désormais tout faire basculer.

Dans le fond, Saada a certainement vu juste te concernant.

Agnès rétorque que vous voulez tous connaître ce qu'enferme ce fameux sous-sol et c'est faux ; tu es certaine à présent que tu crains ce qu'il pourrait s'y trouver. Quelles sont ces fameuses informations qui ont enflammé la rébellion ? Etrangement on commence peu à peu à imaginer les pires scénarios.

Aries semble encourager une forme de chaos à son tour, et spontanément tu répliques.

— Non, ne blesse personne ! Il faut simplement les retenir.

La prise d'otage de ta mère par le chef de la section NOVA t'a profondément marquée. Tu es sidérée que l'on évoque ces solutions brutales aussi simplement ; les bras légèrement écartées pour bloquer le passage à Agnès qui s'approche doucement, tu inspires calmement, profondément — réflexe enseigné pour calmer les nerfs en agitation.

Tu te sens seule de ton propre côté, et tu es consciente que tu ne tiendras plus très longtemps.

résumé :
— nahia commence à douter
— elle demande à ariès de ne blesser personne
— elle écarte les bras, pour essayer de ""bloquer"" le passage, plus symboliquement qu'efficacement

marv

— event #4AU BOUT DES SOUS-SOLS

Plus Saada écoutait la litanie aggressive de méprisante de Théodora, plus son regard se teinta d’une pitié particulière qu’elle n’éprouvait que pour ceux qui à ses yeux s’enfermaient dans des idéaux vicieux qui les emprisonnaient plus qu’ils ne les enrichissaient.
L’héritière en était l’exemple parfait ; presque née à l’Académie et biberonnée à ces inepties, tant et si bien qu’elle en oubliait les valeurs humaines les plus essentielles selon Saada.
Dans un sens, elle lui donnait raison.
Son visage s’adoucit l’espace d’un instant mais son regard suintait du dédain qu’elle portait à ces idées là ; elle ignora ensuite Théodora à qui elle ne répondit pas et posa les yeux sur Nahia en qui elle avait senti l’assurance s’ébranler.

« Je te sens troublée Nahia. Ces propos te choquent ? »

Elle n’aimait pas avoir à faire ça, mais la naïveté n’avait plus sa place en ce lieu, en cette heure.

« C’est pourtant parfaitement représentatif de l’idéologie derrière notre chère Académie. On prône l’élitisme, on se sert d’enfants d’à peine onze ans dans des opérations militaires dangereuses et on silence et punit ceux qui osent hausser le ton contre ces abus. Tu penses vraiment pouvoir continuer à protéger ça et dormir sur tes deux oreilles malgré tout ? »

Saada n’avait pas prôné la paix contrairement à ce que lui imputait Théodora –elle savait qu’on n’obtenait pas gain de cause en demandant poliment, et que seul le chaos causé par des fondations crasseuses ébranlées permettrait de percer l’abcès malgré les risques encourus.
Elle avisa les autres d’un œil plus méfiant.

« Je pense qu’on a gagné assez de temps, fit-elle à voix basse à l’attention de ses camarades. J’ai un cristal d’alice de vitesse, je peux l’utiliser pour les prendre par surprise et traverser. Carmen tu peux vous transporter Agnès et toi, comme ça personne ne reste derrière. Faites surtout attention à Aries, c’est elle la plus dangereuse du groupe, ne la regardez pas dans les yeux… »

Elle leur adressa un sourire discret mais confiant ; elle avait foi en leur cause et en leurs capacités.

« Maintenant. »

Elle plongea la main dans sa poche et s’empara du cristal avant de s’élancer droit devant elle.

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RÉSUMÉ ✽
— Saada regarde Théodora avec pitié et lui répond pas pcq flemme de débattre avec le printemps républicain (pardon pr cette vanne).
— Elle ignore un peu aussi Aries, Sio et Az' même si elle s'en méfie.
— Elle sent le trouble chez Nahia et essaye une dernière fois de la raisonner et la pousser à reconsidérer son allégeance.
— Elle décide de laisser Carmen se transporter derrière leurs adversaires avec Agnès pendant qu'elle utilise son cristal d'alice de vitesse pour traverser par surprise (elle estime qu'elles ont gagné assez de temps pour Galène & co).

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TROIS ÉTOILES Messages : 79 Age : 24 Classe : Classe D

// Event final — Au bout des sous sols

C’est une bataille vaine pour Théodora qui a choisi l’obéissance à tout prix. Et le regard plein de pitié ne fait qu’attiser la colère, qu’attiser la froideur. C’est deux pôles opposés qui s’affrontent du regard sans un mot de plus, deux pôles qui ne flancheraient pas. Alors Théodora secoue la tête d’énervement, de frustration.

Et elle ignore tout. Elle ignore tout et ne dit plus un mot. Elle serait une barrière silencieuse désormais, le roquet se tait pour garder le peu de sang froid qu’il lui reste, pour garder son attention.
Elle n’essaie pas de convaincre Nahia, elle n’essaie pas de défendre l’Académie, elle attend, observe pour cerner le plan de ces révolutionnaires de pacotille.
Et quand les messes basses se font, Théodora se méfie, Théodora est prête à bondir et attraper le col.
Sauf que Saada sort un cristal et alors que l’héritière étend son bras pour la cueillir, précipitamment, la main se referme dans le vide. Un cristal de vitesse. Ou de téléportation ? Théodora n’a rien eu le temps de voir ou de faire. Elle ne peut que rester frustrée, les sourcils éternellement froncés dans une colère sourde à toute parole.
On se tourne vers Aries, vers toutes les pro-académies et on siffle entre les lèvres pincées, les pas déjà se tournant vers la suite du chemin.

- Je la suis.

Peut-être qu’il y avait une pointe de curiosité, mais surtout, il y a cette envie de vaincre, de ne pas laisser quiconque avoir la liberté qu’elle n’aura pas.

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Résumé :
- Théodora et Saada ne parlent plus, elles se jaugent juste du regard et c’est une discussion vaine qui attise juste la colère de Théo
- Théodora se méfie et surveille à la place de parler maintenant
- Les messes basses attirent l’attention et Théodora tente d’attraper Saada au vol sans succès
- Théodora décide de suivre Saada pour la rattraper

taste of

rebellion

– Galène, sûr, en revanche je ne sais plus qui l'accompagne.
puis on s'arrêterait bien sur les plaisanteries légères mais les voix s'atténuent et les messes basses commencent ; un regard, avant tout, vers Carmen car c'est de son Alice que tu te méfies le plus.
grossière erreur, car c'est Saada disparaît de votre vue – cristal d'alice sûrement et la téléportation te vient tout naturellement – et voilà
Theodora, toujours plus tête brûlée, qui lui enfonce le pas. tu hausses les épaules et t'adresses à Carmen :
– Quitte à se retrouver au sous-sol, tu ne veux pas tous nous y téléporter, Beretta ?
peut-être
peut-être que tu pourrais encore arrêter ces deux-là, mais à quoi bon ? la curiosité a toujours été plus grande que ta loyauté.

TL;DR : — Sio se méfie de Carmen pour finalement lui demander si elle veut pas tous les tp, pour éviter de marcher
— fuck l'académie, on veut découvrir les secrets

ft. princesses fleurs + azrael

UNE ÉTOILE Messages : 129 Classe : f.

elle a été muselée par sa propre rage, incapable de répondre aux longs discours de theodora et ceux des autres. ses sourcils sont froncés méchamment et elle boue d'en venir aux mains, leur sauter dessus. elle n'en fait rien, serre les poings, s'enfonce les ongles dans sa paume et décide d'être raisonnée et d'attendre les indications de saada.

tout le reste lui coule dessus. c'est plus simple d'en ignorer l'existence pour ne pas être affectée, alors elle opine vaguement à saada et regarde un pilier à côté d'eux, peu sereine d'utiliser un alice trop souvent mis de côté.
va bien te faire foutre siobhan. qu'elle crie à la volée en se mettant à courir vers le portail qui la permettrait de se téléporter seulement juste quelques mètres derrière les pro-académies et retrouver saada en priorité.

résumé
carmen utilise son alice pour passer derrière les pro-académies au fond du temple. ses portails se referment juste après elle, ne permettant pas à quelqu'un d'autre de passer à cause de sa faible maîtrise d'alice.

LEGENDARY TRAINER + ROCK TYPE Messages : 116 Classe : e

AU BOUT DES SOUS-SOLS

« Eeeeeh. »

Ta main qui vient s’élever jusqu’à ton cou, la tête qui s’incline légèrement sur le côté gauche tandis que ta paume frotte ta nuque. S’il fallait « simplement les retenir » pourquoi donc n’avais-tu pas le droit d’utiliser la force ? Car après tout, c’était sans aucun doute la solution la plus rapide, et en ton sens, la plus facile.

Et pourtant, aussi extraordinaire que cela aurait pu l’être, tu l’avais prise aux mots Aries. Pour l’instant, tu resterais simplement à l’écart à faire quelques gestes d’échauffements. Si la seule raison de votre présence était de les retenir, tu étais certaines que vous ne resteriez pas là à vous regarder dans le blanc des yeux jusqu’à la tombée de la nuit : elles essayeraient de passer d’une façon ou d’une autre. D’autant plus que si ton souvenir était exacte Carmen avait la possibilité de se déplacer avec facilité, bien que tu en ignorais le sens.

Mais ce fut un coup de vent, les cheveux qui viennent flotter légèrement et Saada qui avait disparu du groupe. Alors, tu clignes des yeux pensant que ton cerveau te jouait un très mauvais tour. Pourtant, tu arrives à comprendre -supposer- quand ta personne se retourne finalement pour l’apercevoir bien plus loin. Et c’est les yeux tout grands lorsque tu vois apparaître Carmen à quelques mètres de toi. Il fallait les arrêter, c’était bien ça ? Elle n’était pas si loin de toi, mais tu t’étais mise à courir pour prendre un élan suffisant afin de lui présenter ton meilleur jump-kick.

Il fallait les arrêter et c’était bien ça finalement, que Carmen avait un alice semblable à la téléportation, qui pouvait donc lui permettre de passer n’importe quel barrage. Alors, elle était un problème, non ?

resume: aries est vraiment énervée qu'elle puisse pas la bagarre (mm si ça se voit pas des masses) mais elle s’échauffe quand même un peu car elle se dit que ça va bien finir par forcer le passage
puis elle sent Saada passer avec un coup de vent, se retourne et voit pop Carmen comme si de rien était
aries court vers elle et lui fout un jump-kick c ça

LETO

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toutes mes histoires inachevées

EVENT#4

saada file comme le vent et carmen se téléporte seule après avoir injurié siobhan. j'aurais bien rejoint beretta dans son portail et son insulte mais la voilà déjà partie et je me retrouve alors seule contre les trois pro-académies ... et azrael (pourquoi était-il dans un temple encore strictement féminin ?)
je marche doucement vers eux mais mon attention se reporte sur aries qui saute sur carmen et sans prendre le temps de voir le résultat de son assaut je m'écris

« mais tu es complètement malade ! on devait passer toutes ensemble putain ! »

je passe une main sur mon front puis dans mes cheveux pour évacuer mon stress. aries était un vrai problème, avec ou sans alice son instabilité (sa folie débile) commençait franchement à m'agacer fortement. j'essaie de passer en force pour rejoindre carmen et saada

résumé :
- agnès a le seum pcq elle est left behind et elle est comme 'ah ouai ok merci les filles vous assurez lol'
- elle passe le bloc pour checker si carmen va bien (mdr) et enfin aller aux sous-sols (vite on veut savoir les secrets!!!!)

BY CΔLΙGULΔ ☾

révolution
azrael, siobhan, theodora, carmen, nahia, saada, agnès, aries

Azrael n'est certainement pas le plus intelligent, encore moins le plus fort ; même en se retrouvant face à une bande de nanas (quoiqu'il n'était pas particulièrement misogyne, ses hormones lui donnaient logiquement l'avantage en terme de force brute) il était presque certain de ne pas avoir envie de se battre. Ou il était lâche ou c'était parce que le coup de pied d'une des nanas en question l'avait un peu découragé. Il se racla la gorge en accordant un regard à Siobhan.

« J'en déduis que c'est un changement de plan ? »

Il haussa les épaules, et fut pris d'un frisson tout à coup.

« C'est pas pour t'inquiéter Siobhan mais j'ai un mauvais pressentiment. Il faut qu'on parte. »

Il avait déjà ressenti ça auparavant, et ça ne lui disait rien qui vaille.
Un courant électrique froid le long de sa colonne vertébrale.

DIRECTRICE DU COLLEGE Messages : 43

EVENT#4 — Au bout des sous-sols (groupe 1)

Ses bruits de pas sont lents et réguliers. Rien qu'à les entendre on peut deviner la grâce de celle à qui ils appartiennent. Drapée dans son long kimono, les cheveux lâchés, Agatha apparaît à l'entrée du couloir dans lequel vous êtes tous rassemblés et sa voix, bien que mesurée, est ferme et vous impose le silence à tous.

« — Que vaut tout ce remue-ménage ? »

Les mains croisées devant son buste, elle lève le menton et une barrière violette se dresse entre vous et l'escalier (votre objectif). Elle est imprégnée de la même lueur et du même grésillement que le champs de force qui entoure l'académie.

« — Je suis extrêmement déçue par votre comportement à toutes. »

Elle toise les princesses fleurs du regard, et une mine de profond dégoût se dessine sur son visage lorsque ses yeux tendent vers Azrael, un garçon. Elle ne s'y attarde pas davantage, regarde Aries et Carmen, qui ne font, elles, pas partie de son cercle privilégié.

« — Vous êtes d'une vulgarité écœurante. »

Elle hausse les sourcils avant de s'adresser à nouveau à ses favorites.

« — L'une d'entre vous va-t-elle s'expliquer ? »

Instructions

— Agatha arrive et vous barre le chemin avec une barrière de son champs de force. Aucune alice ne la traverse, à la manière de celui qui entoure l'académie.
— Elle demande des explications, libre à vous de réagir de la manière qui vous plaira.
— Elle est hautaine, mais pas hostile.

— event #4AU BOUT DES SOUS-SOLS

Propulsée par un alice qu’elle ne maîtrisait pas pleinement, Saada ne put se retourner pour s’assurer qu’Agnès et Carmen l’avaient bel et bien suivie. Avec appréhension, et une certaine incertitude dans le cœur, elle ne pouvait que foncer en direction de l’escalier et prier pour que ses camarades lui emboîtent le pas d’une manière ou d’une autre. Mais un éclat violet devant elle attira son attention, et il ne lui fallut pas longtemps pour deviner de quoi il s’agissait.
Saada était plus athlétique qu’elle n’y paraissait ; elle pila net et se laissa tomber en arrière sur les fesses pour ne pas s’écraser contre le champ de force. Néanmoins, emportée par son élan, elle continua de déraper sur quelques mètres et ses genoux heurtèrent la barrière. Des picotements désagréables lui parcoururent les jambes et elle se sentie propulsée en arrière. Un grognement sourd gronda dans sa gorge alors qu’elle se releva avec précaution pour s’assurer ne pas avoir reçu trop de dégâts –ses genoux étaient égratignés, et elle aura certainement des bleus de-ci et de-là plus tard, mais elle tenait debout et c’était l’essentiel.
Elle se retourna pour faire face à Miss Windsor, le souffle fébrile.
Elle ne pouvait pas lire ses émotions à cause du champ de force qui entourait sa silhouette, et ça avait quelque chose de terrifiant pour elle que de n’avoir aucun accès à l’autre via son alice.

« Nous descendons au sous-sol. »

L’espace d’une seconde, elle avait pesé le pour et le contre, et avait jugé qu’il était inutile d’essayer de lui mentir pour s’en sortir. Par ailleurs, Saada avait un peu trop de respect pour la directrice pour insulter son intelligence de cette façon.

« Plusieurs équipes sont réparties dans l’école aujourd’hui pour en percer ses secrets et réclamer la justice que nous méritons tous en tant qu’élèves. Par la force s’il le faut. »

Sa voix trembla un peu moins, elle avait récupéré son souffle après l’effort de la course et se sentait étrangement calme malgré l’urgence de la situation.
Elle inclina légèrement sa tête en avant dans une retenue polie.

« Laissez-nous passer s’il vous plaît, Miss Windsor. »

Aujourd’hui l’école tombe —ne l’avez-vous pas déjà remarqué ?

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RÉSUMÉ ✽
— Saada réagit un peu trop tard et heurte la barrière d'Agatha avec ses genoux ; elle est légèrement blessée mais tient encore debout.
— Elle se tourne vers Agatha, lui dit la vérité sur les raisons de leur présence ici et lui demande poliment de les laisser passer (foutu pour foutu, hein).

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I know it happened quiet

so quiet

C'est étrange comme, malgré l'impassibilité qui décore ton visage, Saada est capable de déceler le trouble — comme un livre ouvert. Ses paroles accentuent le stress qui grésillait dans ta poitrine. En dépit de tes convictions qui t'animent, il faut le reconnaître, ton plus grand point faible sont ces élans de motivations instables, ton moral qui peut se décomposer à la moindre fissure — comme s'il suffisait d'un petit souffle pour détruire un magnifique château de cartes.

Et alors que tu hésites, Saada, puis Carmen parviennent à rejoindre l'accès au sous-sol. Quelques secondes s'écoulent avant que tu ne réalises la situation. Hébétée, tu soupires avant de t'élancer à leurs trousses comme Theodora. La surprise transparaît sur ton visage en voyant le coup d'Aries, décidément plus chaotique que les révolutionnaires.

— Mais enfin, Aries !

L'air légèrement scandalisé, agacée de constater que la violence apparaît toujours comme la solution la plus séduisante. Les traits redeviennent neutres, voire apeurés en découvrant Miss Windsor, et en te focalisant sur elle ; tu as honte, en croisant son regard un bref instant, en entendant sa déception, d'avoir été ainsi troublée. Comme si le tourment n'était plus légitime ou... tu n'en sais rien en fin de compte. Tu laisses Saada s'exprimer avant d'ajouter :

— Cela fait plusieurs jours que les bruits courent concernant une révolte. Beaucoup d'entre nous cherchons à les arrêter en ce moment-même.

Une brève hésitation avant de poursuivre, plus timidement.

— Ils disent que vous nous dissimulez une vérité inhumaine au sous-sol...

Comme si, dans le fond, tu cherchais à ce qu'elle te rassure, à ce qu'elle démente ces accusations.

résumé :
— comme Theodora, elle s'est mise à courir après Saada, Carmen et Agnès
— elle est choquée par la brutalité d'Aries
— elle s'arrête nette devant Agatha et donne les infos les plus factuels qui soient, attendant presque des explications de la directrice pour être rassurée

marv

UNE ÉTOILE Messages : 129 Classe : f.

carmen est mise au sol. un coup bien placé, bien plus maîtrisé que ses colères à elles, déstructurées, dévastatrices mais sans sens ni règles.un cri de douleur s'arrache de sa gorge et si tôt veut-elle se rebeller auprès d'aries, un peu sonnée, que miss windsor intervient. le regard qu'elle lui appose est sans pitié - et fait écho au mépris notable qu'elle perçoit dans sa remarque. sans le champ de force, elle aurait tenté de passer en la poussant, mais se retrouve coincée - encore hébétée du coup.

résumé :
carmen est au sol à cause du coup d'aries et ne fait rien ni ne dit rien, trop sonnée et déstabilisée.

TROIS ÉTOILES Messages : 79 Age : 24 Classe : Classe D

// Event final — Au bout des sous sols

Qu'importe les conflits, qu'importe les alliances, Théodora ne souhaite qu'arrêter cette défiance faite à l'ordre. La violence d'Arès ne la choque pas, ne la dérange pas, l'héritière se fiche bien des moyens utilisés pour arriver à ses fins. Alors elle marche, vite, la tête haute et la colère sur les épaules pour aller tirer les bretelles des rebelles.

Et soudain, Agatha Windsor, là, devant elles et c'est un soulagement, une particule d'ordre dans le boucan des rébellions. Un léger hochement de tête, polie, Théodora n'en démord pas. Elle explique, avec toute confiance.

- Mademoiselle Windsor. Ces idiotes veulent défier les lois apparemment. Dire qu'elles osent bafouer ce sanctuaire.. Nous nous apprêtions à les suivre pour les arrêter. Nahia a beau montrer des doutes, j'imagine que c'est sa naïveté qui parle. Qu'importe ce que cache le sous-sol, vous avez ma loyauté et celles des filles avec moi, je pense. Alors dites-nous ce que vous voulez qu'on fasse, s'il vous plaît.

C'est que Théodora aurait pu sans peine être une main armée de l'Académie. La lame reste cachée dans les gants de velours mais dans les délits, toujours, les responsabilités la guident vers ce rôle. N'est-ce pas là le rôle d'un soutien politique ? N'est-ce donc pas ce qu'était la famille Monaco ? C'est au moins ce que Théodora pense quand elle offre son soutien à Agatha Windsor.

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Résumé :
- Théodora se fiche bien de ce qu'il se passe autour, elle veut juste suivre les rebelles pour les faire arrêter leurs conneries
- En voyant la directrice, Théodora la salue poliment et lui explique la situation
- Elle attend les directions d'Agatha pour poursuivre.

taste of

rebellion

– Mais non, t'inquiète Azrael.
que tu dis sur le ton de la rigolade, persuadée que les problèmes sont au sous-sol plutôt qu'au rez-de-chaussée ;
sauf que tu le sens aussi, ce frisson qui remonte le long de ta colonne vertébrale – quelque chose va arriver et
rétrospectivement
tu aurais dû l'écouter.

car lorsqu'Agatha pointe le bout de son nez, c'est tout ton corps qui se raidit comme un soldat pris sur le fait ; tout bas, tu murmures à l'oreille d'Azrael :
– Rappelle-moi de t'écouter plus souvent.
soudainement le secret semble bien moins attrayant, et c'est volontiers que tu ferais demi-tour comme si il ne s'était rien passé – puis tu réalises que l'alice de la directrice est activé alors, foutu pour foutu, tu restes vaillamment dans l'ombre des autres filles.

– Oui, oui, la loyauté, pas de soucis, mais objectivement, Theodora, tu reconnaitras qu'on est toutes curieuses de savoir ce qui se passe au sous-sol.
et tu hausses les épaules, un regard vers Agatha.

TL;DR : — se raidit nette en voyant Agatha, elle est pas super à l'aise avec elle
— fuck les secrets, on veut retrouver son lit
— mais en même temps, Siobhan veut vraiment savoir ce qui se cache au sous-sol

ft. princesses fleurs + azrael

» [EVENT #4] Au bout des sous-sols — Groupe 2
» [EVENT #4] Au bout du couloir — Groupe 1
» [EVENT #4] Au bout du couloir — Groupe 2
» [EVENT #4] Au bout de l'allée — Groupe 1
» [EVENT #4] Au bout de l'allée — Groupe 2