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Tatsuya // You can(not) forgive
Tatsuya Chinuru
DEUX ÉTOILES
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Tatsuya Chinuru

Messages : 84
Classe : E

Tatsuya // You can(not) forgive Empty
MessageSujet: Tatsuya // You can(not) forgive   Tatsuya // You can(not) forgive EmptyVen 6 Sep - 18:42

Tatsuya Chinuru
Prénom Tatsuya
Nom  Chinuru
Âge  16 ans
Origine Japonaise
Classe E
Orientation sexuelle Indéterminée

Âge d'entrée à l'Académie 7ans
Opinion sur l'Académie Pas grand-chose, il pense que c’est une bonne chose qu’il soit enfermé mais d’un côté il n’est pas forcément d’accord pour tous les autres qu’il trouve moins horrible que lui. Mais ce n’est vraiment pas sa priorité

Alice Water Inhalation
Description
Absorption de l'eau
Spoiler:

Groupe
Forme de l'alice Limité
Matou Kariya
Fate zero
Bulletin scolaire

Maîtrise de l'Alice
8/10

Discipline
6/10

Détermination
2/10

Résultats scolaires
9/10

Implication dans la vie de l'Académie
0/10

Total breakdown
« Si la bête chasse la brebis, n'est-pas que quelque part elle craint les représailles ? »
« Je suis un monstre, une immondice, une erreur. La liste est bien trop longue à énumérer, mais voici ce que je suis. Cette malédiction me ronge, elle a détruit la seule chance d'avoir une existence normale. Savez-vous ce que l'on peut ressentir lorsque sous vos doigts un corps se déshydrate jusqu'à ne devenir qu'une étoffe qui se fissure à la moindre pression ? Certains jubileraient d'une telle puissance, d'autres seraient simplement intéressés par l'exploitation de cette capacité inhumaine. Mais moi, c'est la peur qui m'habite. Peur qu'après ce contact, il n'y ait plus rien, peur de ces regards d'effroi à mon égard. Peur que mon péché s'alourdisse encore, comme une gourde que l'on remplit petit à petit de ce liquide infâme. Il n'y a rien de plus terrifiant  que de perdre le contrôle de ses mouvements, de ses émotions.
Alors oui, je suis prévoyant, prudent, peut-être un peu trop d'ailleurs. Pour ne plus commettre d'erreur,  il faut que je m'éloigne. On me considère comme distant, froid, désagréable. Je vous piétine, vous rabaisse, vous dénigre, car si vous me détestez, alors il n'y aura plus de contacts dangereux. Ces mots durs et insultants ne sont que des mensonges. Tous ces reproches ne sont pas dirigés vers vous, mais vers ma propre personne.
Je ne mérite pas d'être sur cette terre, je le sais déjà. Il n'y a rien de plus amer que de vous entendre dire que j'ai une place dans le monde des hommes. En quoi mon existence peut-elle apporter à ce monde ?  J'ai blessé, j'ai détruit une existence. Même si le cœur n'y était pas, cela ne pardonne en rien. Je me sens coupable, lâche, pitoyable. Car je n'ai pas pu les protéger de moi. Alors mon seul souhait serait de disparaître aussi silencieusement que la nuit. Mais les miracles n'existent pas, n'est-ce pas ?
Pourtant ''vivre'' en constante opposition est lassant , fatiguant et exténuant. Même si je suis une horreur de la nature la solitude n 'est pas atténuée, ni l'angoisse d'ailleurs Sans doute que je n'ai pas assez anesthésié l'espoir qu'il me reste de l'enfant que j'étais. Peut-être que j'attends encore à me réveiller de ce cauchemar, à redevenir ce garçon aux cheveux bruns sans aucune particularité propre à part celle d'être encore jeune et insouciant. J'envie ces personnes qui rient en fond de classe avec leurs camarades, parlant de tout et de rien comme si la vie était à prendre à la légère. Au fond, je les déteste probablement un peu, à vivre normalement. Alors, je regarde par la fenêtre, soupirant inlassablement de cette journée qui s'éternise. A mon niveau, il ne reste plus qu'à croire que le lendemain ne reviendra pas. »

«  Vous savez, Tatsuya est bien loin d'être un mauvais garçon, et je ne dis pas ça par que je suis son psychologue depuis son arrivée ici. Quand je l'ai rencontré, il était déjà traumatisé par cet Alice, mais il était pourtant plus optimiste qu'aujourd'hui. Mais d'autres accidents sont survenus et depuis, il n'a cessé de se protéger des autres autant que de lui-même. Je pense qu'il est un garçon qui s'en veut systématiquement de ne pas avoir bien fait, il suffit de voir ses résultats scolaires. Ses notes sont excellentes, même en sport où sa condition physique est un grand handicap. Pourtant une matière  fait exception, il s'agit  de l'art plastique. Pourtant il ne dessine pas si mal que ça , il lui arrive d'ailleurs de reprendre ce loisir quand son bras gauche ne lui fait pas mal, car oui, il est gaucher. Mais pour les cours, il bloque totalement et ne donne qu'à chaque fois une feuille blanche si ce n'est pas l'histoire des arts ou un descriptif d'une technique particulière. Pourtant c'est un garçon perfectionniste, mais il y a des blocages que l'on ne peut dépasser que par la volonté.
C'est comme pour ses relations avec les autres. Je ne l'ai plus jamais vu discuter normalement avec quelqu'un depuis des années. Je crois qu'il tente d'esquiver tant qu'il peut toutes les interactions avec ses semblables, car il a peur qu'on le touche. Même un contact involontaire le fait sursauter de l'autre côté du couloir. Dans ces moments-là, il n'y a que de l'effroi dans son regard. J'espère qu'il pourra dépasser ça, se faire des amis qu'il puisse enfin avancer. Il vit dans un gouffre sans fond, sans espoir de rédemption. Pourtant, il se démène pour que son existence ait un sens. Même s'il fuit les autres comme la peste, il lui arrive exceptionnellement de venir à la rescousse si cela ne demande pas de véritables contacts. Ou que cela concerne les animaux. Je crois que c'est ce qui lui fait encore plus peur que les hommes. Je pense que Tatsuya doit encore avoir des traits d'enfant derrière toute cette culpabilité. Je pense qu'il est du genre à être embarrassé par des détails insignifiants et à avoir du mal à avouer qu'il apprécie davantage une personne plus qu'une autre. Mais ce ne sont que des hypothèses, pour l'instant il a beaucoup de chemin avant de penser à mener une existence comme les autres... »
About
Froid, distant, insultant. Mais en réalité il a peur de tout le monde et de faire du mal. A eu des amis qu'il a blessé au début de sa scolarité. Maitrise très bien ton alice mais panique. Adore les animaux, même s'il ne s'en approche pas. A des douleurs chroniques, encore plus quand il utilise son Alice. Porte des gants pour éviter le contact. Est percé trois fois à chaque oreille avec des limiteurs.
La vie est un long fleuve tranquille
Je naquis dans une famille tout à fait commune à Dublin. Ma naissance n'avait rien de très glorieuse ou exceptionnelle, après tout mes parents s'aimaient, alors quoi de plus naturel que d'avoir leur premier enfant. Pourtant, mes parents avaient un secret. Si ma mère avait pu vivre de son art, elle était encore une peintre renommée à cette époque, c'était parce qu'elle avait un don qui l'aidait à toucher le cœur des gens. Oui, elle avait un Alice, celui de  pouvoir exprimer à travers ses toiles l'avenir d'un individu. Mon père l'avait connu à une de ses expositions. Il n'était qu'un jeune employé démotivé par la vie active tout à fait normal, mais un de ses tableaux l'avait sauvé par sa beauté. C'était ce qu'il aimait dire. Il avait donc voulu la remercier et à l'instant où leurs regards s'étaient croisés, ils ne purent se quitter. C'était du moins la version officielle, sans doute que cela s'était passé autrement. Les connaissant, cela ne m'étonnerait pas qu'ils se soient connus dans un bar, tous deux ayant abusé de saké. Mais leur amour n'avait rien d'artificiel, mon père avait tout de même démissionné pour devenir la muse de ma mère à temps complet. Ma mère quant à elle avait  accepté de porter ce nom sanglant à la suite de leur mariage et rejoint l’Irlande, là où la mère de mon père avait grandi et résidait. Elle était tombée malade peu de temps après leur mariage, et ma mère ayant peu d’attache dans sur l’île du Soleil Levant, elle y voyait une opportunité pour exporter son art autre part. J’étais née trois ans après leur déménagement.
Alors pour leur fils ils avaient choisi un prénom qui leur porterait bonne fortune. Tatsuya. Je n'arrive toujours pas à voir en quoi « flèche de dragon » influait le bonheur, je n'ai jamais pu totalement saisir leur logique. Mais c'était pour cela qu'ils étaient si admirables, avec eux, c'était comme traverser un labyrinthe aux milles teintes. Même si l'on ne comprenait pas toujours où l'on se dirigeait avec eux, la magie n’était jamais loin de leurs pas.

Mes premières années de vie, je n'en ai presque aucun souvenir à vrai dire. Je sais juste que nous vivions dans un certain luxe. Ma famille était heureuse, ça je ne pourrais jamais l'oublier. Quand je devins assez âgé pour commencer à pouvoir marcher et courir, ils firent de leur mieux pour m'éveiller au monde extérieur. Je fus rapidement bercé par les histoires de mon père, ainsi qu'à l'apprentissage de la calligraphie et du dessin. Même si on ne pouvait pas appeler ça un dessin, ma génitrice avait voulu que je sois baigné le plus rapidement possible dans le monde de l'art. Il y avait une infime chance que j'hérite de son Alice, alors elle ne voulait pas se risquer à négliger cet art qui pourrait me servir un jour. A vrai dire, j'adorais ces séances de dessins avec ma mère. Dans ma tête d'enfant, c'était un autre monde qui s'ouvrait devant moi. En rentrant de la maternelle, c'était la première chose que je demandais à mon père, si aujourd'hui encore Maman allait peindre avec moi. Mon père me souriait toujours, même quand il me disait que je ne pourrais pas ce jour-là. Alors, quand ma mère était bien trop occupée, il m'emmenait voir ma grand-mère, rétablie depuis peu, qui habitait à quelques pâtés de maison.

Mon entrée en primaire n'était pourtant pas ce qui allait changer le cours de mon existence. J'étais un élève curieux parait-il. Bon j'étais un peu timide et j'avais du mal à aller vers les autres. Je préférai rester dans ces gribouillis qui commençaient à avoir de l'âme. J'étais surtout intimidé par toutes ces personnes ‘normales’. Moi, j'avais une mère fantastique, alors je ne voulais pas qu'ils soient jaloux de moi.  J'y croyais sérieusement à cette fierté, comme on s'accrochait aux rêves d'enfant. Je finis par m'adapter à cette vie-là, beaucoup aidé par mes parents qui ne voulaient pas que je m'isole. Avec ce courage, que l'on m'avait donné, je parvins à parler à ma voisine de classe. Je réussis à avoir quelques amis, autant que pouvait en avoir un garçon un peu peureux. J'aimais ce monde, avec ces amis qui me disaient bonjour le matin, quand ma mère me montrait une nouvelle technique de peinture.

Et puis quand l'âge de raison vint, un petit être venait à pointer le bout de son nez, une petite sœur d'après mon père. J'étais tout excité de le rencontrer. A quoi ressemblerait-t-elle ? Serait-elle aussi belle que ma mère ? Je m’étais même mis à la dessiner, comme je me l'imaginais dans mes rêves. Elle sourirait tous les jours, elle m'appellerait grand-frère et je l'adorerais. Je la gronderais quand elle ferait une bêtise, je la consolerais lors de son premier chagrin d'amour comme dans les dessins animés. Je l'aimais déjà, et j'avais voulu qu'elle vive dans le meilleur des mondes. Pourtant si elle savait, elle serait la première personne à me détester.

Tout commença d'une simple fièvre. Ma mère venait d'accoucher d'Itoe et subitement je tombai malade. On prit cela comme une grosse grippe alors je restai au lit, loin de ma mère et de ma petite sœur. Dans ma chambre où je suais toute mon eau, je ne l'avais pas vu, elle. Ce bébé que Maman avait mis au monde, le deuxième trésor de mon père. Combien de jours j'étais resté alité ? Je ne sais plus, je ne veux pas savoir. Mon père devait se faire un sang d'encre, mais moi, je ne pensais qu'à cette petite chose qui devait être ma cadette. Je voulais la rencontrer. Alors je me servis de ces premières forces pour me diriger là où ma mère se reposait. Même si j'avais la tête comme une enclume, même si mes jambes tremblotaient, ma curiosité m'avait poussé à aller les voir, pour voir comment elles allaient. Si vous saviez à quel point je le regrette aujourd'hui.

C'était ma grand-mère qui m'ouvrit la porte, visiblement irritée que je vienne les déranger pendant une de ces conversations de grandes personnes. Mais rapidement, elle reprit son sourire et elle me demanda ce que je désirai. Je baragouinai que je voulais de l'eau pour ma gorge desséchée, n'ayant pas la force de lui avouer que je voulais rentrer dans la chambre. Elle m'emmena donc dans la cuisine et elle me tendit un verre d'eau que j'attrapais de mes doigts tremblotants. Pendant une fraction de seconde, j'ai cru entendre quelque chose se briser en moi. Je ne sais pas si c'était une simple illusion que j'ai créé à force de me remémorer cette scène ou si ce son était bien réel. Les rouages de la tragédie s'étaient mis en marche et eut comme pour première conséquence la disparition de ce liquide transparent. Moi, je l'avais senti atteindre mes entrailles, mais ma grand-mère n'y comprenait rien. Elle voulut récupérer le récipient, sûrement pour comprendre où était partie l'eau. Grossière erreur, ce qui venait de se réveiller en moi ne s'était pas tari. Par le biais de mes doigts, la chose suça la moindre trace d'humidité de cette main. La texture était la même que celle des fruits séchés. Fripée comme une grand-mère, vide comme une coque vidée, voici ce qui restait de la paume de cette dame qui aimait tant se faire les ongles. Elle cria à l'agonie, sauvant de reste de son corps. J'étais encore tétanisé, sentant que mes sens devenaient anarchiques.

La soif ne s'arrêta pas et ce fut l'air qui fut la prochaine cible, la rendant aussi aride que dans un désert. Je ne savais pas comment arrêter ce pouvoir et le verre qui venait de se briser au sol amena avec lui ma mère terrorisée. Elle aurait dû voir comment allait la grand-mère de son mari au lieu de se ruer vers moi. Que je regrette son amour maternel, cela aurait pu la sauver ! Mais non, elle avait voulu m'aider, m'attrapant la main pour me rassurer. Et elle subit le même châtiment. Elle aussi tomba, elle aussi cria. Mes jambes me lâchèrent et je pleurais que j'absorbais instantanément. Ma mère avait mal par ma faute, ma grand-mère jura que j'étais un monstre, et moi je m'excusais sans cesse. Je n'avais pas voulu leur faire du mal, « ça » s'était réveillé d'un coup. Et « ça » me vidait aussi de mon d'énergie. Alors entre les « pardon » sans fin, ma conscience défaillit par l'utilisation trop poussive de mon Alice. A cet instant, j'espérais que tout n'était qu'un affreux cauchemar et que si ce n'était pas le cas, que j'allais mourir.


Lorsque j'ouvris les yeux, je fis face à ce plafond blanc. Mon bras gauche me brûlait, et j'avais du mal à me mouvoir, cependant je réalisai que je ne connaissais pas cette pièce, ni même le monsieur qui était à mon chevet. Sous ces rides prononcées et sa blouse blanche menaçante, je me demandai ce qu'il attendait à me fixer ainsi.

L’homme m'expliqua ensuite que je possédais un Alice et que c'était cela qui avait déshydraté tout ce que j'avais touché. A la découverte de mon don, l’Académie qui me surveillait m’avait pris de mes parents. En ce lieu, je pourrais apprendre à contrôler ce don. La première question que je lui posai était comment allait ma génitrice et ma grand-mère, mais seul un silence gêné fit écho. Même si je n'étais qu'un enfant, je comprenais que c’était grave. Alors il préféra continuer ses explications. Mon Alice était d'un type qui mangeait mon énergie, et  il avait quelque peu déformé mon corps. Je me sentais vide d'énergie, mon bras me picotait, mais jusque-là, je croyais que ce n'était que la sensation de ma fatigue. Pour toutes argumentations, il me tendit un miroir, pour que je comprenne l'étendue des dégâts.

J'étais... Méconnaissable. Il me fallut quelques secondes pour réaliser que c'était bien moi. Les cheveux sombre de ma mère avaient laissé place à cette parure d'un blanc neige, une de mes pupilles avaient perdues sa profondeur laissant ce bleu pâle le contaminer. Mais le plus choquant était ces tentacules de veines qui gesticulaient sur mon visage. Le vieux tenta de me rassurer, cela régresserait sans doute avec le temps. Le coup était dur à avaler. Etait-ce là la preuve que j'avais commis un crime ? Je ne savais pas quoi en penser, mais je revoyais les cris, les pleurs, le drame. J'étais coupable sur toute la ligne. Dans ce chaos, je préférai me recroqueviller sur moi-même et sangloter comme si j'étais seul. Au final, les cauchemars étaient plus doux.
Le premier jour en classe, on me demanda de me présenter et je ne répondis pas, préférant regarder le sol. A quoi bon dire qui nous étions, je n'étais plus rien, ou plutôt je ne méritais plus d'être quelque chose. J'avais pleuré devant tous ces inconnus, les larmes se dissipant dans l'air. Alors c'était vrai, j'avais blessé ma mère et ma grand-mère. Ce n'était que maintenant que je réalisai toute l'ampleur de mes actes.

Seize ans. Seize ans déjà que mon cœur avait commencé à battre. Je grandis comme tous mes autres camardes. On dit que l'adolescence est la période des premières expériences émotionnelles qui finirait par marquer notre personnalité à jamais, pourtant rien n'avait vraiment changé. J'étais toujours à l'heure en cours, je faisais mes devoirs. Je répondais aux questions de mes profs, non sans une certaine froideur. J'avais de bonnes notes, je contrôlais mieux cette malédiction. Réussir à prendre une douche sans absorber la moindre molécule, voici ce que je parvenais à faire, même si cela me demandait une concentration hors du commun. Je n'avais pas d'amis, je les rejetais avec ma langue acerbe et nombres menaces. Je n'en voulais pas si c'était pour les blesser, alors l'amour était encore plus loin de ma portée. Le psychologue ne trouvait pas ça normal d'ailleurs que je ne m'y intéressais pas et je lui répondais toujours que ce n'était pas important. Je vivais en exil du monde des adolescents et cela ne m'avait jamais manqué. C'était du moins ce que je faisais croire aux autres. Etre seul était tellement douloureux, tellement épuisant, mais que pouvais-je faire d'autre ? Ma peau était une arme puissante, en portant ce fardeau, je ne pourrais jamais être un humain.

Je ne savais pas pas si ma mère ou ma grand-mère était encore en vie, mais j’espèrais que si c’était le cas, ma sœur ne connaissait pas mon existence et qu’elle n’avait pas d’Alice. Il était mieux que les tragédies, le coupable ne soit qu’une ombre. Et en tant que coupable, il me fallait vivre avec la culpabilité de mon crime.
Derrière l'écran

Alors moi c'est Summeryoid, mais on me connaît plus sous le nom d'Elvio à cause justement d'un forum Alice où j'ai été pendant de nombreuses années ( coucou Lisa si tu vois ça !). J'avoue que j'ai toujours adoré le manga et pouvoir rejouer dans le thème qui a marqué mes années de rpistes me rendent nostalgique ;w;


Elyas S. Crawley
I love it when you call me señorita
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Elyas S. Crawley

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Classe : E.

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MessageSujet: Re: Tatsuya // You can(not) forgive   Tatsuya // You can(not) forgive EmptyVen 6 Sep - 19:01

Bonjour !
Je pense qu'il va falloir refaire un tour à la lecture des sujets à lire pour la compréhension du forum il y a quelques choses qu'il faudrait modifier
L'Alice doit être quelque chose de simple qui peut se décrire de manière concise et brève, comme mentionné un peu partout dans les règlements et le modèle de présentation. Surtout qu'il s'apparente beaucoup à l'aquakinésie qui est déjà utilisé par un de nos membres (tu trouveras la liste des alices utilisés dans le bottin dédié dans "listings")
Ensuite il n'y a pas encore l'histoire mais puisque notre contexte se déroule en Irlande, si ton personnage n'est pas originaire des UK il peut certes avoir des parents d'une origine différente mais il doit avoir été recruté au uk même (comme ce n'est pas encore écrit je le précise au préalable histoire que tu écrives pas tout un début d'histoire pour rien)
edit j'ai oublié de préciser mais la classe dangereuse c'est nous en tant que staff qui la remplissons, on ne peut pas la choisir.
Bienvenue ici et courage Love

https://siderale.forumactif.com/
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MessageSujet: Re: Tatsuya // You can(not) forgive   Tatsuya // You can(not) forgive EmptyVen 6 Sep - 19:13

hello

Mon petit coeur nostalgique bat très fort sache le (C'EST MOI KLERJGKLRE) très heureuse de te revoir ici, courage pour ta fiche et bienvenue ! Love

Tatsuya Chinuru
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Tatsuya Chinuru

Messages : 84
Classe : E

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MessageSujet: Re: Tatsuya // You can(not) forgive   Tatsuya // You can(not) forgive EmptyVen 6 Sep - 19:20

Merci déjà pour l'accueil!

@Elyas S. Crawley Je me suis un peu emporté ahah désolé pour ça ! Et oui l'histoire se passera en Irlande, il n'y a pas vraiment de problème pour cela c'est prévu ! Toutefois, son pouvoir n'est pas de l'aquakinésie à proprement parlé, il est plus comme une éponge qui absorbe l'eau et l'humidité, il y a pas plus que cela, désolée si c'était un peut flou QWQ

@Aglaé S. Lynch Ouiii je suis aussi trop content de te revoir ici aussi sache le QWQ

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MessageSujet: Re: Tatsuya // You can(not) forgive   Tatsuya // You can(not) forgive EmptyVen 6 Sep - 19:27

bienvenue à toi!!! kariya c'est une valeur sûre snif
j'espère que tu t'amuseras bien ici!! Love

Melchior Collins
DIRECTEUR DU LYCÉE
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Melchior Collins

Messages : 375

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MessageSujet: Re: Tatsuya // You can(not) forgive   Tatsuya // You can(not) forgive EmptyVen 6 Sep - 22:02


Hello Love bienvenue par ici !
j'aime beaucoup les précisions des bijoux de controle o/
as-tu un problème à remplir les barres de progression ? car les barres ne reflètent pas le pourcentage que tu as indiqué Eulalie
veux-tu qu'on les remplisses pour toi ?

amuse toi bien parmi nous Plop

N'oublie pas d'aller recenser ton avatar ainsi que ton alice. N'hésite pas à aller t'inscrire dans un club. Tu peux dès à présent créer ta fiche de relations ainsi que ton portable. Il ne te reste plus qu'à trouver des partenaires pour rp. Amuse-toi bien sur Siderale !


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