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I've got no roots - Charlie
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MessageSujet: I've got no roots - Charlie   I've got no roots - Charlie EmptyLun 9 Sep - 19:09

Charlie Allen
Prénom Charlie (aussi Cha, Chacha ou Lily.
Ou pour les plus mélomanes… Lily Allen)
Nom Allen
Age 19 ans
Origine Anglaise
Classe Universitaire en deuxième année, spécialité artistique
Orientation sexuelle Pansexuelle
Age d'entrée à l'Académie 7 ans
Opinion sur l'Académie Ambivalente…
Parfois elle s’y sent chez elle, parfois l’idée d’y être enfermée la fait paniquer.


Alice Sylvanésie
Description Capacité de créer, contrôler et manipuler du bois vivant ou mort au toucher comme à distance.
Groupe Psychique
Forme de l'alice Indeterminée
Chloé Price
Life is Strange
Bulletin scolaire

Maîtrise de l'Alice
9/10

Discipline
1/10

Détermination
8/10

Résultats scolaires
8/10

Implication dans la vie de l'Académie
GNÉ ...

Une oeuvre d’art n’est jamais immorale,
Charlie c’est la gamine arrivée comme un cheveux sur la soupe, par flemme sa mère lui a refilé un nom qui irait autant à une fille qu’à un garçon. Alors elle s’adapte, elle est résiliente et pas voyante, en tout cas elle l’a été pendant ses sept premières années. Et puis elle a rencontré Al. Inséparable de lui, elle a décidé de tester, de repousser les limites toujours plus. Aventureuse, curieuse et s’amusant de tout, elle est devenue une jeune femme, grande gamine qui en a marre d’être cloisonnée et qui veut découvrir le monde, toujours trop vite, toujours trop loin, avec lui parce qu’il reste le meilleur modèle qu’elle ait sous la main, et surtout son préféré.

Elle peut avoir une culture folle de l’art grâce à sa génitrice et des idées incroyables, c’est dans ses gênes comme son don, elle le dit souvent en riant. Elle ne se restreindra jamais à ça pour créer, elle voudra apprendre et tester les différentes disciplines, s’essayant à la peinture, la photographie ainsi qu’à la xylogravure en plus de la sculpture. Elle va être tantôt sérieuse et studieuse puis un peu plus tard complètement barrée et à côté de la plaque, la seconde option se faisant vraiment plus présente. Ces années de fuite en avant et d’ombre lui ont donné le goût de la désobéissance et de la rébellion à force d’enfermement.

Elle a envie de vivre pour elle-même, de sortir de l’ombre et en grandissant à l’Académie elle va se chercher, construire sa personnalité loin de ce qu’on lui dit d’être. Elle verra ce qui l’entoure comme matériaux et source d’art autant que son propre corps qu’elle adore marquer. Elle se débrouillera pour recouvrir son bras droit de tatouages, chacun ayant une signification personnelle. Sur un coup de tête elle va se couper un jour les cheveux en un carré plongeant et les teindre en bleu, coiffure qu’elle ne quittera plus en grandissant.

L’école en soi… elle l’aime parce qu’elle y voit enfin des gens un peu comme elle et puis, Al est là lui aussi. Elle aime avoir enfin ce cadre et ces conséquences, savoir que lorsqu’elle fait quelque chose, ça a des répercussion et qu’elle existe, qu’elle n’est plus invisible. Justement ça ne l’empêche pas à la moindre occasion de briser les codes, tester les limites et prendre comme défi de briser ces règles.

A la voir comme ça on dirait une furie insouciante et heureuse mais au fond elle se fait bouffer par la peur d’être seule et de finir enfermée. Souvent elle frémit rien qu’à l’idée que l’école soit une nouvelle cage, une de plus dans laquelle elle vit et qu’elle ne pourra jamais briser ce schéma. Elle traîne cette boule d’angoisse qui l’empêche de respirer lorsqu’on la regarde et qu’elle écrase avec un regard de défi ou un grand sourire. Elle est déjà fatiguée de se poser tant de questions et de ne pas pouvoir se sortir de la tête les sept premières années de sa vie, de ne pas se dire que tout à commencé lors de sa rencontre avec Alastair et rien du tout avant. Elle a ces questions qui la bouffent et qui tournent en rond, fractionnant son esprit entre la réalité et ses pensées.

Qui est mon père?
Pourquoi elle me déteste?
Pourquoi elle ne m’a jamais regardé?
Pourquoi elle ne m’a pas abandonné dès la naissance hein?
Est-ce qu’elle me déteste vraiment?
Pourquoi je suis comme ça?
Pourquoi moi? Pourquoi nous?

Pourquoi ...

About

Signe reconnaissable?

⛌ Ses cheveux bleus azurs comme ses yeux et ses tatouages au bras droit. Elle est élancée et sportive du haut de son mètre 65.
⛌ Elle a le majeur aussi facile que le sourire.
⛌ Pas pudique pour un sou, elle peut se balader à poil avec une serviette autour de la taille torse nue pour aller à la douche et rester là 1h à blablater avec vous sans sourciller, voire même prendre cette même serviette pour s’essuyer les cheveux sans y faire attention.
⛌ Affectueuse et tactile quand elle connaît bien quelqu’un, en manque constant d’amour, un vrai petit poussin qui suit pôpa Al partout
⛌ Protectrice à l’extrême avec ce dernier, oui c’est un grand garçon (1m90 tout de même) mais elle ne peut pas s’empêcher
⛌  Empathique et émotive elle se laisse parfois contrôler par ses sentiments qui viennent la submerger, et étonnement quand la situation est importante et grave on la croira froide et sans cœur lorsqu’elle va tout murer pour ne pas souffrir ou gérer la situation comme elle le peut.
⛌ Crédule et naïve, on peut lui faire croire n’importe quoi ou presque. Quoi? L’académie est hantée??
⛌ Créative elle voit n’importe quoi comme source d’inspiration ou moyen de créer quelque chose, tout est un concept à tester.
⛌ Ouverte à tout et à tous, elle ne fait pas grand cas des différences, au contraire elle trouve ça merveilleux que le monde en soit plein. C’est tellement moins ennuyeux comme ça.
⛌ Intrépide et joueuse, elle ne prend pas grande chose au sérieux et sera prête à relever tous les défis, surtout les plus idiots.
⛌ Téméraire elle ne regardera pas vraiment si ce qu’elle fait la mettra en danger, elle fonce et après elle réfléchit…. Oopsie.
⛌ Débauchée et Indécente, pas besoin de vous faire un dessin, elle aime prendre du plaisir de toutes les manières possibles, il n’y a rien de mal à ça.
⛌ Claustrophobe, elle ne supporte pas les endroits exigus et panique beaucoup trop rapidement.
L’obscénité commence où l’art finit.
Des paysages changeants et toujours de la nouveauté. Jamais un endroit où poser le mot maison, ce concept inconnu... Fillette, elle suit sagement, se tait et a gardé longtemps ses lèvres scellées. Elle n’a rien à dire, personne à qui parler, mais elle observe encore et toujours, reproduisant gestes et savoir faire. Pas de bruit, pas de mouvement brusque, elle doit rester dans l’ombre et ne jamais se faire voir. Elle a voyagé en suivant sa mère à travers les pays au grès des expositions, commandes et créations en restant sagement dans les appartements, les chambres d’hôtel ou les ateliers. Jamais elle ne connaîtra ce côté brillant et les applaudissements d’une oeuvre accueillie et appréciée. Mais elle en verra le revers, la préparation, les rendez-vous, les matériaux qui fondent, se tordent, se glissent et ondulent sous les doigts experts de sa génitrice. Ce don, elle le partage et elle l’a découvert très tôt alors souvent elle s’amusera à faire de même sur des chutes de bois et des morceaux dans un coin. Apprentie à s’exercer, reproduisant, jouant des formes et des textures. Jamais elle n’atteindra le niveau des oeuvres qu’elle a sous les yeux mais elle essayera et doucement va s’améliorer, nuit après nuit, jour après jour, semaine après semaine…

Années après années.

Le temps passant, maman va rapidement lui donner des livres à étudier pour l’occuper, lassée de voir la gamine lui tendre toute fière des morceaux de bois sculptés de son don naissant et de devoir les approuver d’un signe de tête. Temps perdu, artiste trop absorbée dans son travail. Maman a autre chose à faire alors Charlie, bonne élève se plongera dans les bouquins, étudiera tous les sujets, toutes les matières, la journée à la maison, pendant que maman dort. Studieuse et impliquée, tuant le temps surtout et essayant d’oublier le temps qui s’étire. La gamine s’amusera de ce don étrange, miroir de l'excellence de sa mère. Elle va l’apprivoiser alors en cachette, le tester et en jouer pour ne plus subir ce cœur qui se tord.

Elle a bien essayé au début d’attirer l’attention de maman, de lui parler.
“Chut tu fais trop de bruit”
Alors elle n’a plus parlé. Elle lui a ensuite montré les résultats hésitants d’un don mal maîtrisé.
“Pousse toi tu me gênes, je n’ai pas le temps.”
Parfois elle s’est obstinée quand maman rentrait titubante des expositions, quand elle se réveillait groggy ou quand elle semblait disponible mais sa simple existence semblait être trop souvent un fardeau à voir les réaction de cette femme qui était sa mère.
CHARLIE! Ça suffit maintenant, tu m'exaspères... LAISSES MOI VIVRE!”

Maman lui a bien expliqué et répété, elle était tellement jeune quand Charlie est venue bouleverser sa vie, mère sortant tout juste de l’école à 20 ans. Artiste prometteuse et incroyable, elle n’allait pas tout bousiller pour un bébé non?

Non.

Alors Charlie se cache, suis sa mère et se tait. Mère qui ne veut pas l’abandonner mais ne sais pas non plus comment l’assumer. Charlie a beau être jeune elle le comprend très bien et maintenant longtemps qu’elle s’est résigné et s’est habituée à être une ombre. Toujours seule car elle sait que c’est interdit de montrer ce don, interdit d’en parler, il lui est interdit de se montrer elle-même à qui que ce soit seule de toute manière.

Jusqu’à l’Irlande. Edith vient y faire une nouvelle commande, elle a décroché un beau contrat qui lui permettra de s’établir pour quelques temps dans ce coin reculé et verdoyant. Oui “Edith”, car il faut arrêter de l’appeler maman. Elle ne veut pas vraiment l’être, trop compliqué, trop de responsabilités, et puis ça fait mauvais genre de se coltiner une mioche et de se justifier auprès des gens. La gamine est surexcitée, elle se moque de ce que lui demande sa mère, tout ce qu’elle voudra du moment qu’elle peut enfin profiter d’un peu de stabilité, de sorties et du grand air. Edith a même dit qu’elle l’accompagnerait à certains rendez vous car elle se devait d’être utile “pour une fois”. A sept ans on peut très bien devenir l’apprentie d’une grande artiste non?

Ombre muette, elle se fait sage collée à Edith. Ses yeux parcourent les espaces, les murs immaculés, les meubles fortunés et les œuvres exposées. Elle est impressionnée et curieuse bien qu’invisible de tous sauf de Lui. Leurs yeux se croisent et ce sera le début du lien le plus important de sa vie. De effacée elle va passer à active et de muette elle va se découvrir rieuse. Charlie trouvera en lui un ami, un confident et quelqu’un qui l’accepte autant qu’elle, elle le comprend. Elle s’échappera dès qu’elle le pourra de l’attention de sa mère, ce qui en soi n’est pas très compliqué. Elle ira suivre ce gamin insolent pour découvrir ce que c’est que de vivre. Elle n’aura peur de rien à ses côtés, ira trop loin, poussant les limites. Ne voulant pas penser au fait qu’un jour elle devra partir, comme avant, ne jamais rester trop longtemps au même endroit et ne jamais connaître personne. C’était sa peur la plus profonde de le perdre lui, de perdre ce qu’ils avaient construit entre eux, ce monde où rien ne les atteignaient ou en tout cas faire comme si... Cruel dilemme de se dire qu’on est heureux de trouver quelqu’un pour remplir notre cœur et de se demander s’il n’aurait pas mieux fallu ne jamais le connaître pour ne pas avoir à souffrir de l’inévitable séparation.

Puis un jour il a débarqué dans sa chambre, différent, muet et livide. Comme si quelqu’un lui avait soufflé ses couleurs et avait ironiquement laissé les portes de son âme peintes d’un rouge de mauvaise augure. Elle n’est pas stupide la gamine, elle a vite compris ce flot qui le plaquait au mur de son esprit. Elle lui a laissé le temps de lui dire en venant caresser ses cheveux d’albâtre qu’elle trouvait magnifiques comme ça. Jamais elle ne l’a lâché des yeux, jamais elle n’aurait voulu détourner le regard et si une larme a roulé sur sa joue c’est de soulagement de se savoir enfin comprise pleinement, moins seule définitivement. Ils étaient pareils en tous points ou presque. Lui destructeur, elle créatrice.

Les mots ont eu du mal à sortir mais une fois le flot lancé elle ne pouvait s’arrêter de lui partager qui ils étaient, ce qu'était l’Alice, ce que faisait son don, pourquoi jamais elle n'avait pu lui en parler et sans cesse de lui demander pardon de l’avoir tenu à l’écart ainsi. C’est en parlant comme ça qu’ils réfléchirent vite à quoi faire.

L’académie.

Cet endroit s’est imposé de lui même comme la solution parfaite ou presque. Quitter une prison pour une autre avait le don de faire paniquer Charlie mais elle avait confiance en Alastair et après tout elle n’était plus seule. Il lui expliquait qu’autant aller dans un endroit fait pour eux que de rester avec des adultes qui ne voulaient pas d’eux. Autant aller découvrir le monde et faire ce qu’il leur chante. Ils ont rassemblé tout ce qui leur tenait à cœur, leurs affaires et se sont retrouvés sur la route. Le sac de Charlie n’était pas bien gros, empli d’affaires et de morceaux de bois différents avec une photographie de sa mère et d’elle enfant dans ses bras. Elle n’arriverait jamais à perdre espoir qu’un jour elle puisse assez compter pour cette femme pour enfin entendre un “je t’aime” passer ses lèvres.

Cette journée, elle s’en souviendra toute sa vie. Après avoir été contrainte de se cacher sans cesse elle et son don, gambader comme une gamine insouciante et écouter Al lui dire de se lâcher avait un goût incroyable de liberté et de plénitude. Elle hurlait de rire, faisait du bruit, s’amusant à faire glisser ses doigts sur les arbres en bord de route pour les faire grandir, s’étirer et s’affiner en formes étranges et impossibles. Couple de petits poucets laissant une forêt magique et cauchemardesque sur leur chemin. Elle s’amusait à tordre des branches en des formes étranges, simples pour l’instant mais assez pour les faire rire. Ambiance Tim Burtonienne au bord de la route, bordée d’arbres filandreux aux doigts crochus. Elle s’est même amusée à jouer la pirate des routes en grimpant dans ce caddie qui transportait leurs affaires, poussé par Al, gamins insouciants et fugueur, faisant tout pour se faire remarquer. Elle hurlait au ciel sa joie d’enfin se laisser aller et d’exister, yeux rieurs cherchant les rubis de son ami.

Les hommes en noir n’avaient pas traîné et déjà les gamins étaient conduits dans ce nouvel environnement qui serait leur école, leur maison et leur refuge à tous deux. Rien n’entamait la joie de cette nouvelle aventure folle, les rires et les questions fusaient et bien vite ils étaient arrivés à l’Académie. Gamins insubordonnés. Charlie refusait de se taire à nouveau, de vivre cachée et d’être une ombre. Elle prenait comme modèle le pire des gamins, le plus insupportable mais celui qu’elle adorait par dessus tout. Elle le suivait dans toutes ses bêtises, attisant son imagination et faisant tout pour le faire rire ou l’ennuyer. Elle aimait cette académie autant que ça la faisait paniquer. De se sentir prisonnière encore et toujours lui coupait le souffle mais toujours elle reprenait son inspiration grâce à Alastair qui la poussait à s’affirmer et se laisser aller. Elle grandissait et prenait confiance en elle, prenant plaisir à découvrir son don, en faisant un défi de s’améliorer et d’en user et abuser. Sa chambre était emplie de statuettes sculptées, des animaux, des figures humaines ou mythologiques des formes moins sages aussi…

Elle était de tous les coups montés, de toutes les blagues, toujours à vouloir pousser les limites. Après tout, cet endroit était leur maison, elle était avec lui, elle y était bien et étudiait ardemment, alors aligner les bêtises et les blagues était un jeu pour elle, son nouveau passe-temps. La gamine refusait de devenir une ombre à nouveau et faisait tout pour brûler la flamme par les deux bouts, pour briller et montrer qu’elle existe. Elle refusait de pleurer encore alors elle passait son temps à enchaîner les bêtises et les rires. Et surtout elle refusait de vivre cachée, triste et de prendre le visage et l’expression morne et plate de sa génitrice. En grandissant elle a gardé sa photographie pour se souvenir d’où elle vient et se rappeler que jamais elle ne voudra lui ressembler, à vivre à moitié, à avoir peur, ne jamais sourire et ne connaître que la chaleur à travers des étreintes éphémères et de l’alcool.

Elle s’est juré de devenir une adulte qui ne se cacherait pas,
jamais.
Et elle a grandit en respectant cette promesse.
Derrière l'écran


Hellow ~
J’ai été kidnappée et emmenée   de force  ici par Alastair. Le concept m’a tout autant emballé que lui, j’espère donc que Chacha va vous plaire!!
Et… est-il possible de privatiser le grenier? :3


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MessageSujet: Re: I've got no roots - Charlie   I've got no roots - Charlie EmptyLun 9 Sep - 19:14

CHACHA MON AMOUUUUUUUR
ENFIN.

kya

T'AS TRAÎNÉ BORDEL Nyeh
TU SAIS DÉJÀ MON AVIS REDÉCORONS LES GRENIERS youhou

Elior Demaury
la french girl d'elyas
la french girl d'elyas
Elior Demaury

Messages : 646
Classe : E

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MessageSujet: Re: I've got no roots - Charlie   I've got no roots - Charlie EmptyLun 9 Sep - 19:21

juste pour dire que le alice est tlmt original vrmt 100/100

bienvenue à toi ptit chat Love

Melchior Collins
DIRECTEUR DU LYCÉE
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Melchior Collins

Messages : 375

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MessageSujet: Re: I've got no roots - Charlie   I've got no roots - Charlie EmptyLun 9 Sep - 21:10


C'est super original que Charlie ait choisi d'aller à l'académie franchement I like it
c'est ouf d'avoir d'aussi bons résultats scolaires et une étoile mais wlh 1/10 en discipline je hurle PTDR
Bienvenue ici Love

N'oublie pas d'aller recenser ton avatar ainsi que ton alice. N'hésite pas à aller t'inscrire dans un club. Tu peux dès à présent créer ta fiche de relations ainsi que ton portable. Il ne te reste plus qu'à trouver des partenaires pour rp. Amuse-toi bien sur Siderale !


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MessageSujet: Re: I've got no roots - Charlie   I've got no roots - Charlie EmptyLun 9 Sep - 22:02

merci, merci, merci !!
*rampe se planquer dans le grenier sous le lit d'Al en mangeant son étoile*

Charlie n'aurait jamais eu cette discipline exemplaire dans l'aide d'Alastair, elle lui doit tout à ce propos :3
Merci Melchior, merci Elior de l'accueil!

Maintenant je n'ai plus qu'à m'enfuir en direction des rps .... AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAL !!
hug

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MessageSujet: Re: I've got no roots - Charlie   I've got no roots - Charlie Empty


I've got no roots - Charlie
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