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END [tw: violence] on brûle autant qu'les corps qui douillent (aries // janvier)
Alexis Pressman
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Alexis Pressman

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MessageSujet: END [tw: violence] on brûle autant qu'les corps qui douillent (aries // janvier)   END [tw: violence] on brûle autant qu'les corps qui douillent (aries // janvier) EmptyDim 16 Fév - 23:37



time for
dying
On oublie bien trop souvent à quel point parfois les mots peuvent être dégueulasses -et quand bien même ils ne sortent pas toujours pour blesser, quelques fois ils rayent la peau, s'enfoncent dans les plaies pour remuer des esprits déjà bien trop échauffés. Les événements des derniers jours ont été particulièrement douloureux pour beaucoup d'élèves, pour certains tout s'était bien terminé mais pour un paquet d'autres ça avait été plus compliqués. Les plus traumatisés n'en avaient pas forcément parlé, et les plus forts n'avaient pas totalement résisté.

Je vais tout faire pour la perdre.
Putain mais quel con.
Le grenier c'est ma maison, c'est ma famille Alex !
Putain mais quel gros con !

Asmodée dans toute sa douleur ne comprend pas la chance qu'on lui offre, celle qu'Alexis tente désespérément de toucher du bout des doigts et qu'elle ne lui envie même pas parce qu'oser ne serait-ce que le jalouser ou penser à lui prendre son étoile -impossible- ce serait perdre tout l'honneur qu'elle s'évertue à perpétuer depuis tant d'années. Des efforts brisés parmi toute la bonne volonté qu'elle piétinait déjà très bien comme ça. Non vraiment, ça n'en vaut pas la peine.

C'est seulement que ça fait mal d'entendre ça.
Ça fait mal parce que ça touche au rêve et quand ça touche au rêve souvent ça blesse.
Alexis ça l'énerve alors elle s'est éclipsée avant de commettre l'irréparable et dans sa colère, le nez planté sur son téléphone -miraculeusement encore vivant- c'est dans ta personne qu'elle se heurte, Aries. Sans une excuse ne fait que râler encore plus « mais casse-toi d'ma route putain » et s'éloigne rapidement.

Son portable lui échappe pour glisser sur le sol.
Elle rage vraiment très fort présentement.

« PUTAIN de bordel de MERDE ! »

Avec l'envie de tout casser.

Aries C. Amaro
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MessageSujet: Re: END [tw: violence] on brûle autant qu'les corps qui douillent (aries // janvier)   END [tw: violence] on brûle autant qu'les corps qui douillent (aries // janvier) EmptyMar 18 Fév - 16:19

ON BRÛLE AUTANT QU'LES CORPS QUI DOUILLENT
Pouvait-il être possible que tu es été la seule personne a ne pas avoir été blessé, à ne pas s’être remise en question ? La seule, ou du moins l’une des seules, à avoir vécut les récents événements avec grand intérêt. Une nuit qui avait été mouvementé pour grand nombre d’entre vous, mais pour toi Aries, cela n’avait été qu’une nuit blanche de pur plaisir. Ta console qui n’avait pas quitté la poche ventrale de ton pyjama et t’avais ainsi permis de jouer toute la nuit durant malgré les événements qui vous entourais.

Une nuit entière.
Une avancée terrible.
Le pokédex complet, chacun doublé. Présent dans le pc par un sexe distinct.
La moitié, si ce n’était même plus, arborant le trois chiffres.
Ah —.

Toutes ces belles choses qui étaient simplement enfermées dans la cartouche de jeu. Comme un saint grall qui aurait été perçu comme inatteignable. Et pourtant il était là.

Dans tes mains.

Du moins, durant un instant. Une douleur vive au creux de l’œil, bien trop agressive pour que tu ne puisses en passer outre. Alors tu l’avais abandonner au sol. Elle et ta console, elle et ton sac. Grossière erreur. Pourquoi est-elle seulement en dehors de sa protection ? Vouloir l’admirer n’était pas vraiment une réponse valable au fond.

Au début, il n’y qu’une lentille que l’on tente d’enlever. Ses affaires que l’on pose au sol et le fait de se relever. S’ensuit d’une bousculade sans la moindre excuse. Même d’une violence de parole. Mais pourtant, on y passe outre. Tu restes là simplement, presque souriante, la lentille sur ton doigt. Pensant simplement à cette douceur qui t’attend, cette quête qu’il te reste à compléter.

L’œil dévêtu qui se ferme pour ne pas être vue comme dangereux. Malgré toute attente, tu souhaitais éviter les problèmes. Inconsciente de l’isolement que pouvait obtenir une sans-étoile telle que toi. L’idée d’être isolé de vie virtuelle te tuerait, tandis qu’être bêtement coupée du monde social t’enchanterais. Mais tu n’étais pas assez idiote finalement, presque intelligente. Craignant la finalité, bien trop malchanceuse pour tenter le pas.

D’un œil aveugle, s’abaisse pour récupérer ses affaires.

Mais ?
?

« ? »

Se rend compte qu’il y a un problème. Jusqu’à même crier au crime. Une cartouche aplatit, donc le système ne semble même plus exister. Comme un lien qui avait été détruit, Aries tu es bien certaine que rien ne pourra en être récupéré.

Et c’est ton sang qui ne fait qu’un tour. Ce sang pourtant glacé qui reste toujours dans son monde. Tourne dans ton corps comme une mélodie sans fondement, dont la vitesse n’amènerait qu’au silence. Alors il explose. Le seul sens de ton existence, anéantit entre tes mains. Le regard tout grand, presque rond. Les yeux qui seraient prêts à sortir de leur orbite, tant tu dévisageais celle qui venait de te bousculer. Elle qui était là, non loin de toi. Énervée et statique.

Pourquoi ?

Que lui avais-tu donc fait pour une telle noirceur d’acte ?

Mais pouvais-tu réellement prendre le temps d’y réfléchir ? Toi qui en temps normal ne s’y apprête par réellement. Tout cela pour ainsi dire, jamais. Alors sans même t’en rendre compte, tu étais déjà à sa porté. Bien trop énervée pour prendre la peine d’en discuter. Après tout, aucune excuse ou supplication ne seraient suffisantes pour racheter sa faute.  Et c’est donc sans le moindre respect du sport que tu affectionnes pourtant, comme si tous tes principes venaient à disparaître en même temps que ta cartouche. Que dans son dos, tu lui assènes un direct pied de toute ses forces afin de l’envoyer au sol.

Le souffle court, donnant cette impression d’être essoufflée alors que seul ton cœur battait à tout allure. Chaque battement raisonnant au travers de tes oreilles. Tu étais à un point ou même la rouer de coup n’arriverait pas à te calmer. Pour être franc, on aurait même pu percevoir au fond de ton regard, de très légère larmes naissantes de rage.

Après tout, elle avait commit l’irréparable.



@ALEXIS PRESSMAN j'tavais dis c'est NUL
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Alexis Pressman
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MessageSujet: Re: END [tw: violence] on brûle autant qu'les corps qui douillent (aries // janvier)   END [tw: violence] on brûle autant qu'les corps qui douillent (aries // janvier) EmptyJeu 20 Fév - 18:17



time for
dying
Les sentiments humains ont toujours eu quelque chose d'étonnement complexe, pourtant c'est bizarre vous savez, parce que la rage au fond des cœurs elle a toujours été très simple, elle. Il suffit de pas grand chose, un petit rien, comme une mauvaise nouvelle, un désaccord ou une cartouche de jeu défoncée dans la terre -une broutille- pour que tout se brouille et que la colère l'emporte. Les intentions importent peu dans ces moments-là, pas plus que les excuses qui ne viennent pas si souvent, et Alexis au sol de ce coup qu'elle a reçu dans le dos il y a une seconde à peine, tarde à se relever. Elle voit rouge, les doigts enfoncés dans la boue et c'est parce que ça tire dans la colonne qu'elle prend une seconde pour inspirer profondément. Ancrer la douleur et sentir la rage d'être encore en vie à un instant aussi merdique.

La colère n'a rien de complexe.
Elle est simplement folle et sans limites.
Incontrôlable.

« Va crever. »

L'habitude des cours de sa spécialité, debout direct après la menace et le coup qui part est violent -emprunt de l'alice destiné à se défouler.

« PUTAIN t'es qui ?!! Tu fous quoi là ! »

Alors qu'en vérité elle s'en fout de ça.
Alors qu'en vérité elle est déjà à tes pieds pour t'en porter un deuxième, au cas ou avec un peu le chance le premier serait esquivé -parce qu'elle fait plus trop attention aux détails tu sais. Elle sait plus vraiment si c'est à toi ou à Asmodée qu'elle s'en prend.

Le poing termine sa course dans le mur -belle esquive- y laisse un cratère des plus effrayants qu'elle calcule pas. Défends toi et défonce la, écarte la sinon c'est elle qui le fera. Pas sûr que tu t'en sortes indemne ceci dit.

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MessageSujet: Re: END [tw: violence] on brûle autant qu'les corps qui douillent (aries // janvier)   END [tw: violence] on brûle autant qu'les corps qui douillent (aries // janvier) EmptyJeu 20 Fév - 20:52

ON BRÛLE AUTANT QU'LES CORPS QUI DOUILLENT
Durant un court instant, tu avais eu la bonté de la gracier. Ton œil nu, la lentille qui était tombée dans l’action. La criminelle que tu regardais de haut, l’œil dévêtu qui était clos pour ne pas engendrer le drame. Bien que malheureusement, tu ne pu apprécier cet instant que durant une très courte durée, a peine avait telle embrassé le sol que la brune était déjà sur pied.

« C’est plutôt à moi de te poser la question. »


Et même, si l’on pouvait le dire, sur tes côtes. Face à toi, la représentation typique de la colère tandis que tu n’étais que pure froideur, l’absence total de prise de conscience. Simplement la défunte perte de tes heures passées, de centaines de pokémon que tu avais chéris du plus profond de ton cœur. Malgré ta moitié aveuglée, suffisamment sur tes gardes en temps normal, tu avais dans une première fraction fait quelques pas en arrière espérant que cela serait suffisant. Du moins, notamment parce que tu n’avais pas calculé que tu étais dos au mur (dans tous les sens du termes). Dans la seconde fraction, tu avais remarqué ce coup de poing qui t’arrivais dessus. La troisième fraction, fut le questionnement, celui du choix entre esquiver ou bien bloquer. Et la dernière fraction fut la finalité, celui du pas sur le côté pour esquiver de justesse ce poing qui t’arrivais en plein visage.

Un craquement non loin de ton oreille, une vive réaction lorsque tu remarques ce second poing qui semble se serrer pour suivre le chemin du premier. Alors, ton regard éclot s’enchainant d’un rapide tour sur ton pied d’appui. Une légère prise de vitesse, la seconde jambe levée et plié pour que ton tibia vienne s’exploser sur ses côtes. Un coup suffisant pour prendre de l’éloignement, s’abandonner du mur pour ne pas y être bloquée plus longtemps, position de faiblesse que tu ne souhaitais pas supporter malgré tes capacités.

Et cet espacement te permet d’observer, de te rendre compte que t’as position, malgré l’absence de mur est peut-être bien plus délicate que tu ne l’avais imaginé. Le mur fissuré, comme un léger cratère qui correspondait au poing de la brune. Alors un reniflement, une légère reprise de souffle. Pour que tu te places en position de combat. De toute évidence, bloquer était tout aussi problématique que de se prendre une attaque de plein fouet. Assez problématique. Plus encore, que tu ne te voyais pas fermer ton œil, gage de sûreté.



@ALEXIS PRESSMAN
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MessageSujet: Re: END [tw: violence] on brûle autant qu'les corps qui douillent (aries // janvier)   END [tw: violence] on brûle autant qu'les corps qui douillent (aries // janvier) EmptyMar 25 Fév - 10:47



time for
dying
Pardon ?
Le coup dans le mur semble répondre à ce qu'elle prend pour de la provocation pure et dure.

« TU m'agresses. Et c'est à MOI que tu demandes ça ?! »

Oh Aries, belle Aries, on a déjà vu plus judicieux comme choix de mots tu sais. Alexis dans sa fureur ne fait plus attention à rien, les réflexes s'envolent et la garde se baisse, les appuis sont si mauvais que ton coup de pied l'envoie valser au sol à peine plus loin. L'esquive inexistante et une scène qui en cours lui vaudrait un zéro pointé. Pourtant, pourtant elle se relève encore, ne sent pas vraiment la douleur, et elle se tourne vers toi avec la ferme intention de te frapper encore et encore -parce qu'elle avait la colère et la peine à expulser, parce que tu étais là, simplement là et que tu l'avais bien cherché Aries. Après tout, qui s'en prenait sciemment à une personne énervée ?

Alors Alexis s'avance, croise ton regard de cette distance qu'elle veut supprimer et qui n'est pas si grande -et le prochain pas n'est pas si difficile mais le suivant bizarrement
Ça fait mal aux orteils.
Et puis ça monte un peu.
On a l'impression de se crisper à 300%

Puis finalement on ne sent plus rien.

« PUTAIN ! »

Et elle s'arrête enfin
Mais elle hurle si fort
Pourtant ça ne fait pas mal non non c'est pas ça le problème

« T'AS FOUTU QUOI CONNASSE ??! »

Parce que ça ne peut être que toi, pas vrai ?

« J'vais t'faire la peau ! J'vais VRAIMENT t'faire la peau !!! »

Et déjà elle recommence à avancer sur toi, presque à courir sur toi. Lorsqu'enfin elle t'atteint, réduisant au néant cette faible distance qui vous séparait, c'est son poing qui, dans un cri, s'abat dans ton estomac pour te faire voler au loin.

Sans qu'elle ne réalise vraiment que pendant ce temps son corps mourait lentement.

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MessageSujet: Re: END [tw: violence] on brûle autant qu'les corps qui douillent (aries // janvier)   END [tw: violence] on brûle autant qu'les corps qui douillent (aries // janvier) EmptyMar 25 Fév - 21:10

ON BRÛLE AUTANT QU'LES CORPS QUI DOUILLENT

Et fort fort fort, on en vient à penser à une unique chose. Qui seulement pouvait te jeter la première pierre, te hurler que tout cela inadmissible. Que jamais, il n’avait été permis de faciliter sa victoire avec un tel stratagème. Peut-être bien, qu’au fond. Comme la dernière fois. Ça aurait pu être des hurlements, une mise au placard soudaine. Qu’en y réfléchissant bien oui, peut-être qu’il fallait être forte pour en arriver à là. Qu’on en vient à jeter sa fierté et son amour propre. Que peut-être. Ce genre de chose pouvait être vue comme une tricherie sans gêne. Peut-être oui.

Mais pourtant, il y avait eu ce rictus au coin de lèvre. Celle qui réhausse très légèrement, de légère fossette. Une réponse silencieuse à toute ses exclamations. Tant de vulgarité que tu avais hésité à en rire. Simplement parce qu’elle ne pouvait pas savoir qu’elle allait être la finalité de cet échange – et toi encore moins. Tes pensés n’avaient été guidé que par une seule opportunité, ce désir si fort, si puissant de restreindre ses mouvements. Au fond, ce n’était qu’une mise en garde. Qu’une attention particulière à la vue de ce mur qui s’était effrité en réponse de son poing.

Il n’était même pas question de gagner cette partie. Juste d’une mise en garde déguisée qui ne reflétait qu’un flot d’amertume. Ton jeu, jamais elle ne pourrait te le rembourser. Rien n’y personne ne pourrait y faire quelques choses. Cette nuit passée simplement envolée, et c’est elle qui te l’avait dérobé. Alors ce n’était bien que partie remise, obtenir ce qui lui était nécessaire ne semblait qu’être suite logique des événements.

« Qu’est-—. »

Le souffle qui se coupe soudainement. Tout se déroule trop vite, bien trop vite. Tellement vite que tu n’en as même pas conscience à vrai dire, Aries. Cette confiance en toi et en tes capacités, si débordante. Comme avait-tu seulement cru que cette histoire allait se terminer comme la première ? Espérant comme une boucle sans fin qui ne faisait que se répéter… Qu’à partir de ce moment, où vos regards s’étaient croisés, que la victoire avait été totalement tienne. Comment rester sur ses acquis alors que les choses sont bien différentes, qu’aujourd’hui tes yeux sont enchaînés par ses vulgaires bracelets et trous d’oreilles. Que cette vitesse habituelle, que ce souvenir datant n’était que totalement biaisés par l’entrave de cette académie.

C’est pour cette raison que tu n’avais même pas réagit, que tu n’avais même pas imaginé que cela puisse être possible. Et pourtant. Ta conscience s’était envolée à cette instant précis. Comme un point sur le i. Comme le point d’une fin de phrase. Une histoire qui aurait pu se terminer sans même que quiconque puisse s’en rendre compte.

Du moins. Si seulement, elle y avait mis un peu plus de volonté.

Les côtes qui se brisent au premier contact comme de vulgaire cracottes. L’estomac anéantit, qui n’expose comme seul réaction que de rendre ton repas -et bien plus, sans le moindre doute- sur celle qui n’était que la genèse de tes problèmes. Tandis que ton corps s’envole au loin, finissant immobile un peu plus loin. Sans doute inconsciente depuis ce premier contact.


@ALEXIS PRESSMAN
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MessageSujet: Re: END [tw: violence] on brûle autant qu'les corps qui douillent (aries // janvier)   END [tw: violence] on brûle autant qu'les corps qui douillent (aries // janvier) EmptySam 29 Fév - 10:14



time for
dying
Et ça monte et ça monte et ça monte si haut si fort si mal
La colère
La rancoeur
La douleur si sincère d'un seul coup quelle en arrache un couinement surprit, et une grimace à la sensation du chaud sur son bras qui n'a rien de sang, ou plutôt qui n'est pas que ça, du sang. Alors Alexis fulmine autant qu'elle se perd et le cerveau freeze un peu -comme un appel au Temps pour qu'il en profite et l'immobilise enfin totalement. Dans sa rage elle crie, elle hurle, te hurle Aries, des insultes que tu n'entends pas et elle te demandes de te relever de la dégager parce qu'elle va te tuer si tu ne bouges plus tu sais ? Alors debout Aries, debout debout debout !

Il y a son bras brisé qui l'élance soudain, sa main qu'elle ne sent plus vraiment et pour cacher la gadoue et les bleus le reste d'un repas sur ses vêtements pourtant ce qui l'inquiète le plus à présent -et certainement ce qui motive encore plus sa rage et ses hurlements, c'est sa jambe qui devient pierre. Est-ce qu'elle va mourir, Aries ?

Parce que ça monte et ça monte et ça monte si haut si vite c'est si dur
La peine
La crainte
La douleur, toujours, pesante et incessante.

« Salope relève toi ! Qu'est-ce t'as foutu hein !??? T'AS FAIS QUOI RÉPONDS ! »

Mais tu ne peux pas répondre, Aries.
Alors pour te réveiller elle tente un pas, seulement sa jambe est entièrement prise dans tes filets maintenant et c'est beaucoup trop compliqué. Pourtant elle n'abandonne pas, et ça prendra le temps qu'il faudra mais la distance qui vous sépare sera comblée.

Elle va te défoncer.
Et se défoncer elle aussi un peu plus.
Et vous tuer (le corps) toutes les deux aussi.

Si ça continue.

Guenièvre Bradwyr
INFIRMIÈRE
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Guenièvre Bradwyr

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MessageSujet: Re: END [tw: violence] on brûle autant qu'les corps qui douillent (aries // janvier)   END [tw: violence] on brûle autant qu'les corps qui douillent (aries // janvier) EmptyDim 1 Mar - 2:00

On brûle autant qu'les corps qui douillent


Paisible journée à l'horizon, l'infirmière avait du aller au collège pour parler d'un élève avec un professeur. C'était pour Guenièvre l'instant de se replonger dans ses propres années collège. Ces années où elle avait, tête baissée, apprit à vivre un peu. Des années heureuses avec quelques amis précieux qu'elle avait malheureusement perdu. Ce fut pleine de mélancolie qu'elle observa l'extérieur depuis la fenêtre, posant ses yeux sur ce lieu qui l'avait vue grandir.

Mais les souvenirs sont perturbés par des problèmes. Des lycéennes. En train de se battre. Il ne fallut pas plus d'un regard à l'infirmière pour savoir que la bagarre allait mal se finir. Alors elle se précipita dans les couloirs, pour enfin arriver dehors, face aux deux élèves.

Elle ne pouvait rien dire, Guenièvre, mais le souffle court, elle pouvait jeter ce regard mécontent à Alexis et se précipiter vers l'élève à terre pour s'occuper d'elle en vitesse, empêcher la jeune fille toujours debout de continuer à déchaîner cette colère vibrante. Qu'au moins, son pauvre corps ne soit pas tout brisé, qu'au moins le combat cesse. Une main fraîche passa sur le visage, le regard inquiet. Elle avait soigné ce qu'elle avait pu mais il restait qu'Aries était toujours dans les vapes. Mais Guenièvre n'avait pas le temps de s'attarder pour l'instant. Elle s'empressa de tapoter sur son portable, laissant une voix robotique s'en échapper.

"Laisse toi soigner s'il te plaît, nous devrons avoir une discussion après ça.. Je ne peux pas vous laisser vous battre comme ça sans rien dire !"

Oh, il était rare de voir l'infirmière énervée mais l'inquiétude avait rongé sa douceur pour laisser place à une fébrile inquiétude, une déception un peu. Guenièvre détestait cette violence. Pour autant, elle connaissait les tendances de certains élèves et savait qu'elle n'y pouvait rien. A quoi bon les punir ? Elles recommenceraient. Mais Guenièvre ne pouvait pas laisser passer, pas ça.

La main douce frôla Alexis, le visage toujours renfrogné alors qu'elle s'occupait de la pauvre adolescente. Il fallait être minutieux, penser à panser chaque douleur physique, être douce malgré l'énervement. L'infirmière caressa maternellement cette main réparée et ne put qu'écrire à nouveau sur son portable.

"Il va falloir que j'aille chercher du sang d'Aries pour soigner ta jambe. Mais d'abord vous allez avoir à parler avec Rex. Je peux pas laisser passer votre altercation, surtout avec l'état dans lequel vous êtes."

Alors l'infirmière attendit avec les deux élèves, restant proche d'Aries pour surveiller son état, elle qui était inconsciente.


Alexis Pressman
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MessageSujet: Re: END [tw: violence] on brûle autant qu'les corps qui douillent (aries // janvier)   END [tw: violence] on brûle autant qu'les corps qui douillent (aries // janvier) EmptyDim 1 Mar - 21:20



time for
dying
On peut dire que tu es arrivée au bon moment, Guenièvre, parce que tu sais, sans ton intervention, Alexis elle ne sait pas bien ce qui aurait pu arriver. Elle aurait pu la frapper encore et encore pour se défouler, se fracasser la jambe contre le sol et elle avait été tenté, elle avait faillit le faire juste avant que tu n'arrives, parce qu'inconsciemment elle s'était dit qu'elle rejoindrait plus vite Aries. Elle l'aurait rejointe et puis.
Elle aurait frappé.
Encore.
Encore.
Encore.

Alors, vraiment, heureusement que t'es là avec ton regard courroucé et la voix robotique de ton téléphone. Ça la calme pas vraiment mais ça a le mérite de la faire s'arrêter, juste assez pour qu'elle capte que c'est pas toi qu'elle veut frapper, et que Aries, Aries elle est plus en état d'être frappée. Frustration puissance mille qui grimpe en flèche, elle serre les poings, te regarde accroupie à son chevet sans pour autant arrêter de gueuler. Elle te demande de dégager et c'est pas très poli avec toutes les insultes qui suivent mais c'est pas si méchant non plus, c'est simplement qu'on lui a jamais apprit à parler autrement.

Finalement tu te lèves et tu t'approches, Alexis farouche se dégage de l'emprise et tente un pas en arrière, rapidement bloquée par sa jambe de pierre cependant. L'injure sort de nouveau, le putain du coeur lorsqu'il cède, ça fait mal autant que son bras qui la martèle depuis qu'un semblant de conscience lui est revenu. C'est probablement cassé. Une première en dix-huit ans d'existence à vrai dire, et visiblement c'est plutôt vite réparé -parce qu'elle n'a plus la force de te fuir elle t'insulte et te laisse t'accrocher pour redonner à son bras un semblant de vie.

Alors pourquoi est-ce qu'elle a toujours mal ?
Elle sait plus trop si c'est dans le bras ou au coeur mais ça la détruit quand même -alors elle se dit que c'est sans doute un mélange des deux.

Caresse interrompue par sa main qui se dégage -et ces envies de pleurer la rage qui ne sort pas mais qu'on lit bien trop fort dans les yeux, aussi. Plus encore à la mention de ce très cher Rex.

« Qu'il vienne ce clebs des enfers ! J'le démonte quand il veut ok ?! Vous avez vraiment qu'ça à foutre d'interférer dans la merde des autres ou quoi ???? tch... »

C'est pas comme si elle ne savait pas ce qui l'attendait.
Une semaine d'isolement, pour pas changer des autres fois.

« Au pire laissez-moi crever ici ce s'ra mieux pour tout l'monde. »

Un monde sans problèmes, qu'elle s'est retenue de prononcer.
@Aries C. Amaro & @Guenièvre Bradwyr
je vais demander l'intervention de super REX now !

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MessageSujet: Re: END [tw: violence] on brûle autant qu'les corps qui douillent (aries // janvier)   END [tw: violence] on brûle autant qu'les corps qui douillent (aries // janvier) EmptyMer 4 Mar - 12:49

INTERVENTION PNJ
Rex était arrivé promptement et en silence, si bien qu'il avait enregistré les dernières paroles de Alexis sans pour autant être remarqué. Il avait alors fait s'élever sa voix métallique.

« — Je vous serai gré de ne pas tenter de me démonter, Miss Pressman. D'abord car vous abîmeriez vos mains et ensuite car le temps que vous y passeriez serait vain. »

Il analysa la situation rapidement, et des témoins lumineux s'étaient allumés sur son casque.

« — Je vous serai gré également de ne pas mourir, car les cadavres sont plus lourds que les corps encore en vie. Et je doute que le directeur Collins éprouve une grande joie à devoir dissimuler votre corps inerte. Ha. Ha. Ha. »

Parfois son sarcasme était à revoir. Très déplacé.
Il se tourna mécaniquement vers Guenièvre, et s'inclina légèrement.

« — Pardonnez mon retard, Mrs Bradwyr. »

Il envoya un signal à Molly, l'autre robot, qui arriva rapidement, sans dire un mot. Elle s'approcha de Aries, et la souleva sans aucun mal. Rex poursuivit :

« — Miss Pressman, je peux vous porter jusqu'à l'hôpital, mais vous devrez vous tenir tranquille si vous ne voulez pas perdre votre jambe. Soit vous coopérez, soit on vous anesthésie. Une fois soignées, vous subirez toutes les deux une semaine d'isolement. Vous avez mis vos vies en danger et l'utilisation d'un alice dangereux en dehors de la surveillance professorale est tout bonnement inadmissible. »

Aries étant inconsciente, il devrait refaire ce discours plus tard.


Alexis Pressman
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MessageSujet: Re: END [tw: violence] on brûle autant qu'les corps qui douillent (aries // janvier)   END [tw: violence] on brûle autant qu'les corps qui douillent (aries // janvier) EmptyMer 4 Mar - 18:38



time for
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Je vous serai gré de ne pas tenter de me démonter, Miss Pressman.
« Ghe. »

Elle a finit par oublier à quel point ce satané robot était aussi rapide qu'efficace alors c'est vrai que cette arrivée surprise l'étonne un peu, et elle se sent toujours autant prise au piège quand il est dans les parages. Alors plus elle l'écoute et plus elle se calme, étrangement, la rage sauvage remplacée par ce qui s'apparenterait à une lassitude proche de l'absolu quant à son humour vraiment, vraiment trop nul -mélangée à un brin de méfiance, parce qu'il reste le clebs de Melchior Collins après tout, et du reste du trio également. Vraiment, c'est pas pour rien qu'elle ne l'aime pas la plupart du temps.

« ... T'es toujours aussi chiant. Tes maîtres t'ont pas apprit à être drôle ? Sérieux tu crains. Ha. Ha. Ha. finit-elle en imitant grossièrement son bourreau. »

Qu'est-ce qu'on risque à insulter un robot ?
Elle n'en a aucune idée.
Elle n'en a surtout rien à foutre.

Rex femelle arrive rapidement et s'occupe déjà d'Aries -qu'elle regrette fort de ne pas avoir pu achever et à laquelle elle jette un regard bien trop mauvais avant de reporter son attention sur Rex mâle qui avait reprit la parole. Ah, sa jambe. Elle avait finit par l'oublier avec tout ça.

« Quelle galanterie, tu t'proposes pour être mon prince charmant c'est un honneur -erk, fit-elle ensuite en imitant un vomissement. J'veux pas finir en légume alors fais toi plaiz mais eh, sérieux, va falloir innover dans les punitions parce que l'isolement c'est beaucoup trop cool. »

C'est une fois bien installée contre Rex qu'elle reprend.

« Une semaine sans voir les sales races c'est grave le pied ! Pourquoi j'suis punie si souvent à ton avis ? »

Pour rester au grenier peut-être.
Ou bien parce qu'à force elle a apprit à compter le temps pour dompter l'ennui, un minimum.

« Enfin là c'est quand même cette bouffonne qui m'a cherché tu sais. »

Dernier regard dédaigneux à l'infirmière avant qu'ils ne partent, elle sans un mot parce que son intervention aura vraiment tout gâché et même si tout au fond elle l'en remercie, elle a toujours cette sensation de ne pas s'être assez défoulée.

« Eh Rexou, ton casque c'est un vrai ? questionna-t-elle en toquant à son sommet comme une enfant. T'as une tête dessous quand même hein ? Non parce que grave flippant sinon. »

Le trajet jusqu'à l'hôpital promettait d'être long.
@Aries C. Amaro & @Guenièvre Bradwyr
je me suis sentie obligée de répondre une dernière fois à Rex, pardon jpp. mais du coup ce rp est terminé et vraiment merci à toutes pck j'ai kiffé ♥

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