Souffle froid.
Souffle court.
Alors que l’on avait attendu.
Alors que l’on avait éperdument besoin d’oxygène.
D’une semaine de vacance et d’alcool fort.
On avait choisi de laisser tout sortir plutôt que d’exploser.
Par choix.
Par bonne conscience.
Encore.
On écrivait nos journées selon eux.
Selon ce qu’ils feraient et où il finirait par aller.
Car il ne pouvait choisir les deux.
Cela lui était impossible alors que c’était tout ce qu’il avait de besoin.
De eux.
Ensemble.
Alors.
C’est encore fumant que l’on accueillit celui que tu avais contacté.
Car tu ne savais à qui parler d’autre.
Car tu savais qu’il viendrait tout de suite.
Parce que c’était lui.
Jae.
Un mec sure.
Une âme de confiance alors qu’il porte son bras sur ton épaule.
Et autant que ta tête était haute.
Que vous regard était soutenu.
Plus les secondes passaient.
Et plus tu sentais ce poid.
L’accumulation des derniers mois.
La lourde tâche.
La responsabilité que tu te donnais à les soutenir le plus possible.
Jusqu’au bout à jamais.
Jusqu’à ce qu’ils se daignent à faire un pas vers l’avant alors que tu leur poussais dans le dos.
Sans arrêt.
Sans pause.
Tu avais forcé jusqu’à t’en faire faire au main.
Et aujourd’hui.
Tu étais tombé au sol.
Et tu le compris bien vite alors que, tournant la tête.
Tu ne pu retenir un sanglot te fendre la gorge alors que tu alla caller ton visage dans l’épaule du plus vieux.
Et tu pleura tes prochaines paroles.
— ils veulent r i e n faire... j'ose même pu c-citer leur nom quand je les vois sé-séparément. j-je ne sais pu quoi f-faire.