Messages : 52 Classe : Université spécialité scientifique.
Sujet: azrael — [chuckles] conflict Sam 25 Avr - 3:13
Azrael Logan Tremblay
âge + dix-neuf ans origine + anglo-québecois classe + université spécialité scientifique orientation sexuelle + bisexuel
âge d'entrée à l'académie + onze ans opinion sur l'académie + relativement mauvaise, quoiqu'il ne s'y sent pas si mal, il reste foncièrement frustré de son manque de liberté.
silence +(spé, indéterminé) permet d'obliger une ou plusieurs personnes à se taire.
bulletin scolaire
maîtrise de l'alice
9/10
discipline
8/10
détermination
8/10
résultats scolaires
9/10
implication dans l'académie
8/10
C'est sous le couvert de rires acerbes et moqueurs, drapé de mensonges qu'il tisse comme une toile, qu'Azrael assassine avec douceur, dans une tendresse amère et hypocrite. Lâche et déloyal, il se sait faible et s'adapte pour gagner quand-même, apprend ses armes et poignarde dans le dos car bien conscient de ne pouvoir être victorieux s'il se battait comme un brave. Il laisse volontiers les valeurs chevalières aux fous et aux imbéciles, se targuera plus tard non pas d'avoir triomphé mais d'avoir survécu.
Azrael n'a rien d'un calculateur, il ne fomente aucun plan et se lance à corps perdu sous le coup de ses impulsions. Incapable de gérer sa frustration, il est comme un enfant qu'on aurait trop gâté et à qui il est devenu impossible de dire non. S'il n'obtient pas ce qu'il veut, il s'obstinera, rusera, mais jamais ne démordra. C'est par orgueil qu'il s'entêtera, juste pour pouvoir dire à la fin qu'il aura eu le dernier mot.
Les rancoeurs et les caprices sont muets et marqués sur le visage, les lèvres et les regards. Il n'y a rien à gagner à être honnête, si bien que tout passe toujours sous le silence. Les non-dits creusent insidieusement des malaises qu'il balaiera plus tard en disant "ne t'en fais pas, tout va bien entre nous" sans forcément y croire.
Azrael cherche son image dans le regard des autres. Il cherche à s'y trouver beau, à s'y trouver grand, à s'y trouver incroyable et tous ces adjectifs qui ne lui appartiennent pas, mais qu'on lui fait porter par attache, par affect inexpliqué. Il joue volontiers les jeux auxquels on se prête pour être aimé, et se plaît à côtoyer les euphories, prend la fuite dès que l'image se détériore, et ira chercher ailleurs l'approbation aveugle de ceux qui n'auraient pas encore recouvré la vue.
+ Blessure d'amour propre plus grande que le soleil. + Il est difficile de vraiment l'humilier car il a appris à rire pour se protéger de son propre orgueil. + Son rire est insupportable car il est suffisant. Même quand il rit sans se moquer. + On dirait pas comme ça mais lorsqu'il jure fidélité à quelqu'un ou quelque chose il est d'une loyauté impressionnante. + Du coup il jure pas souvent fidélité. Ou alors il ment.
1m79 + tignasse épaisse et en pagaille + cheveux bruns + yeux bruns + il court vite + ne sait absolument pas se battre
"Elle tremblait entre ses doigts."
" D'une beauté incomparable, elles étaient habillées tous les jours de sourires de joies et des couleurs du bonheur. Elles avaient dans les yeux des étoiles et dans le rire des clochettes, elles avaient dans les gestes la grâce et dans le cœur des miracles. Pourtant jamais, Maman, tu ne les as regardées comme tu me regardais moi.
Elles avaient la voix des anges et la courage des lionnes, elles avaient la force de rugir plus fort et de voler plus haut, les filles Tremblay avaient leur réputation dans le quartier, faisaient crever d'envie et de tendresse. Et moi, jamais Papa ne m'a regardé comme il les regardait elles. "
Il ne la regardait plus, il ne l'avait plus jamais regardée depuis qu'elle avait échangé sa robe de mariée contre un tablier. Camille Tremblay, jeune maman, avait espéré faire renaître les cendres de leur amour, avait porté des espoirs en leur aînée, une enfant splendide dont les rires enchantaient ses parents. Mais plutôt que de retomber amoureux de sa femme, Frederick Tremblay était tombé amoureux de ses filles, et Camille avait commencé à dépérir. Les jolies attentions et les fleurs avaient été échangées par de la purée infecte et fade une fois par semaine et des silences sordides dès qu'il lui adressait la parole. Frederick et Camille, tous les deux, avaient commencé à se sentir parasites l'un pour l'autre. L'un avait choisi de fermer les yeux, l'autre, après maintes et vaines tentatives, avait abandonné l'idée de sauver des tendresses et était partie en chercher ailleurs.
Il y avait une culpabilité malade ensevelie sous la frustration de Camille. Elle la portait en la justifiant qu'il ne lui avait pas laissé le choix, qu'elle était devenue la maîtresse des autres car son mari avait arrêté d'être son amant. D'un amant elle était tombée amoureuse, et de cet amant elle était tombée enceinte. Frederick Tremblay avait eu un fils dont les yeux et les traits ne ressemblaient pas au père dont il avait pris le nom ; un fils qui porta l'alice de celui qui avait creusé les fossés entre lui et sa femme ; il avait eu un fils mais le doute le rongea, et lorsqu'il vit Camille gorgée d'un nouveau bonheur, ce n'est plus de doute qu'il était rongé mais de haine.
" Lorsqu'on est enfant on n'imagine pas que les conflits qui s'abattent sur nous ne sont pas de notre ressort. On n'imagine pas un seul instant que la culpabilité qui nous incombe nous est injustement attribuée. Alors peut-être que le poids qui m'avait été déposé n'était pas le mien, mais tant pis ; c'était sans doute le prix à payer pour que tu m'aimes, pour que tu m'aimes plus que lui, pour que tu m'aimes en dépit de tout et de tous les autres. Alors crois-moi, Maman, ça m'est égal comment Papa me regardait ; ou ne me regardait pas. Tant que toi, tu ne voyais que moi. "
La scission était réelle, et le prince Azrael avait commencé à batailler insidieusement. Lentement, il avait éclipsé, par sa seule existence, toutes les lumières du père et des filles Tremblay. Il avait gagné tout le terrain en la maison qui devint maudite, il les avait mis sous silence, et ils n'avaient plus pu lutter. Qu'il croyait.
" Comment as-tu osé les laisser m'emmener ? Comment peux-tu encore te regarder dans le miroir ? M'aimais-tu vraiment, Maman ? Tu n'étais même pas là, tu m'as tourné le dos, tu m'as abandonné aux hommes en noir. Tu peux bien continuer à écrire tes lettres, qu'elles me noient. J'y répondrai, ne t'en fais pas. Je te ferai croire que je t'aime encore. Mais ma colère est grave et tu ne te relèveras pas de la lettre qui te dira que de mère je n'en ai plus, après toutes les années que tu passeras à m'idéaliser sans me voir. Tu regretteras le jour où tu ne te seras pas plus battue pour m'avoir.
Bisou, je t'aime. "
+ Né du fruit de l'adultère de sa mère, Azrael porte le nom d'un homme qui n'est pas son père. Il a trois demi-sœurs dont il se fout éperdument. + Sa mère n'a d'yeux que pour lui et il développe très rapidement un complexe d'Œdipe qu'elle entretient malgré elle. + Son "père" décide de le vendre à l'académie dès lors qu'il eut parvenu à convaincre sa femme que Azrael était toxique pour elle. + Il est toujours en contact avec sa mère qui lui écrit des lettres interminables et larmoyantes auxquelles il répond toujours de manière acerbe et controversée.
Tes personnages sont toujours aussi bouleversants à leur manière. Tout sonne juste. Je ne citerais que cette phrase qui m'a beaucoup parlé :
Citation :
Les non-dits creusent insidieusement des malaises qu'il balaiera plus tard en disant "ne t'en fais pas, tout va bien entre nous" sans forcément y croire.
J'attends l'histoire avec beaucoup d'impatience et j'ai hâte de te lire en rp sous Azrael. C'est de la bombe.
fiouh, cet fiche au aes juste magnifique comme toujours ce perso envoie tellement du lourd ** beaucoup trop hate d'en savoir plus !! (Evan Peters en irl j'adhère totalement )
je chiale c'est un enfoiré mais je lui porte déjà tout les qualificatif positif qu'il recherche trop trop hate de te voir jouer un enorme connard et j'aime trop trop cet alice
mdrrrrr j'ai vu Evan Peters et mes hormones se sont emballées. puis l'ALICE ossekour, il est giga stylé !!! j'ai pris une balayette en lisant le cara oof, stop faire des perso que j'aime trop et qui vont rouler sur les miens j'suis si faible et puis omg ta plume ??? toujours aussi belle aled il me tarde de lire l'histoire, et tkt je te pardonne pour la sous-race que tu nous envoie mon kokoro un peu moins cependant PLEIN D'AMOUR SUR TOI courage pour la suite et rebienvenue chez toi
Saada H. Radjah
✧ ALWAYS LEARNING ✧
Messages : 197 Age : 26 Classe : classe E (déléguée)
C'est vraiment très intéressant les "méchants" impulsifs qui sont plus dans l'action que la manipulation, et assez rare je trouve ! Azrael est délicieux d'imprévisibilité en plus et avec ses vibes de petit con je sens qu'on va trop aaaaaadorer le détester, j'ai franchement hâte qu'il mette un grand bazar à l'académie ohoh
j'aime vraiment trop comment ta plume s'adapte parfaitement à tous tes personnages à chaque fois tu trouves un ton très personnel adapté à chacun.e de tes ocs, ça les rend tellement tangible, c'est juste magique
et quel visuel de qualité et quel code splendide, comme toujours :eyes;
anyway !!! bienvenue à nouveau courage pour l'histoire !!
Merci à tous pour vos messages (autant ici que sur discord) je vous aime très fort et ma hype à jouer une petite pute lâche n'a jamais été si grande
Sio un jour je lui donnerai une qualité d'accord je la glisserai en scred dans son charadev pr toi
Alex jtm pleure pas ma love
Ava PTDRRR je chiale merci ma douce ça me touche + que tu ne crois
Crush Tu es si précieuse j'ai hâte de rp lui et toi ouin merci
Pandora oooof wow merci merci merci ++++
Côme merci t'es un coeur ça me motive trop ce genre de petits messages pfiou
Elior mon mari t tlmt une personne sûre en fait jtm
Sasha can't handle the balayette que tu me mets avec cet amour merci t'es un ange
Caenis je pourrais faire des personnages et des fiches à l'infini juste pour recevoir ton commentaire en-dessous à chaque fois tu es trop précieuse pour ce monde merci d'exister
Ezio ah là pour pas être monocompte je suis effectivement pas monocompte..... merci ma love
waaaw comme d'hab je suis sur le cul quand je lis tes fiches mais surtout genre DAMN IL ME FAIT PEUR CE CON je découvre avec joie et excitation ta manière d'écrire des badboyz et je suis subjuguée les lettres qu'il écrit à sa mère ptdr tu rigolais pas quand tu disais acerbe et tout il m'a glacé le sang et mise mal à l'aise (donc c'est réussi) REBIENVENUE CHEZ TOI JAIME TROP