And we would live again In the simplest of ways Living day after day Like some primal animals
Tout s’arrête. Tout se fige. Alors qu’il manque. Alors qu’il n’y a plus. Que le vide ou tu étais. Que le silence quand il y avait le bruit de ta respiration. Alors que l’on était 2. Voilà que l’on est 1. Seul. On manque. On recherche l’addition. On recherche la fraction. L’erreur dans le systeme. On trébuche à monter les marches vers la stabilité. La paix d’esprit. Alors que l’on sombre. Un peu plus. Un peu plus. Plus loin. Plus profond. Chaque jour.
Ou l’air nous manque.
Car tu es mon oxygène. Tu es ce qui me complète. Tu es ce qui me tien. Celui qui me fait rester. Alors que l’on tombe. On se prend le sol. En pleine tête. Et l’on y laisse notre mental. Qui lui sombre. Il se noie dans les bouteilles. Que l’on trouve par terre. Partout.
Autour de toi gravite. Ce qui t’avait fait passé tes journées. Sans contacte. Sans ouverture. Tu n’avais point quitter le grenier. Depuis que tu n’ai plus ici. Comme si tu t’attendais qu’il apparaissent. Caché dans les ombres. Dans les couvertures lorsque tu te couche le soir. Sans pour autant dormir. Tu te laisse bercer par l’imaginaire. Qui le désir plus fort que l’air dans tes poumons. Car tu sais que si tu sombre. Ton esprit s’amusera à te nourrir de cauchemars.
Car après tous ce qui était arrivé. Tous ce que tu lui avais jeté au visage. Ses derniers mois ayant été des plus instables. Alors que tu avais perdu ce lien par son geste. Tu avais arraché les fleurs d’une promesse de jardin. Par sa faute. Pas son geste.
Mais… Était-il partit car il t’en voulais? Était-il partit car tu avais brisé l’une de vos promesse? Avait-il décidé de te laisser seule après tous ce temps? Avait-il perdu confiance en toi? Oxana, sait-tu vraiment ce que ton frère pense de tous cela?
Non. Tu n’en sais rien. Et cela te rend folle. Morte de trouille. Car tu ne pouvais vivre sans lui. Il était ta fin tout comme ton monde.
Alors, était-ce la fin du monde?
Tu te chuchote. C’est quelques mots. Alors que tu prend une énième cigarette à ta bouche. C’était son paquet. Celui qu’il gardait. Qui avait son odeur. Mélancolie jusqu’au poumon. Jusqu’au sang. Alors que tu allume la dernière du paquet. Et en le réalisant. Les larmes te grimpe aux yeux. Mais tu te réalise pas ce qui te passe devant toi. Vision embrouillé. Brume de larme chaude. Qui te brûle les yeux de nouveaux. Beaucoup trop. Si l’on avait pas penser nécessaire de te dire qu’il avait été enlevé. Par le même sang que vous. Elle cru tout de même à une hallucination lorsqu’elle leva finalement le regard vers la grille.
Éternelle confidente. Pour tous les jours ou tu n’avais pas été là. Elle avait été l’oreille tendu de tes pleures. Mais le grincement du métal. En ce jour. Ne te laissa pas le temps de finir le bâton de nicotine à ton bec. Que tu n’accourt vers ce qui venait d’apparaître devant tes yeux.
— Занаду !!!!.
Tu avais crié. À en sortir tes poumons. En plein sanglot alors que ton bougea tout seul. Attiré par son centre. Par son complément. Aimant contre métal. Tu te fracasse contre lui alors que tu perd tes moyens. Et bien vite. Alors que tes bras sont autour de lui. Tu te laisse tombé au sol. Tous te rattrape alors que ton coeur recommence enfin à battre après tous ce temps. Et la fatigue t’achève alors que tu t’accroche à lui si fort.
Tu as peur qu’il disparaît si tu le lâche. Et, de nouveau, ce serait là fin du monde.
Sujet: Re: the end of the world | XAN Jeu 19 Mar - 23:24
Ma haine sur prémoniteur Du sang sur mes rêves prémonitoires Mon étoile m'a demandé : "Que veux-tu ?" J'ai répondu : "Je veux l'monde et toi"
une moitié de cœur une moitié d'âme rate un battement sur deux rate une seconde sur deux et le temps semble long infini à attendre à se dire c'est fini.
on n'avait jamais eu peur des cellules jamais craint les prisons, jamais redouté le froid qui ronge le peu qui reste sur les os ce sont des dents qu'on sent à peine à force de se frotter à tous les crocs, montrer les siens comme un animal acculé on a toujours été capable, de se battre et se débattre de lutter, filer des coups à tout ce qui approche trop près et puis vite retourner dans les ombres on n'avait jamais eu de terreur de les quitter car toujours on disait je reviens les voyages astraux reliés de fils d'argent font qu'on s'éloigne pas si ça fait se revoir demain vivre au jour le jour ensemble ou rien, c'est tous les jours aujourd'hui tous les jours toi et lui et le reste importe peu tant qu'on ouvre les yeux et que tu es là - c'est fini.
c'est fini c'est fini c'est infini de se dire c'est fini on n'imaginait pas comme ça la fin de nos voyages et ce terminus là réveille des effrois qu'on n'avait jamais ressenti pour de bon des jours passés à se dire que c'était le dernier aujourd'hui et qu'on allait le vivre loin de toi dans une cage qu'on ne partageait pas nos premiers souffles ensemble et les derniers seuls - dans le néant on compte un million d'heures passées à deux hurle désespéré à réclamer le milliard on n'a pas fini de tout partager on n'a pas fini d'écrire les histoires nous sur les pages on ne veut pas changer pour je on ne sait pas vivre pour soi alors autant crever si l'on ouvre les yeux et que tu n'es pas là - c'est fini.
rouvre les yeux et voit trop clair les soubresauts des véhicules filent des décharges électriques douloureuse dans tout le corps ecchymosé, malmené trimballé comme de la marchandise on s'était dit laissez-moi là avant de se souvenir qu'on avait quitté les ombres et qu'ils ramenaient à la lumière dorée des grilles au loin comme un mirage on s'y arrête et on a l'impression de rêver quitter les mauvais cauchemars tandis qu'enfin, elles se referment derrière lui la vie passée à fuir l'air étouffant des geôles on respire enfin une fois de retour dans celle-ci - c'est fini.
une moitié de cœur une moitié d'âme résonne de voir son reflet au loin les échos à l'identique appellent сестренка !! les jours passés amputé font chanceler le regard la voix l'être tout entier tient tout juste debout tend les bras avant la chute et tombe tombe tombe avec toi.
plus bas que terre fini de tomber à genoux au sol il a refermé les bras autour de toi et serre comme on ne s'est jamais tenu avant ça, le cœur et le temps qui repartent revivent enfin de dire le nom qui manquait à Xanadu c'est Oxana Oxana Oxana, souffle encore et encore pense enfin enfin enfin c'est fini все кончено- et la prise plus fort encore, on retrouve la vie, s'assure qu'elle est bien là tous les sens réveillés, les mèches anthracites qui dévalent son dos sur lesquelles il referme les doigts, la vision vient mourir au creux de son épaule et dans cette obscurité là il y trouve le seul oxygène qui compte, ton parfum et le goût salé des larmes que ça fait naître, et enfin ta voix - la sienne. я здесь сейчас ... все кончено.