Né Montgomery du nom du ministre des affaires étrangères britannique Arthur bambin aux cheveux mordorés né  un neuf juillet, devenu adolescent sur le fil de ses dix-sept ans. Il sait ses amours portés par les oeillades tendres des femmes sans les écouter avec précision, titube entre besoin de liberté et nécessité de stabilité, avant le passage obligatoire à l'université dans moins d'un an, sa réussite en classe F pour condition. Il considère l'académie Alice comme une pause inespérée, chemin de traverse vers le protocole et les obligations toutes tracées, et s'y épanoui depuis l'âge de neuf ans.

Now that the truth is just a rule that you can bend You crack the whip, shape-shift and trick, the past again  ❞ alice amnésie description capacité d'effacer un souvenir précis chez soi ou autrui type PSY forme indéterminée

Arthur est une tragédie - un amalgame de contradictions entre corps et âme. Une enfance choyée bercée entre obligations et souhaits comblés perpétuellement, devoirs et droits en équilibre fragile à s'effondrer au moindre écart de conduite - alors il est de ceux qui établissent les limites adulte sans jamais s'en écarter enfant, porté en idéal masculin sorti des contes de fées.

Et croire que le feu ne brûle pas sous sa constance serait crédule, faire fi d'une complexité ardemment réfréné pour le bien des convenances, désir de liberté en ligne de mire - Arthur se sait avenant et chaleureux, vient combler alors le manque d'affection cruellement chevillé au corps des plus grands de ce monde.

Il a le mot juste avec autrui, les lèvres étirées en sourire large et avide des autres, on le croit dénué de mauvaises intentions celles qui sont juste sous scellées par manque de droit à exister, lui à qui on a tout donner à la naissance. Sa détermination est juste et mesurée, jamais débordante mais belle et bien réelle, parfois elle déborde sous un flot d'arrogance éphémère.

Les apparences sont un jeu pour lequel il n'a pas la bonne main, les cartes manquantes il les cherche perpétuellement et si la quête est joviale il sait la fin cruelle : retour au point de départ. Les accès de colère sont rares mais intenses, souvent sans public, et laissent des marques sur les paumes de ses mains.

Ses angoisses le submergent quand il fait face à la solitude alors il la comble par une soif de l'univers dont les sources finissant indéniablement par se tarir.

Et les évasions prennent la forme de notes sonnées par une guitare, arabesques sur une toile soignée et secrète, les vers ne sont jamais bons et les mots ne viennent que rarement, alors Arthur s'en tient à l'abstrait, l'idéal, l'imaginaire sur un arrière-plan de poésie.

La stature qui rassure et les lippes confiantes, qui soutirent les confidences sous des tirades apaisantes et juvéniles - on lui donnerait l'absolution sans confession si seulement - ce combat secret contre les suppliques de son patronyme.

a horreur de la solitude donc n'est jamais réellement seul χ complexe de ne pas avoir une vie faite de tragédie et de se sentir creux malgré tout χ ne tire aucune fierté de ses origines aristocratiques χ ne saurait pas se débrouiller avec peu de moyens matériels χ âme d'artiste plutôt qu'intellectuel, malgré ses efforts pour rester les pieds sur terre χ très sportif, il a hésité longtemps entre le club de baseball, de volley ou de basket χ maladroit avec ses sentiments et leur expression χ quelqu'un d'affirmé mais qui laisse la place aux autres par nature sacrificielle χ voix grave mais ton relativement doux χ toujours une gueule d'enjoué, quitte à ce que ça tape sur le système χ n'est pas facilement méprisant mais ne revient pas en arrière dans ses relations χ avait tendance à parler avec un langage plutôt formel à son arrivée χ déteste utiliser son alice χ

enfant béni et premier de d'une fratrie de quatre enfants, celui destiné à reprendre les rênes d'une dynastie haut placé et conserver les honneurs distribués de générations par la famille Montgomery, Arthur n'a connu ni la misère ni les lendemains sans lumière, à craindre pour le futur et les moyens matériels - calqué sur le modèle des princes de contes de fées, on lui a appris la bienséance la politesses les us et coutumes propres à l'élite, sans que son avis soit questionné

il en a gardé encore aujourd'hui une incapacité chronique à faire des choix et marquer ses envies, malgré le désir qui gronde de s'affirmer et le besoin de s'émanciper. Il est conscient de la valeur de son nom, porté par la vieille aristocratie écossaise subsistant aujourd'hui dans différents coins d'Europe - et dont le patriarche de sa famille officie en tant que ministre des affaires étrangères du Royaume-Uni, dont l'épouse est affairée aux causes associatives et humanitaires, comme attendu.

Il tient de ses parents une apparente rigidité par nécessité de garder son contrôle et ne pas faire étalage de ses émois et sursauts de coeur - et sa mère si douce la plénitude de son âme et cette nature sacrificielle.

▬ est né dans la famille Montgomery à Londres, et grandi sans le soucis de l'avenir, déjà décidé à sa naissance en tant que premier fils : ce sera la politique étrangère.
▬ enfance douce et sucrée au cours de laquelle il a développé un goût artistique prononcé, pour la musique et la peinture associée au dessin. il est doué dans les matières les moins scientifiques, mais ne brille pas d'excellence pour les sciences naturelles.
▬ découverte de son alice passé l'âge de huit ans, après des oublis répétés chez ses soeurs et son frère de détails anodins mais précis, remarqués par sa mère - avoir assisté à un cours particulier de piano, avoir dîné avant le coucher, le nom du chien du jardinier.
▬ tombe amoureux durant sa dernière année de liberté d'une petite fille, Camilia, qu'il est obligée de quitter pour son départ à l'académie : sa première amourette de petit garçon en éveil des sentiments.
▬ entre à l'académie à l'âge de neuf ans, par accord entre son père et l'académie de laisser le temps de préparation et d'adaptation, et on lui explique la nécessité du passage pour faire de grandes choses par la suite.

 

La ref à Camilia dans la fiche j'étais archi pas prête damn
Vraiment j'avais trop hâte et je suis pas du tout déçue
Arthur c'est tellement mon mari de ouf ?? Je l'aime trop, j'en ai besoin d'un comme ça dans ma vie alors si tu veux bien le faire sortir de l'écran pour moi vrmnt...
Rebienvenue ma douce

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