C’était assez.
Il était temps.
Te disait-tu.
Te répéta-tu.
Alors que tu marchais sur le chemin menant au state.
It’s enough.
Encore et encore.
Pendant trop longtemps.
Ils avaient joués leur jeu.
Trop longtemps.
Ils avaient fait à leur tête alors que tu les avais observé.
Investigateur silencieux.
Tes yeux ne les ayant jamais quitté.
Et ce depuis le depuis de toute votre aventure.
Voilà.
Que dans ton tableau.
La pièce de théâtre se déroulant quotidiennement sous tes yeux.
Pour te divertir et te donner la joie qui remplissait tes tripes.
Il fallut qu’un évènement ne dérange votre équilibre.
Et chacun se mit à désirer.

Pour telle chose.
Pour telle action.
Alors que tu étais pris entre les deux.
S’efforçant de tes soutenir chacun de leur bord.
Leur désire te criant désespérément dans ton crane.
Dans tes entrailles.
On avait charcuté ta tête en te faisant jouer le pignon voyageur.
À essayer d’avoir l’attention de l’autre par tes gestes.

Et bien.
Assez c’est assez.
Si leurs états restaient le même.
Toi.
Petit Blossom
Tu commençais à perdre la tête avec leur histoire.
Alors, sans leur dire pourquoi.
Tu leur avais envoyé chacun un texto en cette fin de journée de la classe.
Et vous aviez rendez vous dans les estrades du grand stade.

Un grand endroit pour de grande occasion.
Aujourd’hui, il allait les faire cessé.

Et si ses paroles n’ont pas l’effet désiré.
Il n’hésitera pas à leur cogner du sens dans la cervelle.

En avait-il marre, vous demandez?
À vous de voir.
Mais je dirais que oui.

c'est qu'à réapprendre à marcher après la vie à dériver on s'était rendu dépendant comme un titubant à ses béquilles - dépendant des deux garçons Blossom et Percy - et Caprice a deux mains, s'était dit que tout irait bien car il en avait une pour chacun d'eux.

cheville foulée cœur crevé
leste la prise et fait trébucher
Caprice qui réalise l'équilibre fragile d'un microcosmos qu'on n'avait même pas vu naître il ne s'était jamais rendu compte qu'on avait désappris à avancer sans vous -
réserves d'oxygène
l'hydrogène essentiel aux lueurs de ses ciels
et depuis la nuit où leurs constellations vacillent
c'est immensément vide.

c'est de sa faute il aime mal
il aime grand il aime
universellement il aime
à l'infini - tisse les liens
de vous à lui
supplie à genoux poignets tendus
de lier plus fort les fils d'argent
de peur qu'on s'éloigne
emprisonne(z moi)
au cœur de nous
toujours il revient
aujourd'hui encore
forcément - il a juré
ne vit que pour les promesses
(même si les notres tremblent ces derniers temps).

et c'est sans se douter de l'effondrement imminent que Caprice foule finalement les pistes du grand stade - entre dans l'arène
(Blossom toi aussi tu chancèle ?) on sait
que tu écopes des chaos, après tout
on partage tout pas vrai ?
la musique des sphères désaccordée
évidemment que tu l'entends de là où tu es
(lui et toi et moi gravitons si près que la moindre aberration prend des proportions terrifiantes)
mais Caprice songe qu'aujourd'hui encore
on s'aimera quand même (même
si ça blesse).

c'est un drôle de lieu de rendez-vous Blow - si c'est pour qu'on fasse la course je suis pas très chaud.

lancé en contrebas tandis qu'on a levé les regards et un semblant de sourire vers toi, ébloui des lumières décroissantes de fin d'après-midi Caprice a les doigts en visière au dessus des yeux pour mieux te voir, et puis
il entame l'ascension,
grimpe les marches des gradins
pour t'atteindre finalement, s'arrête sage à ta hauteur sans s'asseoir tout de suite - le cœur déjà à cent à l'heure
tressaille de battements chaotiques
(aujourd'hui encore).

Pris entre deux front.
Pris entre deux puissance.
Deux être qu’il voyait comme les plus fort de tous.
Leur présence se voulant incendiaire dans ton ensemble.
Si cela n’avait été que de lui, il aurait déjà jouer son rôle.
De d’avoir arrangé les choses bien avant.
Sachant que trop bien ce que les deux désires le plus au monde.
Mais il avait cru bon de leur donner du temps.
Des minutes.
Des heures.
Des jours.
Le compte était devenu bien plus haut.
Alors que l’on n’avait plus de patience.
Que l’on touchait le fond.
De ton immence facilité à patienté.

Il était trop tard.

Et tu leva les yeux vers le visage du premier arrivé lorsque sa voix se fit entendre.
Distinctive.
Bien à lui.
Ne pouvait se retenir.
Il lui adressa un mince sourire qui se voulait sérieux.
Mais il était toujours content lorsqu’il le voyait.
Dans un détour de couloir.
Ou face à lui comme maintenant.
Ne sachant ce qui criait dans le fond de ton esprit.
Et que tous se mettait en oeuvre comme tu l’avais désiré.

Riant un coup.
Ses paroles lui faisant réalisé l’ironie de l’endroit
Loin de là était ta passion pour le sport.
Alors tu haussa les épaules.

— aucune crainte je ne vous donnerais pas le plaisir de vous foutre de ma gueule en me voyant courir comme un vieux


Tu avais mis l’emphase sur le vous.
Tu avais fais exprès.
Il avait peut être finalement compris le pourquoi de son texto.
Mais celui a qui tu avais envoyé le deuxième fit son apparition.
Son regard plongant.
Ayant maintenant les deux proies à sa merci.
Tu te redressa.

N’attendant point d’avoir d’autre parole d’eux.
Voilà que tu fini par descendre les quelques marches menant jusqu’au plus grand des trois.
Et tu lui saisi la chemise avec toute l’impatience qui te rongeait.

— bon les enfants. j'en ai vraiment marre de vos jeux d'gosse de quatre ans alors, aujourd'hui et maintenant, vous allez vous parlez aussi non je prend l'un pour cogné sur l'autre. avait-il jeté en tirant le géant pour qu'il monte jusqu'à Caprice.

alors on fera pas la course aujourd'hui pas de risque de mordre la ligne tu dis, Blossom - tu as dis que tu ne nous ferais pas ce plaisir mais il n'y a que toi et moi, ça fait nous deux.

Blow tu vois double ou quoi ?

et nous trois je sais pas, je suis pas sûr que ça aie fait le chemin jusqu'ici, tu sais bien qu'on s'est blessé, que ça rampe depuis quelques temps
quelques semaines, ça paraît long
j'ai l'impression que ça fait des mois
qu'on l'attend - qu'on a attendu
d'entendre sa voix.

Perceval, parle presque tout bas, demande si ça va, c'est routinier au possible mais on a tellement perdu cette habitude que j'ai l'impression que c'est la première fois qu'on se pose la question sans trop de cynisme. piège - la réponse au bord des lèvres. ça...

... ça va.

ni bien ni mal, et depuis que tu es là Percy
j'hésite entre mieux ou pire.

et Blossom, menteur, tu affirmes qu'on n'allait pas courir, au creux de la cage des os le cœur tape déjà un sprint tandis que tu fais avancer Percy, il monte les marches pour se placer sur la ligne de départ. à vos marques. j'ai pas la tenue, j'ai pas l'armure, ça fait des jours qu'on est à vif et à la moindre pique c'est sûr - ça saigne.
parlez-vous.

j-je-..

aujourd'hui et maintenant, la gorge nouée. et d'hier, on en parle ? du sarcasme incendiaire et des regards glacials. les moqueries, qui sentent le jus d'orange. aujourd'hui la chemise est blanche, mais celle qu'on portait le jour où Percy admirait la mascarade au milieu du self. je l'ai encore, et les taches ne partent plus.
alors les airs sont interdits tout à coup,

.. je vois pas de quoi on pourrait parler.

et les œillades prennent la fuite.

— je n’ai pas de compte à vous rendre moi. débrouillez-vous bordel.

Tu avais dis.
Tu avais jeté.
Dans cette situation qui semblait des plus tendus.
Alors que l’on faisait enfin face.
Alors que l’on croisait de nouveau les regards l’instant de quelques secondes.
Chose qui n’avait point été le cas depuis un moment.
Depuis ce mois de janvier qui n’avait point fait que souligner le début d’une nouvelle année.
Année qu’il avait déjà bien hâte qui se termine vu la longueur de la situation dans laquelle tu baignais.
Dans laquelle vous étiez.
Et avec du recule.
Tu ne fais que réalisé qu’ils étaient tous borné.
Même énergie.
Même détachement volontaire alors que leur tripes criaient le manque flagrant.

Parce que oui.
Malgré le fait que tu n’avais pas envis de faire le sale boulot à leur place.
Du moment que le plus grand parla de son alice.
Celui-ci s’était activé.
Par désire aveugle.
On fait tous pour ceux que l’on aime.

Alors on avait tendu l’oreille et entendu les battements des coeurs.

Ceux qui cogne.
Ceux qui frappe et donne un contre coup aux paroles que l’on entend.
Qui fait un saut lorsque l’on se mentionne.
L’instant d’un sujet.
Où l’on abordait les noms de êtres manquant.
On chuchotte que l’on manque le contacte.
On chante que l’on à faim de l’autre.
On hurle que l’on veut suivre ses pas.
Jusqu’au bout du chemin qu’était la vie.

Et toute cette émotion.
Cette vague qui s’écrasa à ton visage.
Fit perler quelques larmes sur le bord de tes yeux.
Que tu fais rapidement fuir avec le revers de ta manche.

— vous ne voyez pas vous, que tous ce qu'on est, tous ce que nous somme, c'est parce qu'on est ensemble. que peut importe ce qui est arrivé avant, que ce qui nous a fait plus fort, c'est le nous et pas le soi-même. bordel vous deux-là. je suis à deux doigts de vous foutre la si vous arrivez pas vous lire comme je vous lis. vos égo de merde là. est-ce qu'il faut que je vous fasse un dessin pour que vous comprenez que vous avez le droit d'aimer qui vous voulez ? oui percy. caprice avait tout à fait le droit d'aimer céleste. oui je sais ce que céleste à fait, mais tu te rend compte que tu as juste agis en parfait imbécile en le frustant comme ca ? et toi, caprice, de te buter comme ca alors qu'il avait juste besoin de comprendre. mais non putain. ca ferme les yeux. ca veut ignorer la vérité et ensuite ca pense, je vais rien dire puis laisser mourir alors que ce n'est point ce que vous voulez. allez putain, si vous dite rien d'intelligent maintenant, je vous frappe tous les deux.


Et de ce fait, tu fis craqué tes doigts alors que les larmes remontaient.

les accusations, elles sont toujours à mon nom, Percy. même quand le sort m'échappe je songe que c'est moi l'unique responsable, après tout, j'aurais dû refermer les doigts plus fort. alors quand tu prédis des condamnations où tu serais l'accusé, comme si j'allais prononcer Perceval rien que pour t'appeler à la barre, excuse-moi si le regard qui te revient est un peu incendiaire.

et tu demandes à Blossom de dire tout haut ce qu'on pense tout bas. ce que je pense de vous, tu as oublié, Percy ? il faut que je te le rappelle ? je peux le répéter si tu veux, à l'infini même. aujourd'hui, tu me croiras ? je crains tes haussements d'épaules acerbes si je me risque à redire que je vous aime -
et si je le crie
et si je le hurle
et si je le chante
vu que les murmures, tu n'entends plus
Blossom a révélé tous les mots,
et là, tu entends ?

parce que j'entends tout, tellement assourdissant. saignés à vif - Percy, pourquoi du venin tous ces jours si c'est l'amour qui coule dans les veines ? ça me tue qu'on aie empoisonné Blossom avec - on voit les détails infimes et tristes qui perlent à ses paupières.
et tout ce temps perdu, oh -
j'en veux à toi, à moi, à nous,
alors c'est désespéré qu'on sort tout le mal

je ne te l'ai pas dit, tout ça, Percy ? ne me dis pas que c'est la première fois que tu entends ces répliques-là, parce que je ne te croirai pas ! je te rafraichis la mémoire si tu veux - je te donne les heures et les lieux même !

les images nettes, toute une collection dans la tête. de nuit sous les origami, de jour à l'euthymie. il y a aussi la fois où l'on était tout les trois, et puis, celle où tu as lu mes messages et où l'on était juste toi et moi. jamais je m'en vais. toujours je suis là.
aujourd'hui encore je suis là
et pas ailleurs.

je voulais pas te blesser. si ça te blesse j'arrête, j'arrête tout. tout le reste, je laisse tomber.

ce qu'on a osé offrir aux autres, sans rien te dérober pourtant, je reprends, j'arrache des mains pour offrir aux tiennes.
j'ai déjà commencé à rassembler les lambeaux.

je le vois plus, Céleste.

disparu, invisible de nouveau. si ce n'est pas ça, si c'est l'étoile filante des NOVA, on peut la découdre et la jeter au loin. et mon téléphone - ça t'avait plu, de l'avoir dans les paumes, pas vrai ? - prend-le, je te le donne un peu brusque.

vas-y, vérifie ! vu que quand c'est moi qui parle, ça ne vaut pas grand chose. efface, même ! les messages qui te déplaisent, les gens qui t'insupportent. je m'en fiche.

j'en ai plus rien à foutre.

si vous ne les aimez pas alors moi non plus.

Quelques choses d’intelligent.
Qu’il avait dit.
Des paroles concrète.
Remplit de sens logique.
Au comment du pourquoi.
En faveur du désacord.
Un pas vers la bonne direction.

Mais n o n.

Il fallait qu’ils en rajoutent.
Il fallait qu’on pense encore à soi.
Que l’on joue la victime dans une histoire qui se jouait à plusieurs.
Pas juste toi.
Pas juste moi.
Et pas toi non plus.
Mais un tout.
Un ensemble que l’on a échappé et qui a éclaté en plusieurs morceaux.
Que tu avais essayé de recoller.
Petit à petit.
Tu avais fais trop chemin à suivre les fragement de porcelaine.
Te coupant parfois en les ramassant.
Te demandait parfois si tu perdrais ton temps.
Si tu te faisais mal à vouloir raisonner les aveugle de l’orgeuil.
Mais tu avais tenu bon.
Tu n’avais pas fermé les yeux devant l’image de leur dos.
Qui s’éloignait de plus en plus l’un de l’autre.
Et aujourd’hui.
Tu avais réussi à leur faire faire volteface.

Alors sans avertissement.
Ils en avaient franchement pas besoin et ne le méritait pas.
Tu t’avanca rapidement vers eux.
Main ouverte.
Tu saisi le téléphone qui avait été tendu avant de balancer d’un pied qui alla frapper le tibia du plus grand avant qu’il ne se retourne.
Son regard vide, il fit ensuite quelques pas vers l’avant pour venir donner une bonne claque derrière la tête du plus petit.

Il avait atteint sa limite.
Et ils l’allaient manger.

Ce n’était que le début.

— si j'entend ne serais-ce qu'une autre absurdité venant de l'un de vous, je vous jure sur la tête de ma mère, je vous étrangle. dit-il alors qu'il glissa le téléphone dans la poche de sa veste. Il rêvait s'il pensait le ravoir pour l'instant.

oui un million, un milliard de fois même Percy je prononcerai oui aveuglement et sans regrets, parce que je veux croire que je te connais. par cœur et sur le bout des doigts, au point de te confier mes affaires et de te dire efface car je sais que tu veux toujours faire ce qu'il y a de mieux pour nous, même si ça fait mal parfois. la confiance les yeux fermés, elle ne s'inquiète pas de tes choix, persuadée que la famille et les inestimables tu les laisseras intacts. c'est ça que j'essaye de te montrer !

mais non Percy tu comprends rien !

j'ai dis je vous aime j'ai dis restez quel qu'en soit le prix et peut-être trop impatient de balayer nos cendres furieuses j'ai ravivé des braises mourantes - on se brûle encore un peu.

à en oublier la portée des incendies - ils ont atteint Blossom. balaie les départs de feu, Blossom, en confisquant le téléphone d'abord, en réduisant les fiertés de chacun en cendres ensuite. file un coup de pied à Percy, et je tressaille en te voyant approcher, ferme fort les paupières d'avance avant de sentir ta paume claquer à l'arrière du crâne comme pour remettre les idées en place. les doigts passent où tu as frappé, on ose à peine rouvrir les yeux.

... pardon.

fois un million, fois un milliard. murmuré à l'unité,
provoque l'envie de répéter encore et encore.

pardon, pardon, désolé...

que tout ça s'arrête, qu'on arrête de tirer sur les fils qui nous relient, ils sont noués autour des cœurs, j'ai trop peur que ça les arrache. et toutes les semaines passées avec le grand vide derrière les côtes - j'ai laissé le mien sur vos tables de nuit - j'aimerais que ça cesse. et les mots comme des flots trop longtemps retenus, trébuchant la voix qui flanche, ça déferle.comme ça, simplement qu'avant d'être un peu bousculé, on n'osait plus.

On avait tendu l’oreille.
On avait mis toute notre attention.
Sur ce qui allait suivre.
Ce qui allait arriver.
Et ce dire.
Alors que l’on avait très bien fait comprendre.
Qu’il était temps.
Qu’il sufissait.
Qu’il n’y avait plus de retour vers l’arrière de possible.
On avait maintenant l’oeil critique sur les deux imbéciles que tu aimais plus que tous.
Plus que ton propre bien.
Plus que ton manque de patience qui s’était ammoindrit de plus en plus.
Malgré le fait que l'on t'avait tendu une oreille soucieuse de tes saute d'humeur.
De pire en pire.
Au fil des semaines où tu les avais vu être aussi distant.
Aussi brisé.
T’obligeant à choisir entre eux.
Eux et pas deux.
Eux, mais pas ensemble.
Eux sans vous.
Vous qui n’aviez pas été très coopératif jusqu’à maintenant.

Surprise.
S’étant mindset sur le fait qu’il allait falloir que tu les secoue de nouveau.
Pensant à sa prochaine action en se craquant les doigts.
Juste pour mettre un peu plus de pression.
Tu fus bien soulager en écoutant leur parole.
Et tu laissa un long soupire de sortir des tripes lorsque les paroles firent finalment leur chemin.

Enfin.
Bordel de merde.
La chose pour laquelle il avait rêvé tous le long du dernier mois venait finalement d’arriver.
Et il ne pu retenir un cri lorsqu’il fut emprisonner par les bras du plus grand.
Appuyer contre eux.
La bouche grande ouverte.
Tu laissa tout ce que tu avais dû garder dans le fond de tes trippes sortirent.
Et tu laissa ta tête tomber vers l’arrière lorsque tu fus finalement satisfait.

— il vous en a fallut du temps 젠장 !!! je vous déteste tellement fort vous deux, j'en en marre. est-ce qu'on peut finalement être nous sans que j'ai à devoir vous materné ? parce que la, je quitte la profession. babysitting, c'pas pour moi. avait-il dit avant de joindre un rire cynique. — ... mais vous n'avez pas besoin de rien faire pour moi. je suis juste content que ca soit finalement fini.