It was that time of the year.
Où le temps se refroidi.
Où le vent se fait plus présent.
Et que l'odeur du froid, aussi glacial pouvait-il être.
Vous ramenait chez vous.
Dans votre ville qui était le début de tout.
Et la fin.
Brusque, abrupte.
Si l'on vous avait arraché à la Sibérie.
L'hiver qui vous accueillait maintenant, vous semblait des plus banales.
Une énorme plaisanterie, voilà ce que vous en pensiez alors que votre fenêtre dans le grenier était à demi ouverte.
Une brise venait jusqu'à vous.
Frottant vos pied et le bord de votre couverture.
Vous étiez trop occupé pour vous souciez de la température descendante alors que le ciel commençait son spectacle.
Si les étoiles vous observait de leur défilement et leur présente soutenu.
Voilà que d'autre étoile filante vous couvrait alors que, perdu dans de nombreux rire.
Vous aviez le sourire jusqu'aux oreilles.
Debout devant leur tas de couverture.
Tu faisais face à ton frère étendu sur le lit.
Et de tes mains.
Tu jetant votre butin sur lui.
L'un
à
la
fois.

Si les gens prient pour les étoiles.
Vous aviez votre propre galaxie en cette soirée filante.

It's raining green.
L'odeur du papier.
L'odeur des futurs achats.
De ceux qui seront enfin legit.
Et non dérobé comme toute les fois d'avant.
Et celle d'avant celle d'avant.
Et ainsi de suite.
On se croit roi.
On se dit reine.
On est président de notre univers.
Alors que l'on a ce qui nous avait toujours manquer.
L'opportunité.
Une porte qui s'ouvre sur ce qui n'avait jamais été utile avant.
Mais qui offre un éventail de bonus.
À notre vie de dépravé.

On peut pointé du doigt et recevoir.
On peut lever la voix et avoir.
Tenir et avoir.
Sans avoir à courir.
À effacer.

On n'a plus besoin de se tordre et risqué notre peau.
Et ceci, pour elle, c'était le plus beau des cadeaux.
Leur vie de riche dans les motels lui manquait tous les jours.
Alors, lorsqu'elle eut finit de faire pleuvoir leur richesse sur son frère.
Elle vint s’asseoir à côté de lui et commença à réfléchir au passé.

— tu peux me slap quand tu veux. j'arrive pas à croire encore qu'on a enfin du blé. tu sais, j'ai presque envie qu'on aille simplement dormir dans un motel, mais une bouteille de vodka serait le rêve ultime. la plus grosse que l'on peut trouver.