On connaissait le chemin par coeur.
On savait les détours.
On suivait la même route.
Qui nous avait toujours mener à l’un ou aux deux.
À lui
ou à eux.
Seul ou ensemble.
Mais toujours heureux.
Peut importe la situation.
Peut importe l’occasion.
C’était une destination sûre de joie et de rire.
Et d’être deux plus distinctif.
Alors on ne prit pas longtemps avant de se retrouver en terrain connu.
Dans cette pièce qui renfermait beaucoup plus de souvenir que l’on pourrait le croire.
Beaucoup de moment.
Un nombre incalculable de petit papillon au ventre.
On trouve ainsi ironique et très plaisant que l’on ne perdait pas cette endroit.
Et ce fut alors la plus grande délicatesse que tu avais fais ton chemin dans la chambre qui appartenait à l’un de vous.
Vous étant ce qui me tenait le plus au coeur.
Et c’est au coeur que l’on se fait leger lorsque l’on remarque les étoiles toujours distinctive.
Cela te fait sourire.
Cela te rappel toujours que tu revenais chez toi içi.
Welcome home, qu’on te chuchottait alors que l’on quitte les astres du regard pour venir se posé sur toi.
Décollage entre les astres.
On fait notre chemin jusqu’au soleil béant de la pièce.
Mais on n’ose pas te réveillé.
Ainsi assoupit.
Dormant plaisiblement.
Tu ne le sais pas que je n’avais pas attendu bien longtemps avant d’avoir fait le trajet jusqu’ici.
Et que l’on te trouve ainsi.
On devienne bien vite que tu avais pris ta douche en voyant tes cheveux humindes.
Et tu n’attend pas plus temps avant que tu ne te glisse sous la couette avec le géant du trio.
D’abord surpris d’avoir de la peau sous les mains.
Ne l’étant plus après quelques secondes.
Sachant très bien à qui il avait affaire.
Tu te dévêtis doucement toi-même de ton top avant de venir te lover contre lui et lui voler une mains libre.
J’espère que tu n’en aura pas de besoin Percy, parce que cette main était mienne maintenant.
Et elle le resta après que tu ne sois sortis du sommeil et que ta voix était venu se porter jusqu’à mes oreilles.
— j'avais presque peur qu'on m'avait jeter du club des bébé à chouchoutter. j'étais sur le point que faire une plainte, mais j'avais tord faut croire.
répondit-il avec un ton faussement buté.
— et non. galène a déjà bien assez pour son cas et c'est juste un bleu. il va finir par partir, c'est tout.