PROFESSEUR DE SCIENCES POLITIQUES
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| Sujet: for my dearly loved ghost - rasserand Sam 14 Mar - 13:01 | |
| | Prénom Lothaire, Kevin (il n'assume absolument pas ce deuxième prénom) Nom Rasserand Âge trente-huit ans Origine français, américain Poste occupé Professeur de Science Politique, spécialisé en relations internationales Depuis deux ans Orientation sexuelle hétéropathétique
Âge d'entrée à l'Académie (enfant) douze ans Opinion sur l'Académie refuge indéniable, il lui a craché dessus longtemps, et y est revenu comme un animal blessé Alice dissimulation Description Capacité d'effacer sa présence, se fondre dans le décor - détails:
(++ Il ne devient pas invisible, ni intangible, c’est plus subtil ; il se fond dans la masse, on est obligé de l’appeler plusieurs fois pour le remarquer, il est impossible de le suivre dès qu’il y a un peu de monde, il faut bien chercher sur une photo pour le trouver, on l’entend pas à table, on fait pas attention à lui ; il peut vous surprendre au détour d’un couloir, parce que vous ne l’aviez pas vu,…) Groupe spé Forme de l'alice diffuse | OC - ctckave feat Johnny Depp | Skills | Implication dans la vie de l'Académie | 1/10 | |
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| Always have an escape plan Il ne sourit pas beaucoup. Ni ne pleure, rit souvent. Il est de ceux qui se contrôlent. En permanence. Garder pour soit, prendre sur soit, ne pas laisser transparaître des émotions débordantes. C’est vieux jeu, austère. Il se sait austère. Dans ses costumes élimés, qui tombent mal sur ses épaules droites ou presque. Il sait que ses traits stoïques, fatigués par le temps, parfois à moitié couverts par quelques mèches de cheveux, sont austères. Il a souvent une cigarette allumée, ou pas, pendue à ses lèvres. Il a développé l’incroyable capacité de pouvoir s’exprimer clairement avec une clope au bec. Il vous dira souvent d’articuler quand vous parlez. De lever la tête, le regarder droit dans les yeux et de recommencer. De faire attention à la manière dont vous vous tenez. Comment voulez vous qu’on vous prenne au sérieux sinon ? Oh, il n’est pas du genre à ménager son interlocuteur. Surtout quand il s’agit d’un élève. Il se rassure toujours, en se disant que dans quelques années, on le remerciera ; si on ne l’a pas oublié. Pourtant, il sait mettre les formes quand il parle. Il retire la cigarette de sa bouche et l’écrase distraitement, incline légèrement sa tête et ne comprime pas ses mains entre elles. Il sait très bien demander, orienter, faire comprendre, inciter, rallier à sa cause. Il manie les mots avec rigueur, tourne ses phrases adroitement, vous fait boire de ses paroles rassurantes. Ce fut un travail de longue haleine pourtant. Enfant effacé, maltraité, adolescent plein de malaise et de mal être, en mal de reconnaissance, jeune adulte paumé, pris dans des spirales infernales ; l’homme navigue, reprend la barre, le contrôle. Il a appris, au fil des années, toutes ces choses qui l’ont fait lui. Il est devenu rigoureux. Exigeant. Il a pris goût au risque. Il a finit par aimer cet alice qu’il croyait maudit ; et qui lui a permis de faire ce qu’il a le plus aimé dans sa vie. Suivre, infiltrer, démanteler, et recommencer. Savoir ce que la plupart du monde ne sait pas, flirter avec des situations dangereuses, obtenir des informations qui lui offrent ensuite un statut privilégié ; un pouvoir sur d’autres. Il s’est senti animal, prédateur qui chasse le ventre couché sur l’herbe, approchant sa proie sans bruit. Il s’est cru puissant, insaisissable, indispensable. Ça l’a exalté, comme une drogue. Comme toutes ces addictions qu’il a développé, en même temps. Comme tout les autres, qui l’entouraient. Les autres animaux, les prédateurs qui se croient au milieu de proie. Il a finit par sentir la fragilité de cet équilibre. Il a pris peur, à un moment où il n’aurait pas du. Il s’est fait submerger, sans même s’en rendre compte.
Alors il a fuit, sans bruits, sans heurts. Il a laissé l’instinct de peur envelopper l’adrénaline qui carburait au risque. Il était pas beau à voir, l’animal blessé. Au fond, il l’est toujours un peu.
En bref arrogant ;; buté ;; patient ;; observateur ;; paranoïaque ;; un peu manipulateur ;; cultivé ;; stressant ;; provocateur sur les bords ;; relativement professionnel ;; fuyant ;; irresponsable chronique ;, instinctif ;; cultive son propre mystère ;;
| les choses qu'on veut pas forcément savoir On le surnomme souvent « le fantôme, fantomas » ;; ses exs l’élisent à l’unanimité « plus grand ghosteur que l’humanité ait porté » ;; On dit qu’il a travaillé pour la mafia ; et que s’il est à l’académie, c’est pour se cacher de ceux qui veulent se venger ;; il porte que des costards de super marques ;; mais comme il est pas très soigneux, on dirait pas ;; sa chambre à l’académie & son appart sont dans un tel bordel qu’on pourrait croire qu’il vient de se faire cambrioler ;; il a toujours un bouquin dans les mains ;; il lui arrive même de corriger les manuscrits que des amis/élèves lui donnent ;; il est très cultivé, et harcèle presque ses élèves pour qu’ils développent cette fibre ;; il aime pousser ses élèves dans leurs retranchements & logiques de réflexions ;; et se fiche accessoirement de les faire pleurer ou les mettre en colère ;; il reçoit souvent des élèves ou des profs dans son bureau pour y jouer aux échecs ;; une rumeur dit que si un élève le bat aux échecs, il peut obtenir un traitement de faveur ;; il clope à mort ;; sa coupe ne ressemble à rien, et quand il s’attache les cheveux, c’est pire ;; il a déjà défié ses élèves de le retrouver dans l’académie en un temps compté pour obtenir une bonne note ;; il est déjà arrivé en classe en « drag » (comprendre avec une perruque, du make up mal fait, robe et talons) dans le plus grand des sérieux, parce qu’il aime être déstabilisant ;; il ne fait aucune confiance en la technologie ;; il utilise son alice quand on le prend en photo ;; il n’a pas de téléphone portable ;; il écrit tout sur une vieille machine ;; en début de cours, il récupère tout les téléphones de ses élèves pour les mettre dans une autre pièce ;; il fuit un peu ses collègues
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we're not who we used to be Il s'éclaircit la gorge ; « Mesdames et Messieurs, asseyez vous. Bienvenue dans mon cours. » il fait face à l’assemblée, qu’il dévisageait rapidement. Il aurait tout le loisir d’apprendre à les connaître. « Avant de commencer avec vous cette année, je tiens à me présenter. Je m’appelle Lothaire Rasserand, et je remplace M. Läckberg, qui peut enfin prendre une retraite bien méritée. » Il marque une pause, subtile, pour jeter un coup d’oeil au siège derrière le bureau. Il n’a pas encore osé s’assoir dedans. « J’ose espérer que mes cours vous apporterons les informations que vous espérerez y trouver. Je me permets également d’espérer sincèrement que nous construirons ensemble votre avenir. » Il inspire, doucement, et promène son regard sur l’assemblée, encore une fois. « Ou plutôt, et sans aucune prétention, que je contribuerais à la construction de vos brillants avenirs. » C’est mieux comme ça.
Encore une fois, il regarde le siège qui l’attend. Et il se rappelle, quand lui était de l’autre côté, simple élève, piètre gamin paumé. « Bien. Je vais dès à présent vous faire passer une série de documents, que vous êtes priés de regarder avec attention. » Il s’avance, un peu, et dépose sur la table du premier rang une pile de feuilles. « Le dossier contient donc… » Il s’éclaircit encore une fois la gorge « Une bibliographie indicative ; comprenez par là, les bouquins à lire absolument si vous osez espérer atteindre la moyenne à l’examen… » il sait qu’à cet instant précis, son public est pendu à ses lèvres « … ou tout simplement réussir à suivre mon cours. » Une fraction de seconde durant, il esquissait un petit sourire narquois. « D’ailleurs cette bibliographie n’est là que pour vous permettre d’acquérir les bases. Votre culture générale, à vous de la travailler personnellement. » Un mouvement attirait alors soudainement son attention. « Vous là, au deuxième rang ? Ha, vous avez un téléphone portable dans la main. J’ai oublié de soulever ce point en début de cours, veuillez m’excuser. » Il s’appuie des deux mains sur son bureau, sourcils froncés, « La technologie peut être un fardeau pour l’humanité. Et ces engins du diable sont formellement interdits dans mon cours. » un murmure désapprobateur parcours la salle « vous êtes donc collectivement invités, à chaque début de cours, à éteindre vos téléphones portables et venir les déposer dans la boîte juste ici. » Il pointe du doigt la fameuse boîte, en inclinant la tête, un faux air désolé sur le visage. « Bien. Le dossier. Vous trouverez également une série de concepts à connaître par coeur, encore une fois ce ne sont que des rudiments de la matière. » Il feuillette rapidement l’exemplaire qu’il a conservé sur son bureau, pour vérifier qu’il n’ait rien oublié « Ha, et à la fin, vous avez quelques points méthodos, pour les exercices papiers que je vous demanderais. » Il le reposais, sans grande délicatesse.
Sans le regarder cette fois ci, il s’installe, dans le siège. Le Roi est mort, vive le Roi. La passation du pouvoir par la symbolique des objets. La position. « Enfin, je vais aborder quelques derniers points avec vous avant de réellement commencer mon cours » Il attend, quelques secondes, d’avoir la certitude que tout le monde l’écoutait, sans exception. « Quand vous prenez la parole, merci de m’indiquer vos noms de famille. Je ne m’en souviendrais pas au cours suivant, donc répétez le à chaque fois. » il continuait, sur le même ton détaché « Si vous bavardez, vous prenez le risque que je vous demande de partager votre conversation à la classe entière. » il fixe deux élèves, dont les lèvres cessaient instantanément de remuer ; « Si vous avez une réclamation à propos de ma pédagogie, ou du contenu de mon cours, vous n’aurez le droit de la formuler qu’après m’avoir battu aux échecs. » Il profitait, un instant de la confusion visible qui s’affichait sur les visages de la plupart de ceux qui l’écoutaient. « Ou éventuellement, si vous arrivez à me retrouver pendant les exercices de chasse à l’homme. » Il était certain qu’à cet instant précis, l’ensemble de la classe restait perplexe. Et surtout, qu’il avait toute leur attention. « Bien. Nous allons pouvoir passer aux choses sérieuses. »- résumé:
- bâtard du patriarche d’une famille influente en France & aux USA - Il porte le nom de sa mère, alors employée de maison (elle a été virée à la suite) - Il n’a jamais été reconnu par son père biologique, qui lui a néanmoins assuré une pension, à la condition que l’histoire reste secrète - Il a vécu, trimballé par sa mère souvent absente, maltraité par les compagnons de celle ci - Son alice est apparu très jeune, et comme il ne le maîtrisait pas, il était souvent oublié quelque part par son entourage - Un jour, il a été oublié sur une aire d’autoroute ; sa chance dans l’histoire, a été de tomber sur un possesseur d’Alice, qui l’a immédiatement signalé à l’Académie - Sa mère n’a pas cherché à le récupérer, elle s’en est voulue de ne pas avoir su l’élever correctement et a gardé contact avec lui par lettres - À l’académie aussi, il a souffert de son alice instable, et a décidé de faire le con pour se faire remarquer absolument, s’embarquant dans des situations impossibles ; il n’était pas très apprécié de ses camarades de manière générale, et des professeurs masculins qu’il défiait et emmerdait sérieusement - Le seul qui n’ait pas craqué était le vieux prof de relations internationales ; sévère mais juste, il a vu dans l’alice de Lothaire un potentiel incroyable et l’a pris sous son aile - Il s’est avéré passionné par ce qu’il étudiait ; quand il est sorti de l’académie, son prof l’a recommandé auprès de services gouvernementaux, pour lesquels il a travaillé de nombreuses années, sur des négociations secrètes, il s’est mis en danger dans de nombreuses situations différentes (les rumeurs disent qu’il a notamment infiltré plusieurs organisations criminelles) - Il a revu sa mère, mais leurs rapports sont bloqués par le sentiment de culpabilité qui la ronge ; elle est d’ailleurs tombé dans l’alcool - Il a rencontré une fois son père biologique, peu avant sa mort, qui lui a légué un appartement à Paris, en lui faisant promettre de ne jamais se manifester auprès de sa famille paternelle - Il a développé de nombreuses addictions ; au tabac, l’alcool, les jeux - Il a eu plusieurs copines à travers le monde, la plupart des histoires ne durant que très peu de temps ; l’une d’elle est tombée enceinte, et il s’est enfuit aussitôt - Il s’en veut, un peu, et espère que si l’enfant vient un jour à l’académie, il pourra le rencontrer, sans lui dire ce qui les lie - Fatigué des jeux de pouvoir incessants dans les cercles qu’il fréquentait, devenu paranoïaque par les différentes missions qu’il a effectué, il a sollicité l’académie pour s’y réfugier et remplacer son ancien prof - Il a du arrêter l’alcool, bien que le processus fut douloureux et long pour lui ; quand aux jeux d’argents, il les a remplacé par les échecs
| Derrière l'écran yo la street zer (c'est carla) (déso kiel j'aimais trop le principe de fiche toute noire ♡ ) |
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