LEGENDARY TRAINER + ROCK TYPE
Messages : 116 Classe : e
| Sujet: aries c. amaro + start the battle Ven 6 Sep - 15:04 | |
| | Prénom Aries Cassiopea Nom Amaro Âge 16 ans Origine Italienne Classe E Orientation sexuelle Aromantique Âge d'entrée à l'Académie 13 ans Opinion sur l'Académie Sans réel intérêt. Aries se sent heureuse de ne plus être en lien avec ses parents, bien qu'elle est persuadée que sa présence résulte à un salaire pour ses géniteurs. Alice Alice de la Méduse Description Croisez son regard et vous serez changés en pierre. Boire du sang de la méduse annule le maléfice. - Spoiler:
Connaissez-vous le mythe de la Gorgone ? Ces trois filles dont la simple vue vous pétrifiait à jamais. L'alice de la Méduse est basée sur ce mythe. Croisez le regard d'Aries et vous deviendrez pierre. Heureusement, boire le sang de cette dite méduse vous rend votre apparence d'origine. Il faut cependant savoir, qu'il est possible de ne pas être pétrifié complètement. Oui, Aries peut très bien ne pétrifier qu'une partie de votre corps, comme les bras ou bien une jambe. Mais elle n'a pas encore ce niveau de maîtrise. Effectivement, pour le moment, c'est en fonction de la durée qu'Aries peut vous pétrifier ! Plus vous la regardez dans les yeux, plus vous avez de chance enfin de malchance de vous retrouver complètement pétrifié.
Étant donné que l'Alice de la méduse est « toujours » actif, vu qu'il suffit de la regarder dans les yeux. Aries a des lentilles de contact, ainsi l'Alice ne passe pas, bien que ses lentilles soient essentiellement pour sa vue (l'académie y rajoute un filtre spécifique pour bloquer l'arrivée d'Alice). Mais, il est évident, que la demoiselle a reçu quelques vrais limitateurs d'Alice à son arrivée à l'Académie: effectivement, elle a une paire de boucle d'oreille ainsi qu'un bracelet. Groupe Physique (dangereuse) Forme de l'alice Limitée | Anarchy Stocking Panty and Stocking With Garterbelt | Bulletin scolaire | Résultats scolaires | 3.5/10 | |
Implication dans la vie de l'Académie | 1/10 | |
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| Enfant, tu as toujours été une gamine compliquée. Celle qui voulait être au centre de l’attention, celle qui faisait tout pour l’être. Ce genre d’enfant qui, même dans l’adversité ne se laissait jamais marcher sur les pieds. Le regard lourd, profond, presque enchanteur. Jamais le regard ne s’y détournait, les mains posées sur les hanches et le pied qui tapait le sol de façon rythmé. Aujourd’hui, tu es toujours la même. Bien qu’un peu évoluée. Toujours sur de toi, toujours à chercher à te mettre en avant. Mais la vérité est que bon nombre des événements de ton passé, ont fini par s’effriter. Comme de léger craquement qui, au fur et à mesure ont fini par entièrement te briser. Ainsi, tu es bien incapable de comprendre les gens, plongé dans ton monde et ta propre existence. Non pas que tu n’éprouves aucun intérêt pour autrui, car aussi étrangement que cela puisse paraître, tu ne supportes pas la solitude. Celle-ci t’effraie autant qu’elle en vient à t’englober. Parce que tu ne sais que dire, tu ne sais que faire. Toujours dans la tromperie et les mots si durs qu’ils en deviennent blessant. Tu ne comprends pas. Simplement, car ta façon d’être, ta façon de vivre est en dehors des normes sociales.
Tes résultats scolaires sont pour le moins catastrophique, plus douée en sport qu’autre chose, et ce, malgré les alices physique qui t’accompagne dans certaines de tes cours. Tu es quelqu’un de très endurante et athlétique, ainsi, comme diraient certains stéréotypes, les muscles y sont tandis que le cerveau est manquant. Bien qu’en vérité, ça ne veut pas pour autant dire que tu es une totale idiote. Non, Aries peut-être le genre de personnalité à trouver des maux intelligent si le désir lui venait. Parfois une vérité, une logique indétrônable ou bien même une réponse à un devoir de maths. Mais toutes ses choses ne t’intéressent pas, alors tu n’en vois aucun intérêt. Simple fan incontestée des jeux Pokémon, la franchise raisonne dans tes pensées comme une drogue incertaine.
Principalement connu pour ton rire. Un rire fort qui ne s'oublie jamais qui s'entend souvent, même trop souvent, au mauvais moment. Bizarrement. Par exemple, tu pourrais très bien te mettre à rire alors qu'un professeur appelle ton voisin de classe pour l'interroger. Comme ça, tu te mets à rigoler, sans plus pouvoir t'arrêter. Au moins, tu te distingues vraiment des autres filles. Par ailleurs, tu ne prends pas le temps de réfléchir à ce que tu vas faire. Tout simplement parce que tu n’aimes pas perdre ton temps de manières inutiles. Tout doit être fait à l’instant T, rien n’est réellement programmé. La plupart des gens qui ton soi-disant connu, disent que tu possèdes une énoooorme franchise et un manque de tact incroyable. Ne tournant jamais autour du pot, encore moins lorsque tu es énervée, tu n’iras jamais par quatre-chemins. Ce qui augmente ces murmures de couloir sur ton manque de cœur des plus flagrant.
Mais, en regardant encore plus loin, au fond, tu n’es pas bien méchante. Simplement une adolescente perdue, incomprise dans un monde qui t’es incompris. Alors une instabilité qui s’échappe de tes airs, incapable et bancale. Finalement comme une vague mélodieuse, parfois délicate et gracieuse. Marchant sur tes propres pas, ton rire en écho qui n’amène qu’un frisson de discorde.
Son regard toujours braqué sur vous.
| Abouttrès expressive autant de visage que de geste + pokéaddict + vêtue style lolita + très grande gourmande et adoratrice de thé + sans doute le seul moment où on pourrait la trouver droite et silencieuse + froide + franche + considérée comme insociable + problème d’affection (autant réceptrice que donneuse) + lunatique + forte + narcissique + impulsive + agressive + versatile + rire fort, marquant et difficile à stopper + aucune notion du bien et du mal + potentiellement instable + agit de manière autant princière que vulgaire + hyperactive + dominatrice + n’a pas conscience de sa propre franchise + antipathique + têtue + bruyante + ne se laisse jamais marcher sur les pieds + curieuse + moqueuse + grande sportive + endurante + regard profond + passionnée. |
La vie est un long fleuve tranquille Aries Cassiopea Amaro. Dimanche 28 mars 2004 - et pourtant, tu n'aimes pas Lady Gaga. Tes premiers cris, tu les as poussés en Italie, plus précisément sur une île, en Sicile dans un hôpital d'Arigente. Tes parents n'étaient que de vulgaires pêcheurs, sans grande fortune, enfin, c'est ce que tu as toujours pensés. Lucrecia Silvola et Natale Amaro, tes parents, tes géniteurs. Tu étais leur enfant, soi-disant leur premier, tu étais leur sang, pourtant cela ne les a pas empêchés de te mentir pendant les neuf premières années de ton existence. Tes grands-parents paternels étaient mort depuis dix ans, quinze-ans peut-être. Enfin, tu ne retiens pas les mensonges après tout. Par contre, tes grands-parents maternels, eux, n'avaient aucun problème à te mentir tout comme tes parents...
Lucresia et Natale pêchaient, ils n'étaient pas souvent avec toi. Tu étais jeune, tu n'avais même pas deux ans. Alors, ce sont tes grands-parents qui te gardaient. Tu as appris à parler l'italien, car c'est ta langue natale, mais aussi le russe. Ton grand-père maternel, Yevheniy Fyodor Silvola, était Russe alors c'était lui qui te l’apprenait. D'ailleurs, tu te demandes souvent comment Yevheniy Fyodor Silvola à put se marier avec Benigna Gessica Desideria, peut être la puissance des noms complètement impossible à retenir ? Tu aimais beaucoup tes grands-parents, plus que tes parents. Assez évident lorsqu'on y pense, tu éprouves de l'amour pour les personnes qui ton élevées et pas pour les personnes préféraient les poissons. Tu apprends aussi à marcher, rapidement, alors tu te mets à courir. Tu aimes courir. Puis alors que tu as trois ans, ton monde change, tout bascule. Malheureusement. Tu n'es plus fille unique, tu as une petite sœur « Allegra Jekaterina Giuliana Amaro », celle qui te priva de l'amour de tes grands-parents. Ce n'est pas que tu étais rejetée, tu étais juste devenue moins importante aux yeux de ta famille. Alors, aux fils des années, tu t'es sentie faible et inutile, alors tu as essayé de devenir intéressante. En devenant méchante, surtout avec Allegra. Sauf que tu te faisais punir, encore et encore. Tu passes ta main dans tes longs cheveux bruns et tu craches au sol, montrant que tu t'en fiche royalement.
Le plus beau souvenir que tu gardes de ton enfance est le moment où tu avais gagné une Nintendo DS suite à un concours organisé par ton école. Tu n'avais que six ans, la question était simple, pourtant personne à part toi n'avais trouvé la réponse alors tu avais gagné le premier prix, une DS avec un jeu. L'adolescente que tu es ne se souviens plus du nom du jeu, ainsi que l'histoire, le contexte qui t'avais tant passionné durant ton enfance. Cent fois, ta petite sœur avait voulu essayer, chaque fois, elle se recevait un coup. C'était ton cadeau, ton lot personne d'autre n'avait le droit d'y toucher. Alors tu te faisais punir, une nouvelle fois. Tu avais toujours la même réaction, celle de cacher ta DS dans cette pièce inoccupée. C'était une chambre, semblable à la tienne, toujours vide. Il y avait quelques affaires que tu n'avais jamais vues, tu ne savais pas à qui appartenait cette chambre. Malheureusement, un jour, cette pièce était fermée. Tu allais être punie, mais tu n'avais pas eu le temps de cacher ta belle DS bleue décorée d'auto-collant de poupée et de peluche. Alors, Allegra en a gagné la garde, pendant deux jours. Deux jours d'ennui pour ta petite personne. Le jour où tu devais la récupérer, Allegra était en pleurs, elle te proposait ses bonbons disant qu'elle était désolée. Sur le coup, tu n'avais pas compris de quoi elle pouvait bien être désolée. Jusqu'au moment, dans la salle de bain, tu compris, elle avait mis ta DS dans les toilettes...
Dans ton école, tous les ans, il y avait un spectacle. Cette année-là, il cherchait une jeune fille toute mignonne et tu répondais aux critères. Tu ne voulais pas le faire, car c'était la honte, mais on t’avait forcé, tu n'avais pas eu le choix. Alors tu assistais aux répétitions, cependant, tu n'apprenais pas ton mini-texte de primaire. Tu n'as jamais aimé le par cœur, tu préférais le faire au feeling et voir ou allait te mener cette misérable pièce. Sauf que le jour de la représentation, au moment de partir, Allegra, c'était mise à tousser. Toi, tu étais déjà partie, tu étais déjà à l'école. Ta famille devait te rejoindre, mais ta sœur toussait « tellement » ... Le spectacle avait commencé, mais personne de ta famille n'était présente, ni Lucresia, ni Natale, ni Benigna, ni Yevheniy.
Très tôt, tes parents remarquent qu'il y a quelque chose qui cloche. Pas le fait que tu sois méchante avec Allegra, ça, ils l'ont remarqué depuis longtemps. Mais tu as des problèmes de vue, tu te cognais même dans les murs. Tu étais myope et presbyte à un niveau plutôt élevé. Il est évident que n'importe quels parents, même indigne, s'occuperaient de ce problème chez son enfant. C'est ainsi que tu reçus des lentilles que tu devais porter tout le temps, étant donné que sans tu ne voyais pas. Il arrivait de temps à autre que tu échangeais les lentilles contre une paire de lunettes, mais cela était plutôt rare.
Âgée de neuf ans, tu te rends compte que la naissance de ta petite sœur n'était pas grand-chose, que ce n'était pas cela qui avait réellement changé ta vie. Tu écoutais à la porte de tes parents comme tous les soirs. Sauf que cette nuit-là, tu appris qu'ils te mentaient. Il avait quatorze ans, soit huit de plus que toi. Il était parti, tu avais un frère, Elvio Vyacheslav Amaro. Le véritable premier enfant de tes parents. Comme tu es surpris, tu entres en fracassant la porte. Tu cri, tu demandes des explications, tu réveilles Allegra qui se met à pleurer. Mais elle, Allegra, n'a que six ans. Elle est trop jeune pour comprendre beaucoup trop jeune. Alors Benigna la prend et la berce pour qu'elle se rendorme. Lucresia et Natale, assis en face de toi. Éprouvant de la honte d'avoir été découvert par leur gamine de neuf ans, ils décidèrent de tout t'expliquer. Te parlant de ton frère, du fait qu'il soit parti mais aussi de tes grands-parents paternel, Matteo Gerardo Tommaso Amaro et Immacolata Gemma Viola Sveva, toujours en vie. À ce moment, tu te dis que dans ta famille, il y a réellement un problème avec les noms.
Mais pourquoi te cachaient-ils l'existence de ces trois personnes ? Elvio, ton frère, faisait partie de la mafia. Il était logique que tes parents cherchaient à protéger leurs enfants en évitant qu'ils tournent aussi « mal ». Et tes grands-parents ? La raison remonte de loin, du fait que Natale aie décidé de se marier avec Lucresia. Depuis ce mariage que Matteo et Immacolata n'acceptaient pas. Ils étaient en froids, voulant chacun de leur côté oublier l'autre.
Alors, tu te mets à haïr toute ta famille, du plus profond de ton cœur. Tu n'aimes pas le mensonge alors que tu l'uses toi-même. Tu restes seule, traite ton sang comme des chiens lorsqu'ils veulent te parler, s’excuser. Mais toi, tu en as rien à faire, c'est trop tard. Tu comprends pourquoi Elvio est parti, toi aussi, tu aimerais, mais tu n'en as pas le courage. En fait, tu n'aimerais qu'une chose. Retrouver ton frère et lui en coller une : il aurait pu t'attendre quand même... Aries, tu comprends que cette pièce, où tu avais l'habitude de cacher ta DS, était sa chambre. Alors tu la visites, tu la regardes dans tous les moindres recoins pour savoir si tu peux trouver une quelconque information sur où serait parti ton frère. Sous le matelas, comme dans les films, ridicules. Un cahier, un livre, une histoire. Écrit de la main de ton frère. Intrigué, tu lis l'histoire. Une histoire enfantine, mais plutôt bien écrite. Tu reposes le livre où tu l'avais trouvé, tu te retournes et tu vois le vieux Yevheniy adossé à la porte. « C'est un garçon vraiment spécial ton frère, tu sais ? ». Lui semble disposé à tout te dire, alors tu lui demandes de te parler vraiment de ton frère. Pourquoi est-il donc spécial ? Alors il te raconte, son enfance à Arigente, mais aussi la « voie » qu'il a choisi depuis qu'il est parti. Il te dit tout, sauf qu'il est un Alice, comme lui, et comme toi...
Ce passage de ta vie, tu n'as là jamais vraiment compris. Pourquoi après cette découverte, tes parents ont finalement décidé de t'inscrire au Muay Thai, sport que tu voulais depuis longtemps pratiquer et qui était plutôt difficile à trouver en Italie ? Au fond, tu es vachement contente même si tu ne comprends pas. Tu as beau réfléchir, tu ne vois pas la raison qui les a poussés à te faire plaisir.
Grâce à de quatre heures de Muay Thai par semaines, tu vois encore moins tes parents et cela te rend heureuse. Au fils des semaines, tu pratiques, au fils des jours, tu apprécies, au fil des heures, tu progresses... Vite... Comme tu progressais extrêmement vite, ta petite personne était passée à sept heures par semaine. Par ailleurs, pendant tes vacances, alors que tu avais des résultats catastrophique, tes parents t'offraient des séjours de cours intensifs de Muay Thai... Et tu te demandais d'où ils tiraient l'argent qui finançait ces voyages. Il s'agissait en fait de l'argent que versait l'Académie Alice car Elvio était là-bas. C'est à tes onze ans que tes efforts furent récompensés. Enfin, c'était peut-être aussi, car peut d'enfants italiens pratiquaient ce sport que tu adorais. Toujours est-il que tu devins Championne junior de Muay Thai de ton pays.
Souvent, les personnes que tu rencontrais te demandaient pourquoi tu avais les cheveux violet et rose. Tu devais avoir la douzaine lorsque tes parents t'avaient fait une remarque qui t'avait forte déplu. Ce qu'ils avaient dit ? Tu ne t'en souviens pas, toujours est-il que cela t’avait tellement énervée que tu t'étais teint les cheveux ainsi pour montrer ton mécontentement. Pourquoi ces couleurs ? Tout simplement, car il s'agissait des deux couleurs que tu appréciais le plus à cette époque. La réaction de ta famille ? Évidemment, Natale et Lucresia t'ont passé un savon. Ils ont insisté pour que tu enlèves cette couleur. Mais non, tu n'avais pas envie, et c'était comme ça. Têtue comme tu étais, tes parents ont finalement lâché l'affaire après quelques mois...
Tu as treize ans depuis quelques jours. Tu as bientôt fini tes trois ans d'enseignement secondaire du premier cycle, le « scuola media ». Effectivement, il ne te reste plus que deux mois de cours. Tu sais déjà que tu vas redoubler, mais sinon tu aimerais aller dans un lycée sportif, afin de continuer le Muay Thai. Sauf que ton désir d'aller dans un tel lycée ne se réalisera jamais.
Tu étais en Irlande. Avec ta mère. Tu avais une compétition importante de Muay Thai. Avant que le combat ne commence, tu avais soudainement mal à l'œil, alors délicatement, tu passes ta main sur celui-ci. Par malheur, ta lentille tombe, donc tu essayes de la chercher. Ton adversaire, te demande ce que tu as perdu, sauf qu'au moment où tu lèves la tête pour lui expliquer, elle te regarde dans les yeux. Assez pour se changer en pierre. Mais tu ne le remarque pas tout de suite, tu as le temps de retrouver ta lentille tombée, avant que des cris de peur s'élèvent dans la salle du combat.
Suite à cet accident. Tu es priée de rester dans ton hôtel, sans sortir. Sauf que des hommes toquent à ta porte. Des hommes habillés tout en noir. Ils sont venus pour toi, pour t'amener à l'Académie Alice, car tu es une alice, tu as un don : tu peux pétrifier les gens. Il ne leur fallut pas beaucoup de temps pour convaincre ta mère. Qui te laisse partir sans un mot. Pour finalement avant que tu montes dans la voiture qui t'emmènera dans ta nouvelle école, te crier cette dernière phrase : « Elvio, ton grand frère, est lui aussi dans cette académie et tu... » La portière se referma sur ce début ...
Arrivée dans ta nouvelle école. Après avoir fait les formalités. Après avoir écouté les informations sans les écouter réellement. Tu fais des rencontres et surtout des découvertes, comme le fait que cet idiot que tu voulais tant gifler était en fait…. Dans une autre académie. | Derrière l'écran écrire la partie "derrière l'écran" ici |
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