.
 
Le Deal du moment :
Bon plan achat en duo : 2ème robot cuiseur ...
Voir le deal
600 €

L''aconit dans le jardin d'Eden. [terminé]
Invité
Invité
avatar


L''aconit dans le jardin d'Eden. [terminé] Empty
MessageSujet: L''aconit dans le jardin d'Eden. [terminé]   L''aconit dans le jardin d'Eden. [terminé] EmptyMar 3 Sep - 2:07

Nom du personnage
Prénom Amandine
Nom Feather
Âge 16 ans
Origine Américaine
Classe E
Orientation sexuelle Asexuel

Âge d'entrée à l'Académie 5 ans
Opinion sur l'Académie Faisons court … cette prison mérite d'exploser, avec tout ceux qui soutiennent son existence. Je mens partiellement en disant que je suis heureuse dedans, comme si j'avais pour l'instant le choix de vivre autre part.

AliceCheveux vivant
Description Les cheveux peuvent se mouvoir, tels les tentacules d'une méduse.
Groupe Physique
Forme de l'aliceDiffuse
HARUKAWA MAKI
Danganronpa
Bulletin scolaire

Maîtrise de l'Alice
5/10

Discipline
5/10

Détermination
9/10

Résultats scolaires
7/10

Implication dans la vie de l'Académie
5/10

Total breakdown
Commençons par la facette que je joue.

Je parais aux yeux d'autrui comme une jeune adolescente qui est serviable, incapable de faire du mal à une mouche, s'excusant platement quand elle fait une bêtise et qui ne pense pas à nuire aux autres, faisant de temps à autres des demandes quand elle cède certain de ses privilèges, quoi de plus normale, elle est gentille mais n'offre pas tout gratuitement, mais cette Amandine est un sucre d'orge et ne viendra pas à vous mettre dans le pétrin. Une gentille fifille bien éduquée par l'académie.

Rha rien que faire cette description me donne la gerbe. Passons rapidement à la vérité avant que je devienne malade devant ce reflet immonde.

Je mens comme je respire, enfin, je parle de mentir, je manipule mensonge et vérité pour en faire une bouillie infâme où il est difficile de démêler le vrai du faux. Si j'osais renier jusqu'à mon être, je dirais que je ne suis plus humaine, mais cela serait aussi renier cette haine qui me dévore de l'intérieur et vous savez quoi ? Je la nourris, je nourris cette haine pour qu'elle devienne de plus en plus grosse, qu'elle déborde de mon âme jusqu'au jour où elle fera éclater mon corps pour se déverser, tel un raz-de-marée sur l'académie, ceux trop débile pour la défendre, ainsi que mes géniteurs.

L'amour ? Pff, n'allez pas me faire gober ses histoires de princesse et de chevalier servant, je suis la méchante sorcière de l'histoire, celle qui viendra tourmenter le preux chevalier pour l'enfermer et le faire croupir aux oubliettes.

Le pardon ? Si le fait de vous laisser du temps en est, j'en aurais. Cependant, n'allez pas croire que je suis une Samaritaine. Si vous gênez mes plans ou me faites une crasse, vous aurez votre châtiment un jour, j'attends juste le bon moment pour vous noyer dans la propre merde où vous vous êtes mis, en vous frottant à moi.

Je me méfie des adultes, comme ceux ayant des alices qui peuvent me poser des problèmes, s'est pour cela que je joue les cruches, afin de faire croire que je suis inoffensive ou tout du moins assagie depuis ma crise. Les fouineurs sont certainement les pires insectes, car ils mettent leurs nez partout, venant à m'obliger à agir inutilement pour les écarter et m'assurer qu'ils ne reviennent pas de si tôt.

Je n'ai pas confiance en mon alice, cette académie est préparée à son utilisation. C'est pour cela que j'ai opté, très jeune, pour une autre approche, celle des humains. Le savoir est l'arme ultime, avec cela, on peut prendre l'ascendant, avoir par surprise. C'est pour cela que j'étudie d'arrache-pied, afin de pouvoir collecter le plus d'information. Sortir de l'académie ne sera pas facile, j'en ai bien conscience et il se peut que je doive me salir les mains, je me dois d'être prête quand le moment arrivera.

Je suis très prudente dans mes recherches, venant à en faire d'autre inutile, afin de masquer la vérité, cela a un prix cependant. J'accumule du savoir qui n'est pas urgent à assimiler, comme ... comment faire des tresses celtes, hormis le côté esthétique, cela ne m'apporte aucun avantage concret. Je ne prends pas de note qui pourrait me découvrir, tout est mémorisé et ressasser dans la tête.

Le plus dur, mentalement, s'est de tenir cette image de petite gamine qui croit que le monde il est tout mignon et rose et qu'ensemble, on peut y arriver. Cela fait perpette que j'ai compris que l'entraide ne doit servir qu'à son bénéfice personnel. Comme dans le monde extérieur, c'est chacun pour sa pomme. Jouer les gentilles cela reste compliqué, la moindre erreur et cette image volerait en éclats. Il faut mimer de l'altruisme, de la timidité, accepter de se faire marcher sur la gueule sans riposter. C'est un mal pour un bien. Je pense que le plus dur dans tout cela s'est de ne pas les insulter, avoir un langage respectueux et naïf.

Concernant mes peurs… Je ne sais pas. Quand on a perdu jusqu'à son existence dehors, de quoi aurait-on peur, si ce n'est un échec total de s'enfuir d'ici. L'amour ? Hahaha, elle est bien bonne celle-là. Que j'avale un serpent grillée si je venais à tomber amoureuse.

Allez savoir pourquoi j'attire la sympathie des mioches, sympathie non partagée, mais comme je dois jouer la gentille fille, je fais avec.  


Ho … J'allais oublier, le premier qui tente d'abîmer ma chevelure, je lui ferais vivre un tel Enfer que lorsqu'il retournera chez ses géniteurs, ce sera pour chouiner de ne plus vouloir revenir. C'est bien imprimé dans vos cervelles de mollusques ?
About
Amandine semble beaucoup aimer les ramens et la glace à la pistache, un pêché mignon ?

Elle semble douée dans l'athlétisme et la natation. Apparemment elle ferait un footing avant et après les cours.

Au réveil, ses cheveux ondulent partout, venant à lui conférer le surnom de Poulpette auprès des primaires

On raconte qu'elle ne tiendrait pas l'alcool.
La vie est un long fleuve tranquille
Ma vie n'a rien d'intéressante et elle inspire plus la pitié pour les âmes dotées d'un semblant de bon sentiment à mon égard. Cependant rares sont ceux qui connaissent toute la vérité sur moi. J'ai des souvenirs de mes parents… Non les dieux qui ont décidé de se débarrasser de l'unique Grande prêtresse qu'ils avaient. Je me souviens très bien lors de mes cinq ans, ses personnes qui m'ont enlevé, suppliante en larme mes parents de me venir en aide et les voir rentrer chez eux et fermer la porte. À peine avais-je franchi le palier de ce que je pouvais appeler maison, que ses ordures avaient déjà oublié jusqu'à mon existence. Pas un seul mot n'avait été prononcé par mes géniteurs, comme si j’étaie une criminelle qui allait se faire exécuter et ne méritait aucun pardon. Mon alice s'était éveillé vers mes quatre ans, ayant réussi à faire bouger un cheveu. Mes parents pensaient que mon pouvoir était lié à l'électromagnétisme, ils étaient bien loin du compte, se faisant des films. J'avais cinq ans et j'avais goûté au fruit amer de la trahison familiale. Pendant près d'une semaine, j'eus du mal à contrôler mes sentiments et donc mon pouvoir, venant à dévoiler son véritable potentiel, venant à tenter de maîtriser une personne avec mes cheveux. Cela m'éreinta, arrivant plusieurs fois à ma limite, laissant les autres enfants se venger. Cet endroit m'inculqua quelque chose de précieux, face à ses monstres, il ne fallait pas penser leur faire face.

Vers mes six ans une fille voulue utiliser ses capacités pyrotechniques pour me brûler mes cheveux, elle était jalouse de leur beauté et elle parvint à griller quelques centimètres, laissant une horrible odeur de porc grillé. Quelques semaines plus tard, je vins à la frapper dans le creux du dos, ayant tenu un petit manche en bois pour que mes os frappent cette salope. Elle s'écroula au sol et je vins à la frapper à l'abdomen. Bien qu'étant jeune, j'avais compris une chose en passant une année à observer, il était moins grave de frapper quelqu'un à main nue que d'utiliser son pouvoir sur autrui. Bien évidemment, je fus punie, mais cette truie ne vint pas à s'en sortir indemne, recevant un châtiment à la hauteur de ses actes. Avec cet exemple, les autres enfants se mirent à y réfléchir à deux fois avant de m’agresser, sachant que je pouvais riposter à tout moment sans avoir recours à mon pouvoir, certains s'imaginaient que j'avais un alice de renforcement physique. Ils se trompaient, j'encaissais tout simplement. La plaie béante de la trahison de mes parents, dans mon âme, continuait de suinter un liquide immonde et j'essayais de retrouver goût à la vie, de ne pas dépérir, comme une fleur que l'on aurait arraché de la terre et qui se débattait pour ne pas mourir, attendant d'être plantée dans un terreau fertile.

Je vins à essayer mon alice en cachette, voulant chercher la limite, sans pouvoir pour autant laisser les autres enfants le savoir. Aussi avais-je pris l'habitude de ne pas utiliser mon pouvoir, aussi pénible que cela pouvait l'être, je tentais de toute faire comme une simple humaine. Ce manque d'usage d'alice fut compensé par davantage de travail. Il m'aurait été facile de m'armer contre les autres enfants, cacher un objet dans mes cheveux pouvait être simple, mais je ne fis pas cela, non, je fis le moins bouger mes cheveux, pour ne pas paraître monstrueuse.

Avec du travail et de l’acharnement, je parvins à être reconnue comme une jeune fille intelligente et qui se débrouillait en sport. Mais au fond de moi, l'idée de me venger de mes parents ne cessait d'être là, comme le désir de sortir d'ici cette prison dorée me donnant la gerbe. Nous n'avions pas particulièrement à nous plaindre, on aurait pu croire à un grand orphelinat avec une section éducative, mais tout les autres avaient des parents qui avaient au moins daigné ouvrir leur gueule, même pour dire des mensonges, le silence des miens n'en était que plus répugnant.

Alors que j'avais dix ans, une enveloppe me fut donné. Cela était assez particulier, je n'avais personne à qui écrire ou encore moins une personne qui voudrait m'écrire une lettre, j'attendis d'être seule dans ma chambre. Chaque ligne que je lisais ne faisait que rouvrir davantage cette plaie qui avait eu beaucoup de peine à se résorber, laissant mon âme se faire noyer dans les larmes du désespoir et consumer par les flammes de la haine. Cette plaie n'avait pas été rouverte par des lames aiguisée, mais par coup de tronçonneuse. On venait de m'annoncer que je n'avais plus d'actes de naissance, autrement dit, je n'existais plus hors de cette prison. La rage et la haine me firent péter un câble, venant à saisir tout petit objet qui pouvait servir d'arme et tenir en respect ceux qui osaient essayer de me faire la morale ou me calmer, la porte de ma chambre reçu ma chaise, l'ouvrant en fracas. Un enfant submergé par un sentiment fort n'a que peu de contrôle sur son pouvoir et peut commettre l'irréparable. Je fus donc maîtrisé, subissant de plein fait l'alice d'autres enfants qui en profitèrent, ses salopards voulaient se faire bien voir et comme j'étais une menace à cet instant, ils risquaient d'être moins sévèrement puni. Seule face au nombre, je ne fis pas le poids, finissant en isolement.


On m'avait replanté dans cet espace isolée de tout, me laissant face à moi-même, un terreau parfait pour que la fleur du Mal se met à étendre ses racines dans la plaie béante et s’abreuver de mes sombres sentiments pour germer. Je ne saurais dire le temps que j'ai passé là-bas, certainement les professeurs essayaient de juger la dangerosité de mon alice, ayant vu que je pouvais combiner des petits morceaux pour faire des armes. J'avoue que sur ce coup-là, j'ai été une terrible idiote. Cependant, cela ne faisait que me prouver une chose. Si le monde extérieur ne désirait plus mon existence, je comptais bien lui montrer que j'existais en m'échappant d'ici. Avec le temps en isolement, je pus réfléchir sur ma condition ici, venant à reporter une partie de ma haine intarissable sur cette académie. Si je pouvais la détruire, détruire le fondement même de son existence, cela viendrait à mettre fin à cette mascarade.

Une fois libérée, je vins à passer par la case psy. On tentait de savoir pourquoi j'avais explosé ainsi, je restais vague à ce sujet venant à mélanger mensonge et vérité pour ne pas dévoiler le tréfonds de ma pensée. J'avais bien conscience que j'aurais dû essayer de me retenir, mais j'étais certaine, au fond de moi, que je n'aurais pas pu m'empêcher de causer des ravages, même avec la meilleure volonté du monde. Il fut décidé que jusqu'à mon entrée au collège, je serais mise à l'épreuve, devant pendant une année entière ne pas causer de grabuge et avoir des notes acceptables. Il y eu d'autres restrictions pendant ce délai, notamment une interdiction d'utiliser mon alice sans la surveillance ou l'autorisation d'un adulte. Ce dernier point n'était pas un souci pour moi, sachant pertinemment que même après ce délai de test, j'allais certainement rester un peu surveillée.

Je passa donc beaucoup de temps pour apprendre et approfondir les cours, si des fois la tentation était forte, je fis de mon mieux pour ne pas céder à l'envie. Les autres camarades de classe se mirent à en profiter. Le masque du mensonge vint à se façonner avec détail pendant cette année, venant à jouer la comédie, venant à trembler de peur pour faire croire que j'étais une fille faible et sentimentale, le genre de cruche qui pouvait être facilement bernée, venant à jouer leurs jeu, tout en évitant de me faire punir à la fin en venant à mettre en avant une fausse envie de me faire pardonner. Je vins à enfouir la bête en moi au plus profond de mon être, ne laissant sortir une patte lorsque j'étais certaine de faire passer cette petite griffure pour un accident. Bien évidement, certain enfant étaient sur ma liste des camarades à plonger dans le désespoir, mais il me fallait attendre, patiemment, que le moment soit opportun.

Une fois au collège, je vins à commencer quelques vengeances, venant à étudier pour me placer dans les ceux bénéficiant de privilège, afin d'empêcher certains élèves d'avoir le droit de voir leurs parents. Ce lien si fort, qui était rompu en moi, était la meilleure façon de faire tomber leurs arrogances, sous prétexte qu'ils avaient un alice puissant, ils m'en avaient fait baver, maintenant, j'étais devenu la maîtresse d'un échiquier où leurs misérables compétences ne valaient rien. Dans ce nouvel univers, l'intelligence déterminait sa place et ses récompenses. Bien évidement, je ne demandais pas à voir mes parents, ils m'avaient renié jusqu'à la racine et je doutais que l'académie accepte, non je profitais simplement de me délecter de ce sentiment d'avoir écraser un insecte indésirable, trouvant presque jouissif le faire de le voir se débattre pour tenter d'obtenir la récompense tant désirée. Il m'arrivait aussi d'échanger ma place avec un autre élève, permettant à ce dernier de voir ses précieux parents… Il signait ainsi un contrat avec moi, j'étais un peu sa déesse, l'espace d'un jour, usant de cela pour obtenir des faveurs, soit en obtenant des objets, soit en utilisant son alice. En échange de voir leurs parents, ils étaient prêts à tout et je n'étais pas idiote au point de risque qu'ils voient leurs séjours s'écourter. Même mes bourreaux d'enfance finir par manger dans ma main quand je passaient juste devant eux, ils était si pitoyable, avoir des sentiments pour de simple géniteur qui les avaient mit ici, comment pouvait-on être aussi con de penser que s'était pour leurs biens. Il n'y avait aucun bien ici, on ne faisait que nous formater pour être obéissant.


De l'eau vint à couler sous les ponts et mon masque s'affinait, s'ornait de nouvelles mimiques et attitude. Je parvins à obtenir une bonne réputation. S'en était presque comme si mon isolement et sa cause avaient été oubliés par les élèves. Mais je ne me reposais pas sur mes lauriers pour autant, les adultes et les professeurs avaient certainement un œil sur moi. La fleur de la haine avait bien fleuri, venant à parsemer ses graines pour qu'elle puisse s'en retrouver plus forte. Ses années au collège furent utilisées pour élaborer quelques plans, je ne notais cela que dans ma tête, hors de question de laisser une trace écrite. Je vins à axer mon temps libre dans l'étude capillaire et la biologie, avec un zeste de botaniste. Je mis en avant le fait de vouloir soigner autrui de leurs maladies ou maux et de pouvoir, pourquoi pas devenir coiffeuse. La vérité était toute autre. Je savais qu'ici, on s'attendait à faire face aux alices, alors le meilleur moyen restait toujours et encore à utiliser les méthodes humaines. L'étude capillaire me permettait d'élargir le panel d'utilisation mon alice, de pouvoir renforcer mes cheveux. La biologie servait surtout à étudier le corps humain, ainsi qu'animal, pour ceux ayant un alice d’anthropomorphe, afin de savoir où frapper si je voulais maîtriser une personne ou pire. Pour l'étude botanique, cela était principalement pour connaître les plantes et leurs effets. Je vins à diversifier mes thèmes, pour cacher mes réelles intentions, même si du coup cela ne rendait que l'apprentissage plus dure.

L'entrée au lycée fut amusante, jouant la fille facilement intimidable par les professeurs, ses ennemis qui pensaient pouvoir me faire peur. Perdre une étoile ? Se faire isoler ? Ils pensaient naïvement que ce genre de chose me faisait peur ? Je ne vais pas cacher qu'avec le temps, j'étais devenue une belle plante. Certes, je n'avais pas des obus comme certaines pétasses, mais mon attitude vint à continuer de jouer en ma faveur, venant à avoir des élèves proposant d'être une représentante de classe, ce que je refusais gentiment en prétextant ne pas avoir les compétences pour cela. La vérité ? Il était inutile d'avoir ce poste, la personne qui l'aurait serait un fusible prêt à sauter si cela tourne mal, ainsi que la source de toutes les attentions. Je n'avais pas envie d'avoir des toutous à mes basques vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Certains idiots me traitaient de planche à pain, faisant mine d'être offusquée par ce genre de remarque, comme une fille timide et soumise le ferait. Mais en vérité, je m'en fichais, ce corps avait certes peu de charme, mais je n'avais pas à m'en plaindre, avoir un corps fin possède de nombreux avantages.

Je me concentrais plutôt sur la fameuse spécialisation qui viendrait à l'université, venant à penser me diriger, officiellement tout du moins, vers médecin, mon alice pouvant être utile, comme permettre d'avoir des « bras » supplémentaires. Officieusement, aucune proposition ne me plaisait, tout était trop …. Banale, chargée de bons sentiments Une idée avait germé dans ma tête. Je n'étais pas une âme de bonté, il allait donc falloir que je réfléchisse où mon âme, corrompue par la haine, allait être le plus profitable, pour l'assouvir… ha s'il existait une formation pour les personnes mauvaise, je pense que j'y aurais pleinement ma place, une place où semer le chaos et le désespoir serait l'objectif principal.

Mais ne pensons pas trop au futur, cherchons à nous délecter de l'instant présent, viendra un jour où je pourrais déferler ma haine sur cette académie et aussi sur mes géniteurs, ayant déjà ma petite idée sur ses derniers. J’espère qu'ils sont tous préparés, cela serait d'un fort ennui si cela se réalisait trop facilement.

Il y a cette histoire de perte d'alice … Raison de plus de ne pas trop compter dessus, pour avoir l'avantage.
Derrière l'écran

Hum ... que dire. Je suis très portée sur les personnages aux passés lourds. Je tente de répondre au plus vite, pouvant enchaîner les réponses. Que dire d'autres ... Ha oui ! je suis une sadique avec mes personnages. ^^


Elyas S. Crawley
I love it when you call me señorita
I love it when you call me señorita
Elyas S. Crawley

Messages : 1104
Classe : E.

L''aconit dans le jardin d'Eden. [terminé] Empty
MessageSujet: Re: L''aconit dans le jardin d'Eden. [terminé]   L''aconit dans le jardin d'Eden. [terminé] EmptyMar 3 Sep - 2:42

Amandine fait tellement peur hein
Mais j'adore son Alice et franchement c'est super intéressant comme personnage je dis ouiouioui
Bienvenue ici Love bon tu as fini ta fiche mais je suis super explosée donc la validation attendra que je me sois reposée désolée opsi (ou que Eulalie se soit réveillée hihi)(et puis comme ça ça donnera l'occasion au peuple de te souhaiter la bienvenue)

https://siderale.forumactif.com/
Invité
Invité
avatar


L''aconit dans le jardin d'Eden. [terminé] Empty
MessageSujet: Re: L''aconit dans le jardin d'Eden. [terminé]   L''aconit dans le jardin d'Eden. [terminé] EmptyMar 3 Sep - 3:05

BIENVENUE ICI Love

Déjà, je... Danganronpa, l'alice, son double jeu tout ça fejznfkzlenfkel j'adore, je suis fan ! ** Cette demoiselle promet et t'en fais pas, ici en terme de perso aux passées lourds avec des joueurs sadiques (coucou <3) tu vas être servie PTDR

Bienvenue encore une vois <3

Melchior Collins
DIRECTEUR DU LYCÉE
DIRECTEUR DU LYCÉE
Melchior Collins

Messages : 375

L''aconit dans le jardin d'Eden. [terminé] Empty
MessageSujet: Re: L''aconit dans le jardin d'Eden. [terminé]   L''aconit dans le jardin d'Eden. [terminé] EmptyMar 3 Sep - 9:30


Bonjour!!
du coup comme l'avait prédit Elyas qui doit dormir atm c'est moi qui vient te valider  perf
Amandine fait peut-être peur ouai c'est clair mais elle est STYLAX
Je lui met une étoile car elle est dans la moyenne et aucune stat ne ressort vraiment hormis sa DETERMINATION (je ne doute pas du coup qu'elle ira chercher une deuxième étoile)
amuse toi bien parmi nous!

N'oublie pas d'aller recenser ton avatar ainsi que ton alice. N'hésite pas à aller t'inscrire dans un club. Tu peux dès à présent créer ta fiche de relations ainsi que ton portable. Il ne te reste plus qu'à trouver des partenaires pour rp. Amuse-toi bien sur Siderale !


Contenu sponsorisé



L''aconit dans le jardin d'Eden. [terminé] Empty
MessageSujet: Re: L''aconit dans le jardin d'Eden. [terminé]   L''aconit dans le jardin d'Eden. [terminé] Empty


L''aconit dans le jardin d'Eden. [terminé]
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Siderale :: Détente :: Archives :: Fiches abandonnées-
Sauter vers: